Aller cracher sur la tombe d'une victime parce qu'elle s'est fait tuer par un "allogène" plutôt que par un Français de souche témoigne d'un esprit un peu dérangé, ou je me trompe ?

Le statut d'infamie qu'auraient les étrangers se transfert également à leurs victimes ?

M'sieur Courtial, ne vous faites pas plus sot que vous n'êtes je vous prie.

Si j'écris cela, car c'est justifié par le fait que ce type et vous même avec votre mentalité de tolérance à l'intolérable nous amenez à vivre le chaos, la violence dans ce pays où TOUS ces gens n'ont rien à faire ici RIEN!

Vous êtes dérangé, mon pauvre Eukini. Faut vous calmer.

Ceci est votre appréciation Courtial, moi ce qui me dérange c'est par exemple ces crétins qui "prient" dans nos rues pour se foutre de nous et ces gamines qui se déguisent en pingouines pour afficher leur différence! Vu?

Chacun ses dérangements Courtial!

Elle ne soutenait pas ouvertement le LKP en 2009, dont la devise est « La Guadeloupe nous appartient, la Guadeloupe ne leur appartient pas : ils ne feront pas ce qu’ils veulent dans notre pays », donc, oui, elle ne veut personne au dessus d'elle.

c'est bien elle oui

http://caraibesinfos.skyrock.com/309083 ... ra-le.html

"" (à peu près cela, que les créolisants excusent les fautes), "Laz Guadeloupe c'est à nous, pas à eux", oui, mais c'est qui, "eux" ?

"Les Blancs" comme ça, vaguement ? Les Français ?

Je me souviens fort bien de cette époque et ce n'était pas ce que disaient les gens du LKP, qui pointaient des responsabilités beaucoup plus précises (par exemple les pétroliers et un certain nombre de trafiquants de matières premières qui se livrent là bas comme ailleurs à une "pwofitation" particulièrement écoeurante.

Rappelons que le LKP n'était pas un parti pré-existant au mouvement : il n'y a pas de parti politique ou de groupuscule connu sous ce nom en Guadeloupe.

Il est tout aussi clair que le fer de lance du mouvement ont été des indépendantistes, en particulir ceux de la toute puissante UGTG, le syndicat indépendantiste, mais il n'y aurait pas eu un tel mouvement seulement avec l'UGTG et les autres indépendantistes, l'indépendantisme étant largement minoritaire en Guadeloupe (et quasi inexistant en Martinique).

Quand je parle de la "toute puissante" UGTG, je ne veux pas dire qu'elle est représentative ou peut présenter beaucoup de troupes (c'est tout le contraire), mais qu'elle a un gros pouvoir de nuisance, bien supérieur à celle de sa Grande soeur européenne (la CGT).

Vous pouvez souvent, en Guadeloupe, c'est-à-dire en France, vouloir acheter un litre de lait et on vous explique qu'il n'y en a plus, et qu'il n'y en aura pas, et que cela peut durer une semaine ou quinze jours.(Je crois que je peux le citer en créole correct, je l'ai beaucoup entendu : " (cela a pris fin = y en a plus!) Pourquoi ? Parce que l'UGTG est sur une action quelconque, qu'elle a bloqué les ports, que les conteners ne sortent plus (les dockers sont en grève, etc.).

Vous me direz qu'on se passer de lait, mais ils tiennent aussi le Service des eaux, par exemple. Si bien qu'il peut fort bien arriver un Guadeloupe que, là encore pendant une ou deux semaines, vous n'ayez plus d'eau. Et les Antillais, qu'ils soient Blancs, Noirs , rouge ou vert fonçé, ils ont autant besoin que nous (et même plus) de prendre une douche, par exemple.

Et je vous laisse imaginer ce qui se passe dans vos WC quand vous n'avez pas d'eau depuis une semaine. C'est la double peine, quoi : nous seulement ils vous font chier mais en plus ils vous empêchent de le faire. Et vous mettez quoi, comme fringue ? Et votre bac à vaisselle, il ressemble à quoi ? etc.

Leur popularité est donc très moyenne et comprendre le genre de mouvement auquel on a assisté comme "indépendantiste" est fort peu éclairant.

