Le rap? De la musique de fascistes :

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Les artistes sont rangés en clans en fonction des idéologies véhiculées, dans le rap comme dans les autres musiques.

Et dans l'art en général. C'est ainsi qu'on se vantera plus élégamment d'avoir lu "les mains sales" de Sartre que "voyage au bout de la nuit" de Celine.

On range dans des cases, c'est plus facile, et pourtant, y'a pas photo entre les deux !

Le rap sait aussi produire de l'intelligent, IAM, avec deux sublimes albums, ombre est lumière, l'école du micro d'argent

J'ai les deux albums, je les ai écoutés durant ma prime jeunesse. A ton avis de qui je parlais quand j'évoquais les crétins aux pseudos d'égyptiens antiques ?

Musicalement j'y connais rien, donc je ne les enfoncerai pas sur le sujet, mais niveau poétique, ça tient du sketch de Bigard.

Tu ne comprends pas, alors tu les rangent dans la case, merdique ... c'est un comportement classique très développé sur terre, je ne me reconnais pas dans les textes, dans le style de musique, alors je jette, je pourris, limite, j'insulte ... comportement de gamins immatures face aux préférences toujours référentielles.

Niveau poétique, tu sais qu'un artiste qui fait du rap sera écouté par des jeunes de banlieues généralement, tu voudrais qu'ils s'expriment comme un avocat ou comme un poète des lumières, a coup sur, le message ne passera pas, langage trop incohérent avec celui développé par ceux qui écoutent du rap, la manière de poser les textes doit garder des vraisemblances avec ceux qui les écoutes, en fonction de leur milieu social et des habitudes prises depuis l'enfance, là, le message pourra passer, mais tu ne semble pas concerné par les textes, que tu conchis gentiment ne comprenant pas l'orientation prise par IAM, et surtout, vers qui les textes sont dirigés.

S'enfermer dans un genre, un style, fait perdre les orientations prises pour toucher un certain type de publique, spécifique ...

Pour comprendre les sociétés, les gens, sans discrimination, sans partialité, il faut savoir tout écouter, pour comprendre le pourquoi d'un besoin musical dirigé vers un type de gens dans une population.

Pas trop d' instrumentistes dans le Rap, parce que quand tu es pauvre et que tu habites Harlem, un piano, un cuivre ou une gratte, ça coute cher, et c 'est dans ce quartier oû est sortie le rap.

Les samples se sont greffés après, sur les voix et, les textes.

En France, question textes; ''laisse pas trainer ton fils '' de Ntm ou ''petit frère'' de Iam, même veine, sont encore d' actualité quand au message délivré.

Rohff, reste le plus intéressant en la matière.

Booba fait son business, et c 'est plus du rap game, bling bling , clash etc.…

Quant à Kerry James, tout n' est pas à jeter.

Evidement question flow, on est loin de Mob Deep, par exemple.

  • [supprimé]

Bonjour,

Cela ne vaut pas Antoine ni Yvette Horner.

Cordialement.

Seyfu vaut largement Antoine. Question texte.

  • [supprimé]

Un morceau qui me parle bien ;)

Ambiance, référence, clarté du phrasé etc...

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Tu ne comprends pas, alors tu les rangent dans la case, merdique ... c'est un comportement classique très développé sur terre, je ne me reconnais pas dans les textes, dans le style de musique, alors je jette, je pourris, limite, j'insulte ... comportement de gamins immatures face aux préférences toujours référentielles.

Bah, c'était justement pas référentiel, mais si quelque chose t'a échappé, je veux bien revenir dessus.

Niveau poétique, tu sais qu'un artiste qui fait du rap sera écouté par des jeunes de banlieues généralement, tu voudrais qu'ils s'expriment comme un avocat ou comme un poète des lumières, a coup sur, le message ne passera pas, langage trop incohérent avec celui développé par ceux qui écoutent du rap, la manière de poser les textes doit garder des vraisemblances avec ceux qui les écoutes, en fonction de leur milieu social et des habitudes prises depuis l'enfance, là, le message pourra passer, mais tu ne semble pas concerné par les textes, que tu conchis gentiment ne comprenant pas l'orientation prise par IAM, et surtout, vers qui les textes sont dirigés.

Ouala...

En gros, le jeune de banlieue est une pauvre chiure intellectuelle au niveau de laquelle il faut s'abaisser. Plutôt réducteur, non ?

Mon prof de français de seconde, M. Israel, ça s'invente pas, féru de poésie, nous a fait à tous, composer un quatrain en alexandrins coupés à l’hémistiche.

