En étant finaliste, il vaut mieux être mort né que de vivre une vie remplie de péchés et finir en enfer.

En étant finaliste, il vaut mieux être mort né que de vivre une vie remplie de péchés et finir en enfer.

me dites pas que vous avez recommencé avec ces histoires de compte...

Les capotes c' est pas pour faire des ballons... Un homme devrait ne jamais faire confiance à une femme qu' il la connaisse ou pas. Et puis je trouve les femmes tellement irresponsables ! Avec tout ce qu' il y a à portée de main pour ne pas tomber enceinte elles s' étonnent toujours quand l' ovule a été fécondé comme par magie ***calmos***cm !!!!

C'est grotesque ce que tu dit "Edmond le H".

ose dire que ta jamais eux de rapport sexuel sans capote avec une femme que tu connaissait ou que tu connaissai a peine ?

Ose dire un tel mensonge

Toute les femmes sont pas iresponsable, si ta connu une majorité de femme iresponsable et à problèmes dans ta vie, tu devrai plutot te demander pourquoi tu à le dont d'attiré des femmes iresponsables.

et bien sur vis versa, pour les femmes qui attire des hommes iresponsable.

La fatalité ça n'éxiste pas, ya que ceux et celles qui ce remette jamais en question sur les rapport au hommes-femmes / femmes-homme, qui on ce genre de jugement mec.

moi en ce qui me concernes je rencontre rarement de femmes à probleme, et j'ai un pote qui est le roi des queutard, si tu savais le nombre de femmes qu'il voie et qui'ils a vue, et pourtant il a rarement des probleme du style une femme qui oublie la pillule ou tout autre moyen de contraception.

sur une échelle de 70 femmes, 1 enceinte et elle à avorté.

quand au soit-disant manque de responsailiter des femmes, t'i croit encore là ?

d'ailleur sur quel base tu juge une femme iresponsable ? sur ton vécu, sur de la désinformation, sur du vécu de ton entourage ?

franchement quel base, sa m'intrigue ton opinion mec ? .

tout ça c'est du pipo, ya des femmes qui disent la meme chose en ce qui concerne l'iresponsabilité des hommes.

sauf que la plupart du temps elle ce base tout comme toi sur leur vécu ou celui de leur entourage, et au final elle on comme toi un opinion fossé.

ça fait partis des differences de genre ce type de reflexions que tu fait, alors que c'est plus ou moin paradoxal et que tu devrai meme pas avoir a faire ce genre de reflexions mais plutot te dire que si tu cotoi des femmes iresponsable et que t'estime que c'est femmes sont nase, tu devrai boycotté de ta vie ce genre de femmes.

Toi t'ira pas au Paradis mec, si tu continu dans cette voie la...

En étant finaliste, il vaut mieux être mort né que de vivre une vie remplie de péchés et finir en enfer.

me dites pas que vous avez recommencé avec ces histoires de compte...

Je suis en train de fouiller sur internet

Le point de vue des catholiques c'est que les enfants morts nés vont tous au paradis

Le point de vue protestant, c'est que c'est une hérésie de penser qu'ils vont tous aller au paradis et qu'il n'y a aucun élément biblique qui puisse appuyer le point de vue catholique :

http://www.christiandoctrine.net/doctri ... en_web.htm

The reformed men who teaches the automatic heavenly destination of small children must think very hard. In believing and teaching it, they thereby reject plain truth; they imbibe heresy and encourage others to think the same way; they reject the principles of the Reformation and of scripture; they reject election, the bastion of salvation; they reject the way of salvation; they reject God’s grace. They are, by definition, teaching Arminianism, which upholds the freedom of the will – and that is heresy.

Note that to teach the unequivocal entry into heaven of even unborn babies, is to teach a gospel that is no gospel. It is a false gospel that has no place within reformed churches. The emotional appeal of this false teaching might ease the mind and heart, but it does nothing for the soul, except to deceive it!

Reformed men must get back to proper and true Biblical thinking. Presently, these men believe they think Biblically, but they patently do not. This can be highlighted in so many ways! To think Biblically, is to cast aside men’s theories and traditions, and to embrace scriptural text as it is written, and interpreted as the Lord demands in His own word.

ah oui, sola scriptura...

http://www.tearstojoyministries.org/Abortion___.html

I know some Christians say that just because a baby dies, does not mean that they automatically go to heaven!!! Some Christians believe that some babies go to hell.

That is absolutely ridiculous teaching.....

Je suis vraiment perplexe

Ne pas trancher c'est céder à la facilité et en poussant le raisonnement jusqu'au bout on ne finit par ne plus rien dire

Dire que les bébés iront au paradis , c'est aussi problématique car on est tenté de justifier la fin par les moyens via une théologie assez tordue ( il vaut mieux pratiquer des IVG à tout le monde pour que tout le monde aille au paradis )

Dire qu'ils iront en enfer c'est aussi problématique car ça contredit le verset Dieu veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité 1 tm 2

Après il faut aussi avouer que la problématique de la vie après la mort dépasse le cadre rationnel , et vouloir discuter du salut en terme de nombre d'âme sauvées/probabilité d'aller au paradis serait aussi absurde que de vouloir trouver un entier rationnel qui soit la solution de l'équation x² = 2

Ah vous étiez sérieux en répondant avant ?

ed : c'est a minima problématique

Ceci soulève beaucoup d'interrogations.

la morale athée n'a pas à primer sur une morale religieuse a priori, les deux sont aussi légitimes, c'est ça la laïcité.

