38 % des élèves français âgés de 15 ans ont redoublé au moins une fois durant leur scolarité. Selon les experts de l'OCDE, ce très fort taux de redoublement ne prémunit pas contre l'échec scolaire. En augmentant le nombre d'années passées à l'école, il augmente aussi le coût du redoublement, estimé à près de 2 milliards d'euros. Sommes-nous bien préparés pour affronter la mondialisation ? http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=palmares%20des%20pays%20en%20redoublement&source=web&cd=1&cad=rja&ved=0CC0QFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.linternaute.com%2Factualite%2Fmonde%2Fles-pays-champions-de-l-education%2Fredoublement.shtml&ei=MyuuUa-GGZCHhQfgyYGoCw&usg=AFQjCNHVmJFXfb1kehYpZPe-HUUKqmjB7w

Vu que l'on bloque un apprentissage technique vers les 12/14 ans à une part de la jeunesse peu intéressé par les intégrales et le nom des 5 plus grands fleuves chinois, pas trop le choix que le redoublement. Un passage rapide à l’apprentissage accompagné d'une réforme de la formation professionnelle pour les aider si ils se sente plus tard près pour tenter des diplôme me semble un moyen de sauver une bonne part des élèves en échec scolaire. Mais nos élite préfère le tous au BAC inadapté à notre société qui pour compensé importe ses travailleurs peu qualifiés manquants.

Le redoublement en France vient de la volonté de retarder le plus possible l'orientation professionnelle, et l'idée démagogique de donner une "seconde chance" à ceux qui ne suivent pas, en espérant qu'ils suivront mieux l'année d'après. Il vaudrait mieux fixer des caps d'orientation, dès le plus jeune âge : en sortie de primaire, soit à l'entrée en sixième, puis chaque année jusqu'à la fin du secondaire. Mais pour cela, réorganiser les classes avec des filières plus ou moins courtes et ouvertes sur l'enseignement professionnel. Le bac pour tous, avec 1/3 de redoublants, c'est une ânerie.

Le redoublement en France vient de la volonté de retarder le plus possible l'orientation professionnelle, et l'idée démagogique de donner une "seconde chance" à ceux qui ne suivent pas, en espérant qu'ils suivront mieux l'année d'après. Cela vient surtout d'une génération de branleurs avec l'aval des parents. Exigences de plus en plus faibles pour des gosses qui en font de moins en moins ...

Le redoublement en France vient de la volonté de retarder le plus possible l'orientation professionnelle, et l'idée démagogique de donner une "seconde chance" à ceux qui ne suivent pas, en espérant qu'ils suivront mieux l'année d'après. Il vaudrait mieux fixer des caps d'orientation, dès le plus jeune âge : en sortie de primaire, soit à l'entrée en sixième, puis chaque année jusqu'à la fin du secondaire. Mais pour cela, réorganiser les classes avec des filières plus ou moins courtes et ouvertes sur l'enseignement professionnel. Le bac pour tous, avec 1/3 de redoublants, c'est une ânerie. Je suis d'accord car les métiers visé demandant de la pratique et des années pour acquérir les compétences, autant s'y mettre au plus tôt, ce serait comme le système des apprenties au Moyen-Age. Aussi favoriser les personne "polyvalente",en leur apprenant plusieurs métier du même domaine (BTP en général). .

Certains élèves de 15 ans donc en 3° doublent car leurs chers parents espèrent qu'ils pourront intégrer la voie royale l'année d'après! à savoir le lycée général et faire un bac S à coups de cours de maths et de physique pendant 3 ans!

Le redoublement en France vient de la volonté de retarder le plus possible l'orientation professionnelle, et l'idée démagogique de donner une "seconde chance" à ceux qui ne suivent pas, en espérant qu'ils suivront mieux l'année d'après. Il vaudrait mieux fixer des caps d'orientation, dès le plus jeune âge : en sortie de primaire, soit à l'entrée en sixième, puis chaque année jusqu'à la fin du secondaire. Mais pour cela, réorganiser les classes avec des filières plus ou moins courtes et ouvertes sur l'enseignement professionnel. Le bac pour tous, avec 1/3 de redoublants, c'est une ânerie. Il faut savoir que le maître de CM2 qui veut orienter un enfant en SEGPA (section d'enseignement général et professionnel adapté) ne peut le faire QUE si l'enfant a 1 an de retard! : Un enfant qui présente des difficultés durables peut doubler et redoubler autant de fois, cela ne changera rien.

