Relis mon post parce que t'es à côté de la plaque.

Donc j'affirme que des histoires de pédophilie, de torture sur enfants, de congélation de bébés, d'abandon est une mode dans les familles avec (comme diraient ces clampins de cathos) "un papa et une maman". Les crimes sordides commis sur des enfants sont très très nombreux dans ces familles.

C'est sûr quand sortant des absurdités de ce genre, vous, vous ne passez pas du tout pour un zinzin de premier ordre.

Primo, "très très nombreux"? 50%? 75%? Qu'on est une idée hein...

Deuxio, "ces" familles, ce sont tout simplement des familles, il n'y a pas 56 genres de famille.

Déclarer de façon péremptoire que les couple homos vont adopter ou pratiquer la GPA pour pouvoir s'adonner à la pédophilie est tout simplement grostesque.

Il n'y a rien de péremptoire, quelqu'un a cité un cas, ce qui à l'air de vous avoir profondément perturbé.

Toi t'es vraiment pas bien dans ta tête !Faut consulter mon gars..

Toi t'es vraiment pas bien dans ta tête !Faut consulter mon gars..

Allons, pas de mauvaise foi.

Je suis d'accord avec ta remarque première qui est de dire qu'on ne généralise pas sur tous les couples homosexuels en se basant sur un cas criminel spécifique.

Par contre Haaaa a raison de dire que dans le cas de ce couple homosexuel la culpabilité est bien pire car la différence avec le couple hétérosexuel qui violente son enfant, c'est qu'ils ne l'ont pas conçu à la base, biologiquement, dans ce but précis. Les violences seraient venues après, sans préméditation. Alors que dans le cas de ce couple homosexuel, ils l'ont adopté clairement dans le but de le prostituer puisque c'est arrivé dès son adoption.

Edit : il s'agît d'une GPA, au temps pour moi. Mais ça ne change rien à la remarque, dans un cas comme dans l'autre.

Alors que dans le cas de ce couple homosexuel, ils l'ont adopté clairement dans le but de le prostituer puisque c'est arrivé dès son adoption.

Ce couple mérite la pendaison par les gonades.

Néanmoins, vu la difficulté pour un couple hétérosexuel d'adopter en France, il le serait tout autant pour un couple homosexuel.

Autrement dit il y a plus simple pour eux de se procurer de la "chair fraîche" que d'adopter ou de passer par la GPA.

6 ans c'est long, mais dans un couple hétéro, le gosse aurait douillé jusqu'à 15/16.

  • [supprimé]

Autrement dit il y a plus simple pour eux de se procurer de la "chair fraîche" que d'adopter ou de passer par la GPA.

Ca ne se passe pas en France...

A partir de $10 000, on peut louer le ventre d'une femme aux USA. Et acheter le bébé qui en sort.

6 ans plus tard

Le mauvais procès en homophobie de la Pologne

Les médias français aux ordres du lobby LGBT oublient de faire leur travail :

« La Pologne rongée par la haine anti-LGBT » (La Croix), « Pologne : une gay pride attaquée par des ultranationalistes » (Le Figaro), « Une Marche des fiertés LGBT à Bialystok, bastion nationaliste en Pologne, vire au cauchemar » (Le Monde). Le bilan de ce « cauchemar », ou de ce « pogrom » pour reprendre le terme utilisé par Robert Biedron, le leader du parti LGBTiste Wiosna (Printemps) ? Zéro mort, un adolescent de 14 ans blessé à la clavicule par un hooligan (qui a été arrêté), un autre victime de vol avec menaces, une policière blessée à la jambe, zéro voiture brûlée et zéro vitrine brisée à la Marche des égalités organisée le 20 juillet dernier, pour la première fois dans la ville de Bialystok, dans l’est de la Pologne. Une gay pride qui a effectivement suscité des contre-manifestations nombreuses. Face aux quelques centaines de militants LGBT, des milliers de personnes venues s’y opposer après les provocations anticatholiques et les profanations commises lors d’autres manifestations du même type à Gdansk, Varsovie et Czestochowa (voir Présent du 19 juin).

La contre-manifestation qui a fait du bruit, et qui est à l’origine des violences, c’est celle organisée par des supporters de foot, souvent proches des milieux nationalistes, venus de toute la Pologne pour « défendre la ville contre les pervers », car « tous ont vu leurs homoparades à Varsovie, Gdańsk et Częstochowa où les symboles religieux de la foi chrétienne ont été ouvertement profanés et moqués ». Résultat des courses : quelques heurts avec la police qui protégeait les manifestants et plusieurs dizaines d’arrestation. Puis la gauche en a profité pour lancer sa campagne électorale en organisant, huit jours plus tard à Bialystok, une manifestation contre la haine et la violence, mais apparemment uniquement lorsqu’elles visent les milieux LGBT. […]

https://present.fr/2019/08/01/le-mauvais-proces-en-homophobie-de-la-pologne/

Après la peste brune et la peste rouge, la peste arc-en-ciel

Mgr Marek Jędraszewski, archevêque de Cracovie, hier, au cours d’une messe à la basilique Sainte-Marie pour le 75e anniversaire du soulèvement de Varsovie :

« La peste rouge ne parcourt plus notre terre. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y en ait pas une nouvelle. Une Pologne libre est née, même s’il a fallu attendre sa naissance très longtemps. La peste rouge ne parcourt plus notre terre, heureusement, mais cela ne signifie pas qu’une nouvelle peste ne veuille contrôler nos âmes, nos cœurs et nos esprits. Non pas marxiste, bolchevique, mais née du même esprit. Pas rouge, mais arc-en-ciel. »

« Au nom de la règle du droit, vous pouvez faire du tort. La plus grande tolérance est aussi un sommet d’intolérance. La violence, l’humiliation, les moqueries à propos des signes les plus sacrés : Notre-Dame de Częstochowa, apparaissent sur des lèvres qui proclament la tolérance, et aux jours même du symbole du combat polonais. Le souvenir des tombeaux nous pousse à nous défendre et à défendre une liberté authentique. »

http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2019/08/02/un-archeveque-polonais-6168039.html