La morale athée ça n'existe pas mon brave, athée c'est n'est pas non plus une religion. Rien à voir la laïcité donc.

l'athéisme est une croyance.

L'athéisme relève d'un constat : 1 ou mêmes plusieurs dieux n'existent pas, sauf dans l'esprit des fidèles.

Une croyance négative, mais une croyance, pour moi elle n'est pas plus légitime que la croyance religieuse.

La question de la légitimité ne se pose pas à partir du moment ou la foi des uns ne crée aucune obligation aux autres et réciproquement.

* ( , ipso facto après ca se rapproche sérieusement de la vrai vie vrai , là)

Ce que tu dois comprendre c'est que la limite est posée lorsqu'on peut caractériser un être humain à l'instant T.

C'est un choix qui fait un consensus large à notre époque.

Non. Puisqu'il existe des dates divergentes il n'y a pas consensus, c'est à dire convergence. Le problème chez vous il est neuronal ou lexical?

C'est pas gênant que les néerlandais s'y prennent différemment, on s'en fout.

En France, le droit à l'IVG fait consensus, aucune majorité au pouvoir depuis la loi Veil n'a remis en cause ce droit.

C'est entré dans les mœurs depuis des dizaines d'années.

En France, le droit à l'IVG fait consensus, aucune majorité au pouvoir depuis la loi Veil n'a remis en cause ce droit.

C'est entré dans les mœurs depuis des dizaines d'années.

Et le droit du peuple français à preservé sont industries fait t'elle "consensus" ?

En France, le droit à l'IVG fait consensus, aucune majorité au pouvoir depuis la loi Veil n'a remis en cause ce droit.

C'est entré dans les mœurs depuis des dizaines d'années.

Et le droit du peuple français à preservé sont industries fait t'elle "consensus" ?

ya pas un sujet sur ce forum qui repertorie tout ce qui ne fait pas consensus dans cette France, alors que ça devrai etre le cas ?

L'athéisme relève d'un constat : 1 ou mêmes plusieurs dieux n'existent pas, sauf dans l'esprit des fidèles.

*** Il va falloir, vite, vous détendre ***. Les juifs ne sont pas des esprit faibles.

Doté d'une conscience et de valeurs, je suis évidemment contre l'avortement, et rien ne justifie qu'on puisse être pour, sinon l'égoïsme, et en résumé, la monstruosité.

Ce que tu dois comprendre c'est que la limite est posée lorsqu'on peut caractériser un être humain à l'instant T.

C'est un choix qui fait un consensus large à notre époque.

Non. Puisqu'il existe des dates divergentes il n'y a pas consensus, c'est à dire convergence. Le problème chez vous il est neuronal ou lexical?

C'est pas gênant que les néerlandais s'y prennent différemment, on s'en fout.

En France, le droit à l'IVG fait consensus, aucune majorité au pouvoir depuis la loi Veil n'a remis en cause ce droit.

C'est entré dans les mœurs depuis des dizaines d'années.

Pourquoi avez vous si peur de la rectitude intellectuel?

Vous commencez a expliquer que , et que celà relève d'une évidence scientifique. Avant il n'y a pas de vie, après il y en a.

Or vous mentez en considérant que c'est un consensus puisque d'autres pays ont choisi d'autres dates.

En suivant votre raisonnement on est donc amener à considérer que

soit il existe une date d'arrivée de la vie 12 semaine, auquel cas les pays pratiquant l'avortement au delà ont des pratiques barbares et infanticides.

Soit votre date est arbitraire et vos arguties bidons.

D'ailleurs, piégé, vous bottez en touche.

Genre: ca nous concerne pas.

sauf que l'ingérence humanitaire on l'a bien fait dans plein de pays, on a tancé tel et tel état pour leurs pratiques, sur les droits de ceci, les droits de celà.

Et là, dans ce cas d'infanticide - toujours en suivant votre raisonnement -: rien à foutre.

Vous adoptez des positions a géométrie variable, incapable d'avoir une conception claire et honnête. Votre morale et votre sens de la justice n'existe pas, vous l'adaptez à la mode, aux bidouilles qui vous intéresse sur le moment et qui, surtout, servent votre parti.

Vous démontrez par votre absence de remise en question et votre absence de rigueur, que vous n'êtes qu'un propagandiste politique bas de gamme.

Finissons par le meilleur

En France, le droit à l'IVG fait consensus, aucune majorité au pouvoir depuis la loi Veil n'a remis en cause ce droit.

C'est entré dans les mœurs depuis des dizaines d'années.

Vous avez raison, d'ailleurs, il serait alors de bon ton que la France ferme sa gueule vis à vis des pays qui pratique la peine de mort, la torture, la charia et toute cette sorte de chose car: rions un peu:

Aller, votre incurie va encore plus loin.

Durant la mariage gay vous nous vantiez les mérites du progrès social et du sens de l'histoire.

La pour défendre l'IVG vous finissez par invoquer le passé et la tradition.

Incapable d'être cohérent avec vous même.

