Comme je l'ai dis le problèmes de ces pays n'est pas tant le manque de médecins que de moyens. D'ailleurs rien n'empêche un pays d'obliger les médecins à rester. On n'a pas à décider à la place de ces pays; si ils acceptent que certains de leurs diplômés partent et si ces diplômés sont compétents rien ne justifie qu'on les refusent. Surtout que certains n'entrent eux peuvent retourner ensuite dans leur pays pour mieux former les nouveaux médecins.
Oui dans le fond c'est assez vrai.
Notre territoire peut les accueillir sinon il n'y aurait pas de débat au sujet du numerus clausus (et puis en plus il y aurait moins de candidatures).
Dans cette question je ne parle plus nécessairement des médecins étrangers.
Le problème des déserts médicaux est en soit complexe et je n'ai pas de solution toute prête mais augmenter le numerus clausus ne me semble pas la solution la plus efficace; je serais plus pour un statut de "semi fonctionnaire" qui en échange pour les médecins qui le veulent de s'installer là où il y a besoin auront des simplifications nettes dans l'administratif (en clair les médecins seront débarrassés de tout ce qui concerne la gestion d'entreprise qui est assez lourd) et des locaux ainsi que du matériel fourni sans avoir à avancer de frais (ça crois moi quand tu débutes c'est assez attractif) tout en concervant la rémunération de type "libéral" à savoir être payé en fonction des consultes
L'idée est effectivement intéressante (quoiqu'elle doit-être coûteuse).
Il me semble que notre gouvernement actuel avait projeté (est-ce toujours d'actualité ?) d'obliger certains jeunes médecins à une première présence en déserts médicaux. Ou alors j'ai mal compris.
le problème du cout reste assez faible, l'investissement de base reste assez faible si on excepte les locaux que la collectivité possède déjà et certainement le système informatique (mais l'achat groupé joue beaucoup sur ces investissements).
La "solution" actuelle passe par une contrainte alors ce que je propose passe par l'incitation