Je n'y crois pas...
Je vous découvre, Alex (1), sans dec'. Et j'ai repentir de mes sarcasmes passés.
Sous la carapace (je devrais peut-être dire la statue du Commandeur, maintenant ?) du bretteur qui se caparaçonne, il y a un tout petit coeur qui bat ?
Changement à vue ? Vous vous déboutonnez, à présent ?
Même moi (pour prendre les choses au pire), j'ai bien dû me désolidariser des pensées immortelles du Président Mao-Zedong, quoi qu'il m'en coûte.
ON ne peut pas croire que vous cautionniez ce texte à chier. (O toi qui te mis au service de Mars et tout cela, vous arrivez à le lire sans rire ? )
Sauf, encore une fois, l'amour, et là on n'y peut rien.
(1) Vous permettez que je vous appelle Alex', n'est-ce pas. Copain comme nous sommes. J'espère que c'est un hasard, j'ai dû batailler pendant des mois, ailleurs, avec un "Alexis", qui ne partageait pas du tout mes vues sur Kant. Il avait commencé aussi par me prendre de haut, j'y ai mis bon ordre, mais ce fut assez dur, comme dialogue.