Le redoublement en France vient de la volonté de retarder le plus possible l'orientation professionnelle, et l'idée démagogique de donner une "seconde chance" à ceux qui ne suivent pas, en espérant qu'ils suivront mieux l'année d'après. Il vaudrait mieux fixer des caps d'orientation, dès le plus jeune âge : en sortie de primaire, soit à l'entrée en sixième, puis chaque année jusqu'à la fin du secondaire. Mais pour cela, réorganiser les classes avec des filières plus ou moins courtes et ouvertes sur l'enseignement professionnel. Le bac pour tous, avec 1/3 de redoublants, c'est une ânerie. Il faut savoir que le maître de CM2 qui veut orienter un enfant en SEGPA (section d'enseignement général et professionnel adapté) ne peut le faire QUE si l'enfant a 1 an de retard! : Un enfant qui présente des difficultés durables peut doubler et redoubler autant de fois, cela ne changera rien. tout le problème est de distinguer le durable du simple manque de base qu'une année de redoublement peut suffire à combler. il faudrait voir le taux de réussite des redoublements, comparer le nombre de ceux qui ayant redoubler arrivent à faire de hautes études et celui de ceux qui malgré un redoublement échouent encore ensuite.

daniel, un enseignant compétent peut assez vite se rendre compte si les difficultés sont durables ou pas. Un enfant qui ne progresse que très lentement (quand il progresse) avec des aides appropriées et un étayage constant a des difficultés durables. En évaluant correctement les capacités de raisonnement, de logique et en diversifiant les supports, on arrive vite à ce constat. Il passe 9 ans à l'école primaire... on a le temps de se rendre compte du phénomène, je pense. Je mets de côté les troubles des apprentissages spécifiques , troubles dys par exemple, qui ne sont pas du même ordre. Ce dont je parle n'englobe pas les 38%, ils en font juste partie. J'édite pour l'âge (15 ans dans l'article). Donc je confirme : c'est énorme!

En mon temps, un an de redoublement était pénalisant pour entrer dans les meilleures prépas, 2 ans était éliminatoires, c'est du moins ce qui se disait. Je pense que l'enseignement est trop dispersé, pas assez concentré sur les fondamentaux en primaire. Les élèves sont peu concentrés, trop distraits par les multiples activités qu'ils ont en dehors de l'école. Je trouve le collège laxiste au niveau de l'enseignement, je ne parle pas de la discipline. Seul le lycée me semble de bonne tenue. L'enseignement en Fac est une catastrophe au niveau encadrement. On s'attend à ce que les étudiants se prennent en charge, mais beaucoup ne sont pas capable de travailler sans encadrement contraignant et partent à la dérive, sortent du circuit sans qualification. On les laisse aussi emprunter des filières sans perspectives d'emploi et même réussissant, ceux là ne trouvent pas d'emploi pour leur qualification, il faudrait un filtrage à l'entrée par concours pour limiter les formations aux perspectives d'emploi. Ce n'est pas un avis de professionnel, juste mon expérience de parent comparé à mon vécu antérieur. On souffre encore d'une mauvaise image de marque des cycles courts qui font persister des élèves dans des cycles longs pour lesquels ils n'ont pas la motivation et les capacités, image confirmée malheureusement par les différences de salaires pour celui qui est employé. Au niveau du rythme, je pense qu'un redoublement par cycle est un maximum, que deux redoublements sont le signe qu'on est pas fait pour un système scolaire trop théorique et qu'il faut des filières d'orientation court à tous les niveaux cap/bep/bts.

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38 % des élèves âgés de 15 ans ont redoublé !

torchwood

hep.. what else ...

faut mettre le © non mais...

obiwan

j'a beaucoup de mal à croire ce chiffre...s'il est vrai, je le trouve stupéfiant : on n'a le droit de faire redoubler un enfant qu'1 seule fois en primaire (de la petite section au CM2).

