Quand on leur demande si elles préfèrent travailler ou dépendre complètement de leur partenaire sur le plan financier, 32% des femmes américaines, pourtant employées à temps plein, optent pour la seconde réponse. Selon le sondage de CouponCodes4u, 13% des 2.135 participantes n'étaient pas certaines de leur préférence.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1521/Carrier ... rois.dhtml
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Je trouve cela normal ,s'est les féministes qui vont faire la gueule.
Je vais te dire . . . a mon modeste niveau, très modeste niveau, j'avais posé une question similaire à des filles, entre 18 et 22 ans lorsque j'étais étudiant en BTS communication et industrie graphique, l'Ecole Estienne pour ceux qui connaissent. C'était en 2006/2007 et j'avais posé la question : si demain vous êtes mariée ou êtes la compagne d'un homme gagnant suffisamment pour que vous n'ayez pas à travailler, est-ce que vous travailleriez quand même?
La résultat était approximativement de 50-50, 50% de oui, 50% de non. Ce qui est déjà énorme . . . dans une société qui prône la liberté de la femme, l'égalité homme-femme dans le monde du travail etc.
Poussant le vice un peu plus loin, j'ai demander à celles qui avaient répondu oui, leurs motivations . . . . si elles vivent avec quelqu'un qui est capable de les entretenir, pourquoi continuez à travailler quand même. Et là, dans l'immense majorité des cas, presque 100%, leur principal motivation était en réalité la peur. Peur d'être larguée, de divorcer, et de se retrouver dans la position de la personne qui n'a pas été dans le monde de l'entreprise depuis 10,15,20 ans, qui est obligé de s'y remettre et d'accepter à 40 ans de bosser pour le smic (dans le meilleur des cas) dans le pire des cas c'est souvent la précarité, la pauvreté et la descente aux enfers.
Preuve que "la liberté" pour les femmes de travailler que nous ont vendus les féministes est en réalité une saloperie sans nom, en réalité c'est "la liberté" pour le patronat d'avoir accès à de la main d'oeuvre pas cher (ou du moins, moins cher), entretenu par la peur, sachant qu'ajourd'hui les gens divorcent pour tout et n'importe quoi . . .