'tain quatre vers à la con qui m'ont fait transpirer jusqu'à tard dans la nuit, tellement je n'avais pas l'habitude d'un tel exercice à quinze ans... Et jamais, au grand jamais, je n'ai vu un tel effort dans le moindre texte de rap. Aucun d'entre leurs auteurs n'en est capable !

Pourtant, je n'ai connu, comme eux, que l'école publique.

S'enfermer dans un genre, un style, fait perdre les orientations prises pour toucher un certain type de publique, spécifique ...

Pour comprendre les sociétés, les gens, sans discrimination, sans partialité, il faut savoir tout écouter, pour comprendre le pourquoi d'un besoin musical dirigé vers un type de gens dans une population.

En gros, faut parler comme un mongolien à certaines populations. J'ai bon ou tu m'expliques l'inverse ?

  • [supprimé]

Bonjour,

Le rap c'est très commercial comme le rasoir électrique et le presse-purée à pistons.

Cordialement.

Sans parler de la brosse à dents à ultrasons.

  • [supprimé]

Bonjour,

Dans le rap ce qui manque c'est le tambour. Parce que moi j'écoute surtout le tambour. C'est une question de formation musicale. D'ailleurs chez moi j'ai un tambour. Mon rythme préféré c'est tagada boum boum. Je m'entraîne depuis 15 ans. J'ai même suivi les enseignements d'un grand Maître à Munich. Lui il faisait le tambour Bavarois, moi je fais le tambour de Bordeaux c'est assez différent, mais il y a des vraisemblances culturelles incontestables. D'ailleurs je suis pour la mixité du tambour, comme je l'ai déjà dit à France-Culture.

Cordialement.

Ouala...

En gros, le jeune de banlieue est une pauvre chiure intellectuelle au niveau de laquelle il faut s'abaisser. Plutôt réducteur, non ?

Mon prof de français de seconde, M. Israel, ça s'invente pas, féru de poésie, nous a fait à tous, composer un quatrain en alexandrins coupés à l’hémistiche.

'tain quatre vers à la con qui m'ont fait transpirer jusqu'à tard dans la nuit, tellement je n'avais pas l'habitude d'un tel exercice à quinze ans... Et jamais, au grand jamais, je n'ai vu un tel effort dans le moindre texte de rap. Aucun d'entre leurs auteurs n'en est capable !

Pourtant, je n'ai connu, comme eux, que l'école publique.

En gros, les jeunes ont une fréquence neuronale qui correspond à leur manière de vivre, de concevoir, de parler, de penser, pour qu'ils puissent comprendre un texte, il faut que le texte soit en accord avec leur manière de vibrer, tout texte sortant de leurs habitudes ne sera pas écouté, la fréquence sortant de leurs habitudes journalières ... il faut savoir s'abaisser pour relever ceux en bas de l'échelle sociale ou presque, cela leur permettra de monter avec comme appui des textes, des chansons, en correspondance avec eux et leurs art de vivre ... c'est pourtant simple, comment tu voudrais être compris par des jeunes si tu leur cause d'une manière qu'ils ne comprennent pas, cela serait contre productif.

En gros, faut parler comme un mongolien à certaines populations. J'ai bon ou tu m'expliques l'inverse ?

Tu exagère le propos, pour être compris, il faut une certaine corrélation entre les artistes et les gens qui les écoutent, les grands frères dans les cités ont plus d'impact que la police de proximité, question d'émulation linguistique, il paraitrait qu'en France, il faut s'habiller comme les Français, mais en banlieues, il faudrait parler le langage des beaux quartiers ? c'est incohérent, logique qu'il y ait incompréhension des deux bords, ils ne se comprennent pas ! ils ne sont pas sur la même longueur d'onde !!!

Je te pensais moins stupide ...

  • [supprimé]

Bonjour,

Je n'aime pas le rap parce que c'est une instrumentalisation de la musique à connotations sociales marquées. Le Jazz noir américain représente par exemple une reconnaissance communautaire mais passe par contre par un processus de sublimation qui n'existe pas dans le rap. Le calcul du sampler par exemple c'est un geste technique sans plus. Quant aux textes je n'aime pas du tout le ton qui est une sorte d'interpellation bruyante sans mélodie, de type monotonique obsessive. Il y a aussi une incapacité générale à développer l'harmonie par décomposition de la tonalité.

Cordialement.