Cette "impopularité n'est d'ailleurs pas qu'une question d'humeur ("ils font ch.."') mais de bon sens : comme dans l'exemple que j'ai rapporté, si vous avez, pendant deux jours un bloquage du port, même pour d'autres raisons (cyclone, mer impraticable, etc.), en deux jours, vous n'avez plus une goutte de lait en Guadeloupe. On n'ira pas traire les vaches laitières, il n'y en a pas. Même chose évidemment pour l'essence et tout le reste, qu'il faut faire venir du dehors.

Il en résulte naturellement que l'idée de "l'indépendance" n'est pas crédible, que les gens le savent très bien et le vivent au quotidien, ce qui fait, derechef, que l'indépendantisme est tout de même très mou du genou, sauf son respect.

Merci pour les éclaircissements Courtial.

Si cela ne tenait qu'à moi ils auraient obtenu leur indépendance depuis longtemps avec Taubira comme ministre.

Cela ferait deux boulets en moins pour la France.

Merci pour les éclaircissements Courtial.

Si cela ne tenait qu'à moi ils auraient obtenu leur indépendance depuis longtemps avec Taubira comme ministre.

Cela ferait deux boulets en moins pour la France.

J'aurais tendance à réagir comme cela également, de même avec la Corse.

Mais je suis retenu par la considération suivante, dont je vais te faire part quoi que tu ne l'aies pas demandé et n'aies vraisemblablement aucune envie de la connaître :

"La Guadeloupe (ici on peut mettre à la place : la Nouvelle Calédonie, la Corse ou pourquoi pas le Pays basque) : c'est qu'un bâton merdeux, ça n'apporte que des embrouilles, ça nous coûte plus de pognon qu'autre chose, donc laissons-la s'éloigner ;, ils veulent l'indépendance, qu'on la leur donne, etc.", tout cela témoigne d'un système qui évolue dangereusement.

A l'intérieur de la société française métropolitaine, ce sont les Arabes et les Noirs, dont on se séparerait bien, parce qu'àprès tout, ce sont plutôt des causes d'embrouilles, ça nous coûte plus de pognon qu'autre chose. Et on peut continuer comme cela avec les malades : ah, le trou de la Sécu, la hausse des dépenses de santé, c'est affreux!, avec les vieux ! Aah mais les retraites, c'est un problème, ah mais on ne peut plus, etc., et des tas d'autres.

C'est la politique du "lâchage" - ce qu'on appelait dans un autre temps et un autre contexte une "politique d'abandon".

Tout ce qui me freine, je le lâche (par exemple mon cadre sup' de 48 ans qui se fait vieux et cher), tout ce qui m'alourdit, je m'en déleleste.

Les patrons poussent des cris à fendre l'âme (des cris d'orfèvre, aurait dit Bérurier?) sur "les charges". Les travailleurs, ils pèsent.

Les chômeurs, ça pèse, faut plus les indemniser. Les fonctionnaires, ça pèse, faut dégraisser. L'armée, ça coûte trop cher, faut bazarder.

Donc la réaction épidermique oui, mais attention à bien se voir ici comme le complice du bazardage généralisé.

Donc la réaction épidermique oui, mais attention à bien se voir ici comme le complice du bazardage généralisé

Il existe un moyen démocratique , proposer un référendum.

Si les guadeloupéens ne se sentent plus français ce serait un moyen honnête de leur accorder l'indépendance.

Mais cela n'arrivera jamais car les DOM TOM sont les maisons de retraites de luxe de notre bonne oligarchie allant terminer leur jours dans ces lieux paradisiaques le tout financé par nos soins.

A sa décharge, je pense qu'il y a peu de patrons qui la supporteraient comme subordonnée! La réciprocité est respectée!

Si cela ne tenait qu'à moi ils auraient obtenu leur indépendance depuis longtemps avec Taubira comme ministre.

Y ayant vécu je puis vous assurer que cela ne se produira pas.

Dans leur tête ils sont farouchement quasi TOUS indépendantistes car en fiat ils ne supportent pas ce que nous avons été: Les maitres

DOM TOM état des lieux:

Lorsque la canne à sucre a perdu son intérêt économique, c'est là que nous aurions dû ramener CHEZ EUX en Afrique, tous ces africains. Avec pécule et indemnités! Grosses indemnités, cela aurait couté moins cher à notre Nation que ce qu'ils nous coûtent à présent.

Nous n'avons même pas été foutus de la faire pour nos pieds noirs d'Algérie, alors pour des africains.... Il y a les mots...et les actes..Passons.