Vous êtes vraiment minable moralement en fait.

Nul aussi, car vous n'avez aucune rigueur logique ce qui amène a vous ridiculiser dans vos argumentations.

Tout ce qu'il vous est demandé c'est d'admettre qu'une vie, ou du moins, un espoir de vie, est éliminé pour des raisons de confort d'autrui*. et, de fait, de ne pas nous rebattre les oreilles d'une sacralité de la vie qui s'appliquerait dans un cas (la peine de mort) mais pas dans l'autre (l'avortement).

Considérer que la vie est sacré et doit être protéger en toute circonstance, d'accord. Considérez qu'elle ne l'est pas, ok.

Mais c'est l'un ou l'autre, pas les deux en même temps, selon ce que vous avez a argumenter.

* Notons que le terme de détresse a été récemment enlevé de la Loi, donc la question du confort est même légalement validé ^^

Se faire enlever une verrue est-il criminel ?

Se faire enlever une verrue est-il criminel ?

Tu parles pour toi :

Il y a autant d'humanité dans une verrue que dans un embryon de 7 semaines.

Non. Puisqu'il existe des dates divergentes il n'y a pas consensus, c'est à dire convergence. Le problème chez vous il est neuronal ou lexical?

C'est pas gênant que les néerlandais s'y prennent différemment, on s'en fout.

En France, le droit à l'IVG fait consensus, aucune majorité au pouvoir depuis la loi Veil n'a remis en cause ce droit.

C'est entré dans les mœurs depuis des dizaines d'années.

Pourquoi avez vous si peur de la rectitude intellectuel?

Rectitude ou raideur ?

Je considère en effet qu'il faut nuancer, prendre en compte le maximum de paramètres et éviter de sombrer dans l'intégrisme notamment sur les questions qui touchent à l'humain.

Dans le cas de l'avortement, il faut savoir arbitrer au plus juste entre les droits de la femme ( qui sont revendiqués et que les femmes ont légitimement obtenus ) et le sort de l'enfant potentiel qu'elle porte.

Interdire l'IVG ça revient à nier le droit des femmes à disposer de leur corps, ça ne peut pas être satisfaisant selon mon point de vue.

Et l'interdiction de l'IVG n'a jamais empêché les femmes d'avorter, les interruptions de grossesses se font alors dans la clandestinité avec tous les risques que cela comporte.

Ça me semble être la plus mauvaises des options parce qu'elle à la fois obscurantiste et inefficace.

Vous commencez a expliquer que , et que celà relève d'une évidence scientifique. Avant il n'y a pas de vie, après il y en a.

Il y a vie dès la fécondation, mais avant les 12 semaines et l'ébauche du système nerveux, on ne peut pas caractériser un être humain.

Or vous mentez en considérant que c'est un consensus puisque d'autres pays ont choisi d'autres dates.

En suivant votre raisonnement on est donc amener à considérer que

soit il existe une date d'arrivée de la vie 12 semaine, auquel cas les pays pratiquant l'avortement au delà ont des pratiques barbares et infanticides.

Soit votre date est arbitraire et vos arguties bidons.

Tu peux aussi considérer que chaque nation a sa culture, ses valeurs, sa sensibilité et ses lois et que ce qui est acceptable dans un pays peut ne pas l'être dans un autre.

On en revient à la distinction entre rectitude et raideur que j'évoque plus haut.

D'ailleurs, piégé, vous bottez en touche.

Genre: ca nous concerne pas.

Ben ouais, les Pays Bas sont une démocratie, les néerlandais font leurs choix qui ne regardent qu'eux-mêmes.

sauf que l'ingérence humanitaire on l'a bien fait dans plein de pays,

Ingérence humanitaire / IVG il ne s'agit pas des mêmes questions, tu es pris en flagrant délit d'incohérence intellectuelle ....

;)

on a tancé tel et tel état pour leurs pratiques, sur les droits de ceci, les droits de celà.

Et là, dans ce cas d'infanticide - toujours en suivant votre raisonnement -: rien à foutre.

L'IVG n'est pas un infanticide, c'est une interruption de grossesse.

Vous adoptez des positions a géométrie variable, incapable d'avoir une conception claire et honnête. Votre morale et votre sens de la justice n'existe pas, vous l'adaptez à la mode, aux bidouilles qui vous intéresse sur le moment et qui, surtout, servent votre parti.

Vous démontrez par votre absence de remise en question et votre absence de rigueur, que vous n'êtes qu'un propagandiste politique bas de gamme.

Défendre le droit des femmes à disposer de leur corps ça ne relève pas d'une mode passagère, c'est inscrit dans le progrès de l'humanité.

Finissons par le meilleur

En France, le droit à l'IVG fait consensus, aucune majorité au pouvoir depuis la loi Veil n'a remis en cause ce droit.

C'est entré dans les mœurs depuis des dizaines d'années.

Vous avez raison, d'ailleurs, il serait alors de bon ton que la France ferme sa gueule vis à vis des pays qui pratique la peine de mort, la torture, la charia et toute cette sorte de chose car: rions un peu:

L'arabie saoudite est-elle une démocratie qui respecte les droits de l'homme ?

A l'évidence NON.