Bonjour,

Je n'aime pas le rap parce que c'est une instrumentalisation de la musique à connotations sociales marquées. Le Jazz noir américain représente par exemple une reconnaissance communautaire mais passe par contre par un processus de sublimation qui n'existe pas dans le rap. Le calcul du sampler par exemple c'est un geste technique sans plus. Quant aux textes je n'aime pas du tout le ton qui est une sorte d'interpellation bruyante sans mélodie, de type monotonique obsessive. Il y a aussi une incapacité générale à développer l'harmonie par décomposition de la tonalité.

Cordialement.

Le modernisme fait naitre les branleurs profitant de la technologie pour faire de la musique ... mais rien ne vaut l'art de jouer d'un ou de plusieurs instruments.

En gros, les jeunes ont une fréquence neuronale qui correspond à leur manière de vivre, de concevoir, de parler, de penser, pour qu'ils puissent comprendre un texte, il faut que le texte soit en accord avec leur manière de vibrer, tout texte sortant de leurs habitudes ne sera pas écouté, la fréquence sortant de leurs habitudes journalières ... il faut savoir s'abaisser pour relever ceux en bas de l'échelle sociale ou presque, cela leur permettra de monter avec comme appui des textes, des chansons, en correspondance avec eux et leurs art de vivre ... c'est pourtant simple, comment tu voudrais être compris par des jeunes si tu leur cause d'une manière qu'ils ne comprennent pas, cela serait contre productif.

Je suis très loin de partager ton point de vue.

Tu décris la population des banlieues avec le recul d'un Levi-Strauss parlant des Bonobos. Les jeunes de banlieue ne sont pas des singes à qui il faudrait lancer des cacahuètes pour pouvoir en obtenir l'attention, ils sortent des mêmes écoles publiques que toi et moi, en France en 2013 !

Et puis va expliquer à tous ces rappeurs à peine plus évolués que leur public, que leur art permet de s'abaisser au niveau d'un collégien, tu seras bien reçu.

Tu exagère le propos, pour être compris, il faut une certaine corrélation entre les artistes et les gens qui les écoutent, les grands frères dans les cités ont plus d'impact que la police de proximité, question d'émulation linguistique, il paraitrait qu'en France, il faut s'habiller comme les Français, mais en banlieues, il faudrait parler le langage des beaux quartiers ? c'est incohérent, logique qu'il y ait incompréhension des deux bords, ils ne se comprennent pas ! ils ne sont pas sur la même longueur d'onde !!!

Personne ne parlait ma langue ni celle de mes copains. On s'adaptait et on progressait.

Je te pensais moins stupide ...

Bah, comme ça, t'es fixé !

  • [supprimé]

En gros, les jeunes ont une fréquence neuronale qui correspond à leur manière de vivre, de concevoir, de parler, de penser, pour qu'ils puissent comprendre un texte, il faut que le texte soit en accord avec leur manière de vibrer, tout texte sortant de leurs habitudes ne sera pas écouté, la fréquence sortant de leurs habitudes journalières ... il faut savoir s'abaisser pour relever ceux en bas de l'échelle sociale ou presque, cela leur permettra de monter avec comme appui des textes, des chansons, en correspondance avec eux et leurs art de vivre ... c'est pourtant simple, comment tu voudrais être compris par des jeunes si tu leur cause d'une manière qu'ils ne comprennent pas, cela serait contre productif.

Je suis très loin de partager ton point de vue.

Tu décris la population des banlieues avec le recul d'un Levi-Strauss parlant des Bonobos. Les jeunes de banlieue ne sont pas des singes à qui il faudrait lancer des cacahuètes pour pouvoir en obtenir l'attention, ils sortent des mêmes écoles publiques que toi et moi, en France en 2013 !

Et puis va expliquer à tous ces rappeurs à peine plus évolués que leur public, que leur art permet de s'abaisser au niveau d'un collégien, tu seras bien reçu.

Tu exagère le propos, pour être compris, il faut une certaine corrélation entre les artistes et les gens qui les écoutent, les grands frères dans les cités ont plus d'impact que la police de proximité, question d'émulation linguistique, il paraitrait qu'en France, il faut s'habiller comme les Français, mais en banlieues, il faudrait parler le langage des beaux quartiers ? c'est incohérent, logique qu'il y ait incompréhension des deux bords, ils ne se comprennent pas ! ils ne sont pas sur la même longueur d'onde !!!

Personne ne parlait ma langue ni celle de mes copains. On s'adaptait et on progressait.

Je te pensais moins stupide ...

Bah, comme ça, t'es fixé

Bonjour,

Levi Strauss n'a pas étudié les Bonobos mais les Bororos.

Cordialement.

T'ain quel con je fais des fois...

Tu peux encore éditer avant d'avoir une plainte au cul.

Je plaiderai responsable mais pas coupable...