Nous avons tenté de prolonger l'intérêt économique de ces îles et territoires par la distillation et la production de Rhum. Grave erreur, ce n'est ni rentable, ni une solution:

70% des antillais noirs vivent donc sous perfusion de l'Etat Français sous forme de fonctionnaires avec bien sur un déficit croissant, telle une exponentielle, puis une surpopulation galopante en plus!

Les hollandais qui sont loin d'avoir nos moyens se sont débarrassés des ces danseuses dispendieuses, même leur Guyane.. C'est devenu Guyana, en face de la Guyane française... Trafics en tout genre, banditisme etc. Ils font accoucher leurs femmes en Guyane française (droit du sol) pour un désordre local inimaginable.

C'est comme partout ou presque car même population originelle qu'en Afrique.

Nous, nous avons fait le choix de PAYER. Ce sont des gouffres sans fond.

Cependant, peut être que grâce à l'élargissement des zones d'eaux territoriales nous trouverons du pétrole au large de la Guyane en mer, cela nous remboursera un peu de cet hémorragie de fric que nous coûtent ces iles depuis 100 ans.

C'est pareil à l'ile Bourbon (la Reunion) pareil a Mayotte, c'est pareil partout.

HEUREUSEMENT, l'ile Continent "Madagascar" fut lâchée par la France qui leur a octroyé l'indépendance...Dont ils ne savent RIEN faire, les canaux que nous leurs avions creusés ne sont plus entretenus, les pompes rouillées, les écluses en ruine et la misère y est terrifiante.

Vaut mieux ne pas savoir.

La vie aux Antilles est très très couteuse car TOUT est importé, absolument TOUT à commencer par le pétrole pour les centrales électriques. Pour tenter de financer tous ces emplois de "'fonctionnaires" on y a conservé de très vieilles taxes comme "l'octroi de Mer".

Ce qui fait bien sur grimper les prix, ce n'est plus adapté aux réalités économiques contemporaines.

Cependant, l'administration est une vieille dame, elle a ses petites habitudes et les "Napoléon Buonaparte" réformateurs sont rares, donc ça bricole et c'est de pire en pire...

La culture de la banane y est subventionnée et son cours est donc de 30 à 50% plus élevé que dans le reste de la zone caraïbe qui elle est en zone dollar. Salaires de misère, alors que dans nos territoires français, salaires TRÈS élevés du fait ce ce que j'ai expliqué plus haut.

L'Europe de Bruxelles ne veut rien savoir et exige l'arrêt des subventions à la production de bananes et ananas au non de la vraie concurrence.(ces gens sont de sombres crétins)

Dès que le robinet sera fermé, ces territoires à l'équilibre social précaire seront déstabilisés.

Des émeutes extrêmement violentes auront lieu.

Cela sera solutionné par d'autres aides déguisées, un fric fous à trouver par la TAXE et l'impôt ici en France au nom de la solidarité citoyenne.

A moins que nous ayons un VRAI président qui dise a la BCE et à Bruxelles: "C'est VOTRE décision? Hé bien FINANCEZ!...Nous, terminé!" Je ne vois pas Hollande capable de faire cela, déjà, il confond la Chine et le Japon...Il est gentil, mais très limité.

Lorsque j'y était gamin, les billets de banque étaient encore avec des noirs en effigie, ceci pour calmer, rassurer, tenter d'assimiler.

Les Gendarmes aussi ont changé, les européens ont étés remplacés par des noirs.

Mais alors que les Gendarmes blancs touchaient quasi double paye en guise de prime d'éloignement outre mer, on a pas appliqué la réciproque et les natifs de l'ile touchent donc double paye pareil, ceci au nom de l'égalité dans les administrations (c'est pas double mais presque, plus voyages avion payé toutes les X années vers la métropole. (on est chez UBU!)

Plus cela va et plus ces territoires nous coutent la peau des fesses. Ceci dans un mutisme total et sans jamais avoir le moindre remerciement. Ils ne nous aiment pas, nous sommes pour eux des blancs, des descendants d'esclavagistes. C'est sans solution.

Reste les touristes, à moi les cocotiers, l'eau chaude des jolies plages, ils ne voient rien, trouvent ces territoires formidables.

Les benêts sont légions. De Gaulle disait lorsqu'il se mettait en colère :

"décidément, les français sont des veaux".

