Le problème dans cette affaire est que le patient concerné est handicapé et que le corps médical le considère comme un légume qu'il faut arroser et donner de l'engrais pour qu'il continue à vivre. Une partie de la famille dont la femme a accepté que le corps médical le laisse mourir de faim et soif, une autre partie de la famille dont les parents considèrent que n'étant pas mort, il a toujours le droit de vivre, même s'il ne peut pas se nourrir seul.Si l'euthanasie était autorisée en France ....
Encore faudrait-il déterminer avec justesse les circonstances de la prise de décision du corps médical.
La justice a tranché, il ne mourra pas de faim ni de soif, ceci dit, avec 3l d'hydratation sur 24h, ce sera peut-être de noyade.