Moins facile de lui apporter des raisons de vivre. Donc on choisi la facilité, c'est lâche.
En attendant que tu trouves les arguments pour lui expliquer que c'est mieux de manger des sachets de nourriture liquide par intraveineuse qu'un bon Big Mac au McDo, ou que regarder le plafond ça a ses avantages comparé à une belle accélération en CBR, c'est lui qui souffre. S'il a demandé de mourir, c'est injuste de lui refuser.
et du coup je ne résiste pas à la tentation de remettre les paroles de cette chanson :
Et si je décidais d'en finir, qui de vous connaît le pire,
Pour se permettre de me juger, me donner, me refuser le droit d'être euthanasié,
Qu'il vienne me remplacer dans cette putain de peau de condamné.