Je ne sais s'il avait raison, mais on est pas des flèches, ça c'est sur.

Cela ne fonctionne pas, ce sont des poudrières... Sans futur.

Donc la réaction épidermique oui, mais attention à bien se voir ici comme le complice du bazardage généralisé

Il existe un moyen démocratique , proposer un référendum.

Si les guadeloupéens ne se sentent plus français ce serait un moyen honnête de leur accorder l'indépendance.

Mais cela n'arrivera jamais car les DOM TOM sont les maisons de retraites de luxe de notre bonne oligarchie allant terminer leur jours dans ces lieux paradisiaques le tout financé par nos soins.

Un referendum sur l'autonomie en Guadeloupe ? Ce sera non et archi-non (et en Martinique, ils feront comme à l'UMP, ils feront un réferendum pour demander qu'on ne vote surtout pas). Et cela ne résoudra aucun problème : cf la Nouvelle Calédonie. Et en Corse, ce serait exactement pareil : raz de marée du non à l'indépendance, bordel persistant comme devant.

Si l'on croit que cela (je veux dire un non résolu à l'indépendance) donnerait "une leçon" quelconque aux indépendantistes, on se gourre gravement. Au reste, pour être des indépendantistes, ils n'en sont pas moins des êtres normaux qui savent parfaitement qu'ils sont ultra-minoritaire.

Et n'importe quel militant qui est affilié à un parti vous démontrera que cela prouve qu'il a raison et que c'est un encouragement à poursuivre la lutte.

Mais ceci m'amène à la question du referendum en soi (je veux dire sur n'importe quelle autre question) et aux critiques que j'ai déjà pu faire ailleurs sur cette mode (réactivée, revivifiée par la droite l'occasion du Mariage pour tous) de demander partout des référendums.

C'est très gentil, ça fait appel au peuple, ça fait démocratique, etc., mais c'est aussi pour les politiques une excellente façon de bazarder, là encore, bazarder leur responsabilité. On ne tranche plus, on ne décide plus, on laisse faire les sondages ou les reférendums.

Paradoxalement (je comprendrais que l'analyse suivante puisse paraître un peu retorse) l'affaire du référendum 2005 est intéressante : on dit que c'est le peuple qui va référendumiser le Traité européen. On lui explique en même temps qu'il ne peut pas refuser, bref une proposition à la Don Corleone. (=Si vous dîtes: " non", l'Europe s'effondrera, le Monde vacillera sur ses bases, vous mourrez tous très vite dans la plus extrême pauvreté et des souffrances atroces, etc.)

Le peuple en question (peut-être lassé qu'on le prenne pour un con) dit : "non".

Et là, on leur fait comprendre la chose suivante : attendez, on ne vous a pas demandé votre avis pour le connaître, mais pour que vous disiez "oui". Autrement dit, le but, ce n'est pas de connaître votre volonté, c'est de vous enchaîner à la décision que nous avons prise. Autrement dit : simple précaution, au cas où vous raleriez, ultérieurement ; on vous dira : oui, mais vous avez approuvé ce Traité. (Evidemment, cela ne marche pas plus que dans l'exemple que j'ai rapporté, touchant à l'indépance ou l'autonomie des Territoires).

Vous n'aviez pas pigé, c'est pas grave, on va faire adopter le Traité par le Parlement.

Ce que je veux dire, c'est que le reférendum, c'est juste pour se délester du fait qu'en réalité, on mène une politique (par exemple une politique européenne, ou sur la Justice, ou sur la PMA, etc.) et qu'en conséquence, on aura à répondre de cette politique.

Dans le cas de Sarkozy, la parenthèse du réferendum passé, c'est-à-dire une fois passée la geste démagogique et politicarde, il s'agissait d'en venir à la vraie politique, savoir que la France (comme gouvernement,, au sens diplomatique) voulait ce traité et qu'elle aurait préféré que les Français le veuillent aussi.

C'est pourquoi moi j'ai VIRE Sarkozy On ne prend pas l'électeur pour un andouille. De Gaulle lui, respectait les référendums! Vous n'en voulez pas moi je pense que fallait dire OUI! be bye bye et bonne chance...

La Suisse est un exemple de gestion par referendum!

Qui connait le nom du président de la confédération helvétique?

Quasi personne. Les suisses sont ils mal gérés?

A suivre comme exemple!

