Et je disais que oui, ça ne nourrit pas, mais cela ne prend pas nécessairement les terres cultivables.
Mon pauvre vieux, que les centrales thermiques soient construites sur des terres cultivables ou sur votre pif, on s'en cogne: on manque de terre cultivable en France?
Le simple fait d'évoquer les terres cultivables sur un tel sujet, c'est déjà faire preuve d'un certain degré de déglingage de cafetière.
Mais si...
Non: :
On discute réalité ici, pas votre monde imaginaire.
Un enfant de 2 ans "très" bon en mathématiques n'est pas aussi doué qu'un adulte de 30 ans "très" doué en mathématiques.
Les rendements du solaire sont déjà "très" bons et ils ont encore le temps de s'améliorer.
Vos réponses sont des plus en plus indigentes (euphémisme pour dire: complètement stupides).
Vous comparez le niveau d'un enfant et d'un adulte, par contre, vous ne comparez le niveau du solaire avec... rien. Mais c'est "très bon" quand même.
:
Dans vos rendements nucléaires ou charbon ou pétrole, vous devriez intégrer les déperditions sur les câbles, ce qui n'existe pas pour les productions solaires ou éoliennes si on les places partout où il faut plutôt que dans des champs.
:
Les éoliennes, on ne les place pas où on consomme de l'énergie, mais là où il y a du vent, Einstein. Comme les panneaux photovoltaïques.
Et il y a nécessité de les connecter au réseau en raison de leur variabilité qui impose de compenser leur baisse de production par d'autres moyens de production. Et en plus, il faut construire le réseau nécessaire au stockage.
En conclusion, la réalité est exactement à vos fariboles: l'augmentation de sources intermittentes imposent de densifier le réseau.
Bref