Le fait que les peuples choisissent eux-mêmes les règles de la société dans laquelle ils vivent est un paramètre essentiel à prendre en compte me semble-t-il.

Aller, votre incurie va encore plus loin.

Durant la mariage gay vous nous vantiez les mérites du progrès social et du sens de l'histoire.

La pour défendre l'IVG vous finissez par invoquer le passé et la tradition.

Incapable d'être cohérent avec vous même.

Dans un cas comme dans l'autre il s'agit de promouvoir les droits et les libertés individuelles

Vous êtes vraiment minable moralement en fait.

Nul aussi, car vous n'avez aucune rigueur logique ce qui amène a vous ridiculiser dans vos argumentations.

Je pense que tu réfléchis sur la base de dogmes et de schémas anciens et que tu voudrais imposer tes choix personnels à l'ensemble de la société française.

Ma démarche est différente et consiste à considérer que sur les questions éminemment personnelles comme l'IVG ou le mariage, c'est la liberté de choix qui doit prévaloir.

S'agissant de l'IVG, la liberté de choix de la femme est encadrée et aboutit à ce que l'enfant qui né soit désiré.

Ça va totalement dans le sens de l'intérêt de la mère et de l'enfant.

Tu devrais pouvoir l'admettre.

Tout ce qu'il vous est demandé c'est d'admettre qu'une vie, ou du moins, un espoir de vie, est éliminé pour des raisons de confort d'autrui*. et, de fait, de ne pas nous rebattre les oreilles d'une sacralité de la vie qui s'appliquerait dans un cas (la peine de mort) mais pas dans l'autre (l'avortement).

IVG et peine de mort, ce sont des questions différentes au même titre qu' ingérence humanitaire et IVG.

De tels amalgames venant de toi qui essaies de te prévaloir d'une " rectitude intellectuelle ", c'est cocasse !

Considérer que la vie est sacré et doit être protéger en toute circonstance, d'accord. Considérez qu'elle ne l'est pas, ok.

Mais c'est l'un ou l'autre, pas les deux en même temps, selon ce que vous avez a argumenter.

Tu dois prendre en compte tous les paramètres de la problématique et intégrer en particulier le droit de la femme à disposer de son corps.

La loi française sur l'IVG repose sur les principes suivants :

- le droit de la femme à disposer de son corps est reconnu et établi,

- l'embryon est biologiquement considéré comme un être humain à partir de 12 semaines.

A partir de là, le droit de la femme prévaut sur celui de l’embryon jusqu'au stade de 12 semaines.

C'est une position sage et moderne qui permet de concilier le droit de la femme à disposer de son corps et le respect d'un enfant potentiel à naitre.

C'est largement préférable aux thèses que tu défends qui nient le droit de la femme à disposer de son corps et qui n'empêchent évidemment pas les interruptions de grossesses de se dérouler dans la clandestinité avec tous les risques que cela comporte.

* Notons que le terme de détresse a été récemment enlevé de la Loi, donc la question du confort est même légalement validé .

La notion de détresse permettait de réaliser le consensus lors du vote de la loi Veil en 1975.

40 ans plus tard, les mentalités ont évolué et on doit pouvoir se passer d'un simulacre de culpabilisation et reconnaitre un plein droit aux femmes.

Il y a autant d'humanité dans une verrue que dans un embryon de 7 semaines.

Mec tu pousse le vice la

C'est largement préférable aux thèses que tu défends qui nient le droit de la femme à disposer de son corps et qui n'empêchent évidemment pas les interruptions de grossesses de se dérouler dans la clandestinité avec tous les risques que cela comporte.

Il faut commencer par savoir lire.

Ce n'est pas du tout ce que je dis.

C'est, ceci dit, exemplaire de l'incurie de vos réflexions que de le croire alors que j'écris noir sur blanc le contraire.

Tu dois prendre en compte tous les paramètres de la problématique et intégrer en particulier le droit de la femme à disposer de son corps.

La loi française sur l'IVG repose sur les principes suivants :

- le droit de la femme à disposer de son corps est reconnu et établi,

- l'embryon est biologiquement considéré comme un être humain à partir de 12 semaines.

La loi ne détient pas la vérité scientifique. Vous ne pouvez invoquer la loi français comme source de vérité en l'étayant pas un argument scientifique cad a portée universelle, notamment quand celà est contredit par d'autres lois démocratique.

ce n'est pas la loi française qui décide quand commence ou non la vie.

Ce serait aussi crétin que si, demain, une loi annoncée que la seconde guerre mondiale n'avais jamais eu lieu.

La question du droit de la femme a disposer de son corps n'est pas la question, la question c'est votre faute morale qui consiste à dénier le fait que tout embryon est porteur de vie et qu'a ce titre ce droit accordé a la femme ce fait contre un autre doit celui à la vie.

En ce qui me concerne, rien à foutre que ce confort, de ce "droit à disposer" de se construise contre le droit à la vie.

Mais dans cette acception la vie n'est alors plus sacré, de facto, qu'on ne vienne pas m'invoquer la sacralité de la vie quand il s'agit de la peine de mort, c'est moralement abject.

Il y a autant d'humanité dans une verrue que dans un embryon de 7 semaines.

Et dans les deux cas plus que chez un psychopathe.

vous en concluez quoi?