70% des antillais noirs vivent donc sous perfusion de l'Etat Français sous forme de fonctionnaires avec bien sur un déficit croissant, telle une exponentielle, puis une surpopulation galopante en plus!

Les hollandais qui sont loin d'avoir nos moyens se sont débarrassés des ces danseuses dispendieuses, même leur Guyane.

Cela me fait plaisir (aucune ironie ici) de trouver un message de vous qui ne comporte aucune erreur (à ma connaissance) et où vous dîtes des choses de sens sur ce que vous connaissez.

(Je le dis bien sûr d'autant plus tranquillement que je ne suis pas suspect de vous faire de la lèche).

Donc aucun désaccord mais juste un ou deux commentaires :

1) Il n'y a pas 70 % de fonctionnaires. 70% sous perfusion, oui, mais pas "fonctionnaires" (parmi lesquels pas mal de "métros", d'ailleurs). Il y a d'abord un taux de chomage hallucinant : c'est pas 7, 9, les chiffres qui nous inquiètent ici : c'est 20, 25 et plus. Mais c'est beaucoup d'aides et d'allocations souvent perçues de manière indue, avec un véritable trafic de l'extorsion de la subvention publique (des fausses familles, des faux logements, des passe-droits).

2) Pour les matières premières, bananes, canne à sucre, c'est plus compliqué que cela. Mais on pourra y revenir. Ce que vous dîtes sur le rhum est vrai, mais vous n'en indiquez pas assez les causes (qui n'ont rien de mystérieux hein, c'est les coûts et basta), mais il y a d'autres aspects intéressants : y avait peut-être un tournant intéressant pour la canne à sucre du côté des énergies alternatives, des bio-carburants (ça peut très bien faire fonctionner un moteur, la canne à sucre, aujourd'hui, et l'on pourrait améliorer le produit de ce côté-là, etc.), mais là on n'a pas été pertinents ni puissants.

3) Les hollandais. Oui, les Hollandais veulent lacher tout ce qui les emm..., mais ils ont quand même Saint-Martin, dans les Antilles, qui est une excellent lessive à pognon. Il y en a un peu (je veux dire : dans une bien moindre mesure) aussi aux Antilles : on voit dans les Marina (à Fort de France, à Pointe à Pitre (Gosier, plus précisément) et plus encore à Saint Barth') des yachts magnifiques qui pourrissent tranquillement dans les rades. Excellente niche fiscale et lessive de fric maffieux (parce que c'est quand même aussi le royaume absolu de la dope, ces pays-là, faut quand même le dire : cocaïne, crack, marijuana, mais servez-vous, Messieurs!) de premier ordre, même pas besoin d'ajouter du Nouvel Omo.

A sa décharge, je pense qu'il y a peu de patrons qui la supporteraient comme subordonnée! La réciprocité est respectée!

Il suffit de trouver la méthode. Ce type d'individus se mate facilement avec un peu d'expérience.

Lorsque j'y étais, ils étaient quasi TOUS fonctionnaires ou assimilés, agents de collectivité, de mairies etc car il n'y a AUCUN AUTRE TRAVAIL dans ces iles ou si peu.

Leurs gamines viennent ici passer les diplômes d'infirmières puis repartent et sont ensuite a vie payées par les services sociaux hospitaliers etc

Pareil pour LA Poste pareil pour quasi TOUT.

25% de taux de chômage? Pas pour les jeunes, c'est 40!

De toute façon, j'ai donné mon avis puisque le hasard a fait que je connaisse ces îles et leur économie artificielle.

Là bas le seul bon boulot c'est Dentiste.

Je n'ai pas a approfondir les raisons de cet échec économique chronique, il est patent et sans solution.

Pour le reste quand je dis qu'ils sont profondément racistes envers nous, que cela plaise ou pas, moi je l'ai VÉCU et c'est pourquoi cette C Taubira je me demande bien pourquoi elle ne sévit pas en Guyane dans "son" pays comme ils disent.

Ça façon de penser, de parler, n'est en aucun cas en adéquation avec mon pays en aucun cas.

Pensez en ce que vous voulez, moi cela m'est égal, j'en suis juste consterné. Ce serait une blanche qui parlerait comme elle, qui penserait pareil, ce serait pareil: DEHORS!

Ha mais c'est vrai, elle est noire, alors faut rien dire! Ben SI!