En général, on fait doubler, toujours en primaire, grand maximum 5 élèves par catégorie d'âge (20%)...alors presque 40% à 15 ans, je trouve cela sidérant...

Bein CE1, CE2, CM1,CM2 ça fait 4 ans

6ième ,5ième,4ième,3ième...(15ans 8) )

ça fait 4 ans aussi...

20% tout les quatre ans ça fait grossomerdo...40% What else?

il n'a pas compris, le Frelon...Dame Intelligence ne l'a pas piqué à la naissance...les 20% qui redoublent en primaire, c'est entendu...je trouve justement cela COMPLETEMENT incroyable qu'on fasse encore doubler 5 enfants d'une même classe d'âge sur la scolarité du collège...entendido?

nyarlathotep

En 6e j'avais un pote dans ma classe qui avait l'âge d'être en 3e.

frelon

j'a beaucoup de mal à croire ce chiffre...s'il est vrai, je le trouve stupéfiant : on n'a le droit de faire redoubler un enfant qu'1 seule fois en primaire (de la petite section au CM2).

En général, on fait doubler, toujours en primaire, grand maximum 5 élèves par catégorie d'âge (20%)...alors presque 40% à 15 ans, je trouve cela sidérant...

Bein CE1, CE2, CM1,CM2 ça fait 4 ans

6ième ,5ième,4ième,3ième...(15ans 8) )

ça fait 4 ans aussi...

20% tout les quatre ans ça fait grossomerdo...40% What else?

T'ain... je plains tes élèves... :?

c'est quand même vraiment dur en primaire, de s’imprégner de l'esprit d'un prof socialiste...

frelon

En 6e j'avais un pote dans ma classe qui avait l'âge d'être en 3e.

je l'ai connu aussi il s'appelait "momo" et il avait une plus grande bite que toi... c'est ça?

nyarlathotep

Non, un white trash.

cheshire-cat

Les français sont très attachés à l’échec scolaire.

Le redoublement est trop souvent conçu comme une punition alors qu'il ne devrait être pratiqué que si il est dans l’intérêt de l'enfant.

obiwan

c'est quand même vraiment dur en primaire, de s’imprégner de l'esprit d'un prof socialiste...

Ils se débrouillent bien : 81% de réussite aux évaluations nationales CM2 vous ne pouvez hélas pas en dire autant

frelon

t'ain le gogol qui veut me donner des leçons... démerde toi avec tes "quote" déjà...

pi... 80% de réussite c'est normal non?

moi je ne m'occupe pas du CM2... je les récupère après et je constate qu'ils ne connaissent pas les fractions ni les tables de multiplication et ni les additions de tête vos élèves...ça en tue scolairement un sacré paquet... c'est moi qui vous le dit 8)

PS je laisse un prof de français pour nous expliquer le "refilage" du "mistigri" question orthographe des "enseignants" du primaire...

obiwan

regardez nos résultats au PISA, vous verrez que 81% de réussite en secteur en difficulté, c'est pas mal ;) grâce à moi, c'est autant de travail en moins que vous avez à faire...vous devriez m'en être reconnaissant, ingrat que vous êtes

frelon

regardez nos résultats au PISA, vous verrez que 81% de réussite en secteur en difficulté, c'est pas mal ;) grâce à moi, c'est autant de travail en moins que vous avez à faire...vous devriez m'en être reconnaissant, ingrat que vous êtes

en fait non... comme je suis dans le privé... 8) plus ils sont dans la merde et plus je gagne de fric... 8)

obiwan

arfff, avec des gars comme moi, vous allez vous retrouver au chômage

der-richter

L'élève qui redouble s’ennuie en repassant par les mêmes cours et ne profite pas correctement du redoublement

Le redoublement est une marque qu'on adhère mal au système scolaire.

la mode actuellement est d'essayer de supprimer les redoublements (ça coûte cher) mais s'en tenir compte si on a les acquis ou non

il faut améliorer notre système scolaire, le redoublement n'est qu'un symptôme de son échec

Le redoublement, m'est avis, est très souvent le signe que les parents de l'élève sont en mode démission totale. Du coup, si l'élève n'est pas particulièrement motivé, il glande.