Dans le cas de l'avortement, il faut savoir arbitrer au plus juste entre les droits de la femme ( qui sont revendiqués et que les femmes ont légitimement obtenus ) et le sort de l'enfant potentiel qu'elle porte.

S'il y a grossesse ce n'est pas un enfant potentiel qu'elle porte.

Interdire l'IVG ça revient à nier le droit des femmes à disposer de leur corps, ça ne peut pas être satisfaisant selon mon point de vue.

Interdire l'IVG c'est défendre le droit à l'enfant de vivre.

Et l'interdiction de l'IVG n'a jamais empêché les femmes d'avorter, les interruptions de grossesses se font alors dans la clandestinité avec tous les risques que cela comporte.

Cela freine la tuerie quand même.

Ça me semble être la plus mauvaises des options parce qu'elle à la fois obscurantiste et inefficace.

L'obscurantisme est de nier la valeur d'une vie en la détruisant sciemment.

L'IVG n'est pas un infanticide, c'est une interruption de grossesse.

L'IVG est l'interruption d'une vie.

Défendre le droit des femmes à disposer de leur corps ça ne relève pas d'une mode passagère, c'est inscrit dans le progrès de l'humanité.

Et défendre le droit de vivre des enfants ?

S'agissant de l'IVG, la liberté de choix de la femme est encadrée et aboutit à ce que l'enfant qui né soit désiré.

Ça va totalement dans le sens de l'intérêt de la mère et de l'enfant.

Est-ce que Mozart ou Einstein étaient désirés ? Combien d'enfants désirés avant la loi permettant l'avortement ?

IVG et peine de mort, ce sont des questions différentes

En effet, c'est différent. L'IVG tue un innocent à 100%, la peine de mort tue un coupable à quasiment 100%.

C'est largement préférable aux thèses que tu défends qui nient le droit de la femme à disposer de son corps et qui n'empêchent évidemment pas les interruptions de grossesses de se dérouler dans la clandestinité avec tous les risques que cela comporte.

sinistrevent dit être pour l'avortement mais il reconnait contrairement à toi que cela tue une vie humaine.

Écraser un moustique aussi.

C'est largement préférable aux thèses que tu défends qui nient le droit de la femme à disposer de son corps et qui n'empêchent évidemment pas les interruptions de grossesses de se dérouler dans la clandestinité avec tous les risques que cela comporte.

Il faut commencer par savoir lire.

Ce n'est pas du tout ce que je dis.

C'est, ceci dit, exemplaire de l'incurie de vos réflexions que de le croire alors que j'écris noir sur blanc le contraire.

Tu dois prendre en compte tous les paramètres de la problématique et intégrer en particulier le droit de la femme à disposer de son corps.

La loi française sur l'IVG repose sur les principes suivants :

- le droit de la femme à disposer de son corps est reconnu et établi,

- l'embryon est biologiquement considéré comme un être humain à partir de 12 semaines.

La loi ne détient pas la vérité scientifique. Vous ne pouvez invoquer la loi français comme source de vérité en l'étayant pas un argument scientifique cad a portée universelle, notamment quand celà est contredit par d'autres lois démocratique.

ce n'est pas la loi française qui décide quand commence ou non la vie.

Ce serait aussi crétin que si, demain, une loi annoncée que la seconde guerre mondiale n'avais jamais eu lieu.

La question du droit de la femme a disposer de son corps n'est pas la question,

Je disais précédemment qu'il fallait arbitrer entre le droit de la femme à disposer de son corps et le sort d'un embryon.

Tu ne peux pas faire comme si les femmes ne revendiquaient pas le droit à l'interruption de grossesse.

C'est un droit légitime dans une société moderne, nous ne sommes plus au moyen age !

;)

la question c'est votre faute morale qui consiste à dénier le fait que tout embryon est porteur de vie

Je l'ai dit précédemment, il y a vie dès la fécondation , mais il ne s'agit pas d'un être humain en termes de développement.

et qu'a ce titre ce droit accordé a la femme ce fait contre un autre doit celui à la vie.

Et c'est le droit de la femme qui prime jusqu'à 12 semaines de grossesse.

Le curseur est placé au bon endroit me semble-t-il.

En ce qui me concerne, rien à foutre que ce confort, de ce "droit à disposer" de se construise contre le droit à la vie.

Mais dans cette acception la vie n'est alors plus sacré, de facto, qu'on ne vienne pas m'invoquer la sacralité de la vie quand il s'agit de la peine de mort, c'est moralement abject.

La vie humaine est une valeur sacrée dans nos sociétés, elle ne commence pas lors de la fécondation mais au plus tôt 12 semaines aprés la conception.

D'un point de vue biologique un embryon de moins de 12 semaines qui ne possède pas de système nerveux.

Il n'a pas les droits attachés à la personne humaine, autrement dits les droits de l'homme que tu conchies par ailleurs ....

;)

La vie humaine est une valeur sacrée dans nos sociétés, elle ne commence pas lors de la fécondation mais au plus tôt 12 semaines aprés la conception.

D'un point de vue biologique un embryon de moins de 12 semaines qui ne possède pas de système nerveux.

Le "point de vue biologique" ça n'existe pas.

La science n'admet que des vérités universelles pas vos relativisme a géométrie variable.