Tiresias on voit que t'a JAMAIS eu affaire a une antillaise en colère...

Tu rêves là. Pourquoi crois tu qu'en Afrique les mecs les refilent au taf et se la coule douce sous les baobab? Ils SAVENT, tu leur donne ton petit doigt? Elles te bouffent en entier vite fait.

Innocent :

Mais c'est beaucoup d'aides et d'allocations souvent perçues de manière indue, avec un véritable trafic de l'extorsion de la subvention publique (des fausses familles, des faux logements, des passe-droits).

Je précise, ayant observé que certains forumeurs s'intéressent à ce genre de choses et à leur destination particulière que ce genre de pratiques ne relève pas seulement d'une mauvaise volonté d'êtres pervers par nature : les Antillais ont un sens de la "famille" qui diffère un peu de celui de certains d'entre nous.

Je veux dire que le papillonnage marital (je ne parle pas du papillonnage sexuel, qui connaît là-bas une haute extension, je n'ai pas vu de chiffre récents mais ce fut pendant longtemps une haute terre de l'épidémie du Sida), je dis donc bien : le papillonnage conjugal est une pratique normale et rares sont les Antillais qui n'ont pas des gamins un peu partout, et qu'ils assûment d'ailleurs, il n'y a pas de culpabilité particulière ni de besoin de se cacher (pour d'autres raisons un peu paradoxales aussi, sur lesquelles je reviendrais à l'occasion).

Cela facilite aussi le fait de prendre des allocations de tous les côtés et la difficulté de déjouer ce genre de stratégie.

Et pour les philosophes, j'avancerais (avec prudence, Hans va me tomber dessus!) que les Noirs ayant été toujours privés de famille - un esclave n'avait pas de "famille" : on le laissait s'accoupler éventuellement avec telle ou telle fille, puis peut-être avec une autre, mais il n'avait aucun droit (et par conséquent, aucune responsabilité) sur la progéniture, qui ne lui appartenait pas, qui n'était pas sienne, et c'est peut-être bon à rappeler à nos amis anti-mariage gay qui croient que le sperme est tout, aux spermatolâtres, qui confondent le sperme et la volonté divine, ce qui permettait à ce mâle de voguer de filles en filles sans que cela ne constitue ce qu'on appelle ici "une famille" en la sanctifiant comme la seule réalité qui existe - que ces Noirs, disai-je, n'ont pas un grand sens de la Famille comme nous l'entendons.

Naturellement, ils ne sont plus esclaves, mais il y a une rémanence - je veux dire que le phénomène subsiste même en l'absence de sa cause, et ceci, apparemment, pendant un très long temps.

Le fouet.

Je comprends maintenant pourquoi elle a fait passer la traite négrière pour un crime contre l'humanité.

Travailler pour un patron doit lui être inimaginable.

Bof elle ne vaut pas 3 lignes dans un canard cette Christiane.

Après 30 ans de carrière dans la politique, elle a juste deux vélos...Restons sérieux.

Elle nous prends pour des pommes.

Courtial tu n'y est pas du tout, il y a des générations et des générations qu'ils ont des familles voyons! le Problème est que c'est une race africaine JEUNE, ils ont donc plus de filles que de garçons! Y a 3 femmes pour UN homme en Martinique, donc forcément, chaque mâle en a plusieurs.

Faut ben se sacrifier.

Moi j'avais deux doudous plus une Beké, une très belle chabine et une noire splendide et nerveuse...La bas c'était comme ça et basta.

Quant une te trouvait avec l'autre dans un dancing à Biguine et Calipso, tu pouvais détaler, sinon ta chemise... En lambeaux!

J'le sais ca m'est arrivé et ca griffe très fort!.

Quelle époque épique et y avait pas de sida c'est après que c'est arrivé, comme partout.

Courtial tu n'y est pas du tout, il y a des générations et des générations qu'ils ont des familles voyons! le Problème est que c'est une race africaine JEUNE, ils ont donc plus de filles que de garçons! Y a 3 femmes pour UN homme en Martinique, donc forcément, chaque mâle en a plusieurs.

Faut ben se sacrifier.

Non non, j'y suis tout à fait.

Y a pas "des générations et des générations", cela ne date pas du Moyen Age, c'est pas vrai. L'esclavage a été aboli en 1848 (ça fait pas 50 générations, cela) et il a continué sur son erre encore un bon moment, et ça fait encore moins des générations de générations.

