Je serais toujours du côté de l’État en cas de guerre civile, si l’État dont je suis ressortissant me demande de prendre les armes, je le ferais. Maintenant si il se dissout totalement et que deux factions apparaissent en dehors de l’État et s’affrontent, j'irais voir ailleurs tout simplement.
Surtout ne réfléchie pas plus, l'état a toujours raison même s'il est totalitaire.
Je dirais plutôt surtout si il est totalitaire, nos États actuels reconnaissent parfois avoir tort, comme si il y avait une vérité hors de l’État. Or l’État est supérieur aux idéologies (et idéaux foireux de liberté, égalités et autres calembredaines ridicules). Qu'il se serve de ces idéologies est normal, mais qu'il y cède lui-même est inacceptable.
Sinon Alexis, tout d'abord il était clair pour tout juriste que les lois constitutionnelles n'autorisaient pas le parlement à prendre une telle décision, mais surtout, en me projetant dans le passé je m'extrais déjà du contexte (je n'aurais probablement pas eu mes idées si j'avais vécu à cette époque), donc quitte à faire fi du contexte, autant l'abstraire entièrement.