La science ne vous dédouane en rien de votre arbitrage privilégiant les droits de la femme à celui de l'enfant à naître.

C'est une vie qu'on arrête. C'est tout.

Toutes vos justifications sont un peu semblables a celle d'un violeur expliquant que "bon, certes, il a un peu forcez mais que l'a fille l'avait aguiché quand même".

Assumez.

PS: Certes oui je me fout des droits de l'homme qui n'invente rien (l'altérité n'attend pas les droits de l'homme, ni la notion de droit des individus, ni les libertés politique - Habeas corpus - etc...) et privilégie d'ailleurs les intérêts de classe de la bourgeoisie en sacralisant la propriété, donc ces droits de l'homme vous pouvez effectivement vous les carrez profond.

La vie humaine est une valeur sacrée dans nos sociétés, elle ne commence pas lors de la fécondation mais au plus tôt 12 semaines aprés la conception.

D'un point de vue biologique un embryon de moins de 12 semaines qui ne possède pas de système nerveux.

Le "point de vue biologique" ça n'existe pas.

La science n'admet que des vérités universelles pas vos relativisme a géométrie variable.

La science ne vous dédouane en rien de votre arbitrage privilégiant les droits de la femme à celui de l'enfant à naître.

C'est une vie qu'on arrête. C'est tout.

Toutes vos justifications sont un peu semblables a celle d'un violeur expliquant que "bon, certes, il a un peu forcez mais que l'a fille l'avait aguiché quand même".

Assumez.

PS: Certes oui je me fout des droits de l'homme qui n'invente rien (l'altérité n'attend pas les droits de l'homme, ni la notion de droit des individus, ni les libertés politique - Habeas corpus - etc...) et privilégie d'ailleurs les intérêts de classe de la bourgeoisie en sacralisant la propriété, donc ces droits de l'homme vous pouvez effectivement vous les carrez profond.

Mais relatives à une époque donnée...

La science n'admet que des vérités universelles pas vos relativisme a géométrie variable.

Mais relatives à une époque donnée...

Une vérité universelle est universelle c'est à dire vraie dans l'espace est dans le temps. Le débat pour déterminer ce qui est vivant de ce qui ne l'est pas a été tranché bien avant la question du droit à l'avortement...

La vie humaine est une valeur sacrée dans nos sociétés, elle ne commence pas lors de la fécondation mais au plus tôt 12 semaines aprés la conception.

D'un point de vue biologique un embryon de moins de 12 semaines qui ne possède pas de système nerveux.

Le "point de vue biologique" ça n'existe pas.

La science n'admet que des vérités universelles pas vos relativisme a géométrie variable.

La science ne vous dédouane en rien de votre arbitrage privilégiant les droits de la femme à celui de l'enfant à naître.

Oui, les femmes ont des droits, notamment celui de disposer de leur corps.

C'est un acquis sociétal qui fait l'objet d'un trés large consensus sauf pour quelques archaïques indécrottablement accrochés à leurs images d’Épinal.

C'est une vie qu'on arrête. C'est tout.

Ton argument n'a pas de valeur, tu dois comprendre que l'interdiction de l'IVG ne supprime pas les avortements, ils deviennent alors clandestins.

L'interdiction de l'IVG ne se justifie aucunement si ce n'est par certains dogmes de nature religieuse.

Toutes vos justifications sont un peu semblables a celle d'un violeur expliquant que "bon, certes, il a un peu forcez mais que l'a fille l'avait aguiché quand même".

Assumez.

Dans un précédent message, tu essayais de bifurquer sur la peine de mort, te voilà maintenant en train d'essayer de faire diversion sur le viol ....

La ficelle est un peu trop grosse pour passer inaperçue ....

PS: Certes oui je me fout des droits de l'homme

Ça te classe dans une frange extrémiste trés trés à droite

Personnellement, je ne peux pas concevoir qu'on soit opposé aux droits de l'homme.

qui n'invente rien (l'altérité n'attend pas les droits de l'homme, ni la notion de droit des individus, ni les libertés politique - Habeas corpus - etc...) et privilégie d'ailleurs les intérêts de classe de la bourgeoisie en sacralisant la propriété, donc ces droits de l'homme vous pouvez effectivement vous les carrez profond.

Les droits de l'homme c'est la liberté, le droit à la santé, l'éducation, la liberté de conscience etc.

Des choses qui semblent anodines lorsqu'on n'a eu qu'à se donner le mal de naitre pour en jouir.

Mais ceux qui en sont privés en connaissent la valeur ...

Dans le cas de l'avortement, il faut savoir arbitrer au plus juste entre les droits de la femme ( qui sont revendiqués et que les femmes ont légitimement obtenus ) et le sort de l'enfant potentiel qu'elle porte.

S'il y a grossesse ce n'est pas un enfant potentiel qu'elle porte.

Jusqu'à 12 semaines, il s'agit d'un amas de cellules qui est totalement dépourvu de système nerveux.

On ne peut pas le qualifier d'être humain à ce stade.

Interdire l'IVG ça revient à nier le droit des femmes à disposer de leur corps, ça ne peut pas être satisfaisant selon mon point de vue.

Interdire l'IVG c'est défendre le droit à l'enfant de vivre.

Non, lorsque l'IVG est interdit, les avortements sont réalisés dans la clandestinité.