Et il est tout à fait clair que si tu visites une rhumerie, par exemple, il n'y a que des Noirs qui poussent les chariots et que des Blancs dans les bureaux. (Moi je n'ai pas vu les secrétaires, tu as une expérience plus précise, manifestement ; moi, comme un con, je n'ai pas fait valoir ma blanchitude pour m'en taper deux-trois...quel ballot, mais quel ballot!).

Mais pour en rester à l'idée très précise que je voulais indiquer : si vous aimez le vertige, l'idée de se perdre dans l'insondable, dans l'incompréhensible, demandez seulement à un Antillais comment il s'appelle. Ce n'est pas difficile, ça.

Alors il va vous dire "Germain". Alors vous allez lui répondre : ah oui, mais alors pourquoi, eux, ils t'appellent Edouard (edwaou, en créole) ? Ah bah, eux, c'est pas pareil, j'ai vécu chez la deuxième femme de mon père. Ah, mais alors, tu es le frère de Gabin - qui se fait appeler partout Honoré ?

Ah, non, lui, c'est le fils de Patrice, etc.

Je tiens qui que ce soit qui est capable de comprendre ce qu'est une famille antillaise pour un égal d'Einstein.(Et, on m'aura compris, ce qu'Einstein ne pourrait faire, l'administration des impôts ou celle qui se charge des allocations familiales le pourra encore moins).

Ca, c'est seulement pour le prénom. Mais après le prénom, il y a le nom. Le fameux "nom de famille", qui est aussi flou que ce que je viens d'indiquer, et pour les mêmes raisons.

Pour le reste quand je dis qu'ils sont profondément racistes envers nous, que cela plaise ou pas, moi je l'ai VÉCU et c'est pourquoi cette C Taubira je me demande bien pourquoi elle ne sévit pas en Guyane dans "son" pays comme ils disent.

Ça façon de penser, de parler, n'est en aucun cas en adéquation avec mon pays en aucun cas.

Taubira parle un français autrement excellent que le tien. Elle n'écrit pas comme toi : "hors, nous croyons que...", elle distingue "hors" et "or" et elle a appris l'usage du participe passé, ce qui n'est encore pour toi qu'une terra incognita.

Donc, c'est pas la question, ça.

Et nulle puissance au monde (ni, je crois, une Puissance venue d'un autre Monde) ne t'enlèvera de l'idée que tu peux fort bien ignorer le participe passé et être supérieur à Taubira, parce que c'est une femme d'abord, et parce qu'elle est Noire ensuite.

Mais pour le "racisme envers nous" que tu évoques, il faut là encore être plus précis. On va admettre qu'il existe, dans les termes où tu le poses.

Mais tu oublies de dire que ce "racisme" s'étend à toute la société antillaise ! Tu oublies de dire que la participation à la blanchitude entretient du haut jusques en bas un racisme généralisé !

Je veux dire ceci : c'est pas seulement qu'il y a des Blancs et des pas Blancs. Ceci ne correspondant que très mal à la société antillaise, d'ailleurs : il y a 72 nuances entre les deux, tout ceci s'étalageant sur une échelle de la blanchitude sur laquelle les plus Blancs, les moins Noirs s'affichent sur le curseur pour réclamer leur dignité.

Il n'y a pas "les Noirs" et "les Blancs", c'est pas l'Afrique du Sud, y a des plus ou moins Noirs ou plus ou moins Blancs qui se déposent et s'échelonnent sur une hiérarchie, qui se révèle d'une puissance atroce, comme j'en ai pu faire l'expérience moi-même quand j'ai été bosser là-bas.

C'est pas : "ils aiment pas les Blancs", ils n'aiment rien d'autre qu'eux-mêmes, c'est "ils n'aiment rien d'autre qu'eux-mêmes" et ils répudient les "plus" Noirs comme des Noirs, et les "plus blancs" comme l'idéal, mais le racisme est à tous les étages.

Il n'y a pas de "Noir" et de "Blanc" absolu, là-bas, seulement du plus ou moins Noir, et le racisme se distribue à tous les étages.

Vous entendrez souvent un Noir des Antilles vous dire au sujet d'un autre qu'il est "plus Noir" que lui.

Il y a un racisme interne, qui ne se laisse nullement réduire à "anti-Blanc"