Des cours du soir obligatoires pour les élèves en difficultés pourraient peut-être aider.

nyarlathotep

Un peu facile d'accuser les parents.

der-richter

Un peu facile d'accuser les parents.

Je en pense pas être un adepte de la facilité et de ce que j'ai pu observer ce semble être un facteur majeur. On est dans l'empirique mais il me parait peu probable que le facteur intellectuel soit si pénalisant à ce niveau dans de si grandes proportions.

faberius

Le redoublement, m'est avis, est très souvent le signe que les parents de l'élève sont en mode démission totale. Du coup, si l'élève n'est pas particulièrement motivé, il glande.

C'est plutôt l'éducation nationale qu'il faut blâmer puisqu'il me semble que cette dernière s'est défaussée sur les parents qui peuvent accepter ou refuser le redoublement proposé par l'établissement.

Des cours du soir obligatoires pour les élèves en difficultés pourraient peut-être aider.

Le véritable problème c'est qu'il n'y a plus d'orientation en 5ème et qu'on retrouve des élèves complètement dépassés déjà en 5ème et qui vont tranquillement se retrouver en 3ème...

Dans la classe de ma fille, des élèves avec 4 de moyenne générale en 5ème sont passés en 4ème et finiront en 3ème avec 2 de moyenne générale... Que de temps perdu

nyarlathotep

Je en pense pas être un adepte de la facilité et de ce que j'ai pu observer ce semble être un facteur majeur. On est dans l'empirique mais il me parait peu probable que le facteur intellectuel soit si pénalisant à ce niveau dans de si grandes proportions.

Donc empiriquement le professeur et le temps passé à l'école valent moins que la "démission" (?) des parents dans la réussite scolaire ?

Le concept ce n'est pas justement de sortir l'enfant de son cadre familial régulièrement pour l'instruire indépendamment de l'attitude et des connaissances de ses parents ?

La faute du gamin, on l'envisage quand ?

der-richter

Je en pense pas être un adepte de la facilité et de ce que j'ai pu observer ce semble être un facteur majeur. On est dans l'empirique mais il me parait peu probable que le facteur intellectuel soit si pénalisant à ce niveau dans de si grandes proportions.

Donc empiriquement le professeur et le temps passé à l'école valent moins que la "démission" (?) des parents dans la réussite scolaire ?

Le concept ce n'est pas justement de sortir l'enfant de son cadre familial régulièrement pour l'instruire indépendamment de l'attitude et des connaissances de ses parents ?

La faute du gamin, on l'envisage quand ?

Vous pensez que le travail seul au sein des quatre murs d'une école d'un collège ou d'un lycée est suffisant en soi?

Personnellement j'en doute, pour la grande majorité des élèves en tout cas. De plus si le rôle d'un parent n'est pas de veiller à son éducation, quel est-il?

Vous noterez par ailleurs que mon raisonnement n'est pas binaire.

nyarlathotep

Vous pensez que le travail seul au sein des quatre murs d'une école d'un collège ou d'un lycée est suffisant en soi ?

Bien sûr.

S'il n'est pas prolongé par l'élève, le problème vient de professeurs sans vocation ou de l'élève lui-même, qui n'est pas fait pour les choses de l'esprit et serait bien mieux réorienté dans des filières professionnelles une fois les bases acquises (fin du collège), ce qui peut prendre dix ou onze ans au lieu de neuf s'il est limité mais de bonne volonté. Si la bonne volonté est absente, les parents ne sauraient être désignés comme seuls responsables : les enfants ont leur propre caractère et les facteurs extrafamiliaux qui participent à leur développement mental sont innombrables, surtout aujourd'hui où de multiples brèches sont ouvertes en permanence dans chaque foyer (écrans de télévision, ordinateur, tablettes, téléphones...)

Je ne comprends pas tout ce raffut autour d'une pratique saine et compréhensible, et ne me l'explique comme Tirésias que par la croyance répandue que chaque année naissent 90% de génies prédestinés à réussir un bac scientifique au niveau réel.

jujujem

Alexis qu'entends tu par filière professionnelle ?

Dis tu qu'il faut envoyer les élèves en difficulté dans les filières techniques?

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