Et l'interdiction de l'IVG n'a jamais empêché les femmes d'avorter, les interruptions de grossesses se font alors dans la clandestinité avec tous les risques que cela comporte.

Cela freine la tuerie quand même.

Non, ça expose les femmes à des risques conséquents pour leur vie.

Ça me semble être la plus mauvaises des options parce qu'elle à la fois obscurantiste et inefficace.

L'obscurantisme est de nier la valeur d'une vie en la détruisant sciemment.

Il ne s'agit pas de nier la vie mais de faire prévaloir pendant les 12 premières semaines les droits de la femmes sur ceux de l’embryon qu'elle porte.

Nier les droits de la femme, nous réserverons ça aux partisans de la charia si tu veux bien ...

:

L'IVG n'est pas un infanticide, c'est une interruption de grossesse.

L'IVG est l'interruption d'une vie.

A 12 semaines, l'embryon n'a pas les caractéristiques qui permettrait de le qualifier d'être humain.

Défendre le droit des femmes à disposer de leur corps ça ne relève pas d'une mode passagère, c'est inscrit dans le progrès de l'humanité.

Et défendre le droit de vivre des enfants ?

Avant les 12 semaines de grossesse, les droits de la femme priment.

S'agissant de l'IVG, la liberté de choix de la femme est encadrée et aboutit à ce que l'enfant qui né soit désiré.

Ça va totalement dans le sens de l'intérêt de la mère et de l'enfant.

Est-ce que Mozart ou Einstein étaient désirés ? Combien d'enfants désirés avant la loi permettant l'avortement ?

Depuis cette loi tous les enfants sont désirés et c'est trés bien ainsi..

IVG et peine de mort, ce sont des questions différentes

En effet, c'est différent. L'IVG tue un innocent à 100%, la peine de mort tue un coupable à quasiment 100%.

Tu es favorable à la peine de mort ?

:

C'est largement préférable aux thèses que tu défends qui nient le droit de la femme à disposer de son corps et qui n'empêchent évidemment pas les interruptions de grossesses de se dérouler dans la clandestinité avec tous les risques que cela comporte.

sinistrevent dit être pour l'avortement mais il reconnait contrairement à toi que cela tue une vie humaine.

sinistrevent est carrément opposé aux droits de l'homme !

Ça en fait un dangereux extrémiste tu trouves pas ?

qui n'invente rien (l'altérité n'attend pas les droits de l'homme, ni la notion de droit des individus, ni les libertés politique - Habeas corpus - etc...) et privilégie d'ailleurs les intérêts de classe de la bourgeoisie en sacralisant la propriété, donc ces droits de l'homme vous pouvez effectivement vous les carrez profond.

Les droits de l'homme c'est la liberté, le droit à la santé, l'éducation, la liberté de conscience etc.

Des choses qui semblent anodines lorsqu'on n'a eu qu'à se donner le mal de naitre pour en jouir.

Mais ceux qui en sont privés en connaissent la valeur ...

Relis mon message et essaies de comprendre.

Tes droits de l'Homme ne sont qu'un mythe. L'image tronquée et surfaite d'une direction philosophique. C'est une fiction, autant qu'une fable.

La sacralisation de la DDH a ceci de particulièrement lamentable que, finalement, elle souligne aussi l'incapacité de beaucoup d'homme a vivre sans table des lois, sans mythe qui, à défaut d'être une parole révélée, se doit quand même d'être fondateur. Combattre l'Eglise et, en même temps, étaler son besoin de dogme: c'est pathétique... c'est gauchiste.

La condition d'homme tant que son "droit" ne naissent pas avec ce machin.

Par ailleurs la longue série sur la propriété souligne bien que c'est un outil orienté politiquement vis à vis d'intérêt de classe, celle dont le pouvoir est basé sur la possession matérielle, la bourgeoisie.

Tu peux donc bien te gausser de ceux qui la méprise, dont je fait partie, mais c'est le rire du benêt qui ne comprend pas de quoi il parle. Rire qui vous va bien au teint.

Je suis, d'ailleurs proprement amusé quand je lis ça:

Ça te classe dans une frange extrémiste trés trés à droite. Personnellement, je ne peux pas concevoir qu'on soit opposé aux droits de l'homme.

Est-ce que les théoriciens socialistes sont devenus si lamentablement nuls qu'ils ont oublié que le Marxisme a lourdement critiqué la DDH?

Mais c'est vrai le socialisme n'est tellement plus qu'une coquille vide qu'il n'y a même plus de théoriciens et qu'on n'a du oublier de vous instruire de cela durant vos classes.

Le PS est toujours allié aux communistes et au PG? Avec des adversaires de la DDH donc de dangereux extrêmistes...

Aaaah, et parce qu'une "idée est tuée", on fait des campagnes pour limiter le recours à l'IVG ? Pourquoi ? Des idées, il en meurt des milliards à la minute et c'est anodin, et ça ne traumatise pas grand-monde.

Les Philippins (je crois) considèrent à 80% que ce n'est pas qu'une idée qui est tuée, leurs enfants valent plus chers que les nôtres, ou ils sont différents ? (aux US, c'est 50%)

Ma voisine décide de se suicider, je ne dois pas avoir de conduite à tenir sous prétexte que c'est la seule impactée (au sens propre du terme en plus) ?

vous voyez, votre message a eu le mérite de me faire réfléchir .. et de me rendre compte que comme vous j'adoptais une position de principe imaginant à la place de ces femmes qui prennent la décision de faire une ivg ce qu'elle doivent ou non ressentir.

Alors du coup je préfère laisser la place à un témoignage :

Je pense qu'avorter n'est une partie de plaisir pour personne et qu'au contraire de ce que tu penses, c'est une preuve de maturité et de responsabilité.

Mon désir profond était bien sûr de garder mon enfant, j'en rêvais... Mais c'était un rêve d'adolescente égoïste... La réalité ne me permettais pas de le garder. Et je me suis rendue à l'évidence et à la raison.

J'ai préféré avorter plutôt que de condamner nos 2 destins à une vie instable. Je ne voulais pas que la vie de mon bébé commence dans l'instabilité et la difficulté.

Je n'ai pas décidé de le "tuer" et de fuir mes responsabilités. Au contraire, j'ai décidé de prendre mes responsabilités et protéger mon enfant d'une vie qui aurait bien mal commencé...

Il me semble que protéger son enfant, l'élever dans de bonnes conditions pour lui assurer les bases d'un avenir sain est la plus grande mission d'une Maman... Non ?

ça a été terrible. Mais aujourd'hui et depuis le jour même de mon avortement, même si je souffre terriblement et que mon enfant me manque comme personne, j'ai la sensation d'avoir fait ce qui est juste et bon, pour lui comme pour moi.

Personne n'a le droit de décider à la place des personnes concernés pour une telle décision. La seule chose que l'on puisse faire et de faire de la prévention pour que des femmes n'aient pas à en arriver là. Avec ou sans loi elle le feront, autant que cela soit encadré.

Personne n'a le droit de décider ? Elle a fait quoi elle ? Ptête que son gamin aurait bien voulu d'une vie stable ou moins stable...

"protéger son enfant" ? mais contre quoi ? Elle est qui pour savoir ce qui va se passer dans 10 ans ?

je ne vois nulle part dans ce témoignage qui relève plus de la propagande que d'autre chose, la simple évocation même fugace d'une alternative.

Elle ne se donne aucun choix, elle exprime une volonté arrêtée, pas seulement celle d'avorter, mais celle de faire taire toute réflexion à ce sujet.

Et notez qu'elle ne parle pas d'un vague truc, mais de son enfant. J'ai du mal à croire que ce ne soit pas pondu par un groupe militant.

Honêtement je ne pense pas que ce témoignage ait été pondu par un groupe militant, mais bon vous pouvez rester sur votre position de principe.

enfin j'ai bien dit "Personne n'a le droit de décider à la place des personnes concernés" : c'est à dire, les parents.

à partir du moment, où on considère que ce n'est pas un rien, bien sûr que si.

le problème que vous avez en fait, c'est qu'en même temps, c'est rien, et pas rien suivant les cas.

donc fatalement, le seul argument valable, c'est encore l'argument du "je fais ce que je veux puisque la loi me le permet."

Le jour où elle évolue comme en espagne par exemple, l'argument se réduit d'autant ; c'est la limite du légalisme que voulez-vous...

C'est dans quel pays déjà où ils ont kidnappé une nana pour la forcer à accoucher ?

à partir du moment, où on considère que ce n'est pas un rien, bien sûr que si.

le problème que vous avez en fait, c'est qu'en même temps, c'est rien, et pas rien suivant les cas.

donc fatalement, le seul argument valable, c'est encore l'argument du "je fais ce que je veux puisque la loi me le permet."

Le jour où elle évolue comme en espagne par exemple, l'argument se réduit d'autant ; c'est la limite du légalisme que voulez-vous...

Non, les parents prennent des décisions pour leurs enfants en leur "âmes et conscience".

Au moment de l'ivg l'embryon n'a aucune conscience, aucune perception de ce qui l'entoure.

Son statut ne dépend que de ce que le parent lui donne et in fine seul lui (eux) peut décider.

Biologiquement, l'embryon n'est qu'un organe au moment de l'IVG.

cette affirmation dépend à 1000% de la loi, elle n'est absolument pas recevable d'un point de vue autre. Or quand la loi change, le statut change..

Ou alors, les enfants de chaque pays sont différents, à voir...

cette affirmation dépend à 1000% de la loi, elle n'est absolument pas recevable d'un point de vue autre. Or quand la loi change, le statut change..

Ou alors, les enfants de chaque pays sont différents, à voir...

bien sur, in fine cela dépend de la loi ... cependant la loi n'est que la représentation des valeurs en vigueur dans une société (ou tout du moins dans une société un tant soit peu démocratique).

absolument, étant admis que les valeurs d'une société ne représentent en aucune façon la vérité ou la morale.

Dans ce contexte, la logique veut que, puisqu'il n'y a qu'un seul enfant, les mêmes droits lui soient appliqués ou déniés, partout et de la même façon.

Faut observer la tendance et les pays qui légalisent/interdisent/conditionnent l'avortement.

Faut observer la tendance et les pays qui légalisent/interdisent/conditionnent l'avortement.

en effet, ça doit pas être un mauvais indicateur de civilisation.