Quelques citations libérales:
La mécanique capitaliste dans sa plus simple expression est par elle-même vertueuse, car elle est la source fondamentale de l‘amélioration des conditions de vie de l‘homme. — Silvere Tajan, Libres !
Et si outre la politique monétaire, outre la fiscalité des valeurs mobilières, un autre facteur d‘irresponsabilité massive prospérait sous nos yeux au sein du système bancaire ? Et si ce facteur d‘irresponsabilité était la société à responsabilité limitée – à y regarder de près, absolument contraire aux principes les plus élémentaires du capitalisme ? — Patrick Madrolle, Libres !
On définit la liberté comme « le droit de faire ce qu‘on désire avec ce qu‘on a » (plus exactement : avec ce à quoi on a « naturellement » droit, ce qu‘on s‘est légitimement approprié, ou ce qui a été légitimement transmis). — Henri Lepage, Libres !
L‘État tricolore du désespoir continue de former ses ouailles, en faisant exactement ce qu‘il reproche à l‘État chinois : l‘éradication des esprits libéraux de ses bibliothèques et de ses ensei-gnements, à chaque nouveau livre qui entre dans la culture accessible en Chine, une oeuvre libérale est remplacée par un livre socialiste dans nos propres magasins. — Christian Brunet Levitan, Libres !
Gageons que les prochaines années verront s’affronter les tenants d’un État toujours plus fort, hypocritement chargé de défendre les citoyens à leur place en les déresponsabilisant, et les tenants d’un retour à la raison libérale où l’État redevient un serviteur et non un maître. — H16, Libres !
Le libéralisme n‘est pas, pour le fort, la liberté de faire n‘importe quoi au détriment du faible. Le libéralisme, c‘est la protection du faible contre les exactions du fort. — Jacques de Guénin, Libres !
Être un partisan inconditionnel du libre marché ne signifie pas pour autant que l‘accroissement des possibilités de consommation, permises par ce libre marché, oblige à adopter un mode de vie matérialiste. — Damien Theillier, Libres !
Les principes du libéralisme ont donc une portée universelle qui les inscrit de facto dans la tradition de l‘humanisme, et en rupture nette avec le droit positif car celui-ci consiste en un droit défini arbitrairement par les rapports de force politiques, sans référence à des critères moraux ou utilitaires. — Marc Lassort, Libres !
Le Libéral français porte en lui, instillé sciemment par environnement, un trouble qui ne pourra disparaître que lorsqu’il aura enfin découvert et proclamé sa vraie nature pour remporter, immanquablement, cette guerre des idées. — Cora de Paillette, Libres !
Mais la responsabilité, sous un angle différent, a un autre aspect positif. Elle donne la crédibilité, la valeur et la noblesse à nos actes. Et si nous avons failli, même involontairement, nous devons reconnaître notre erreur et réparer le tort que nous avons causé. — Didier Maréchal, Libres !
Si l’histoire de la formation des idées est relativement linéaire, celle de leur mise en oeuvre est une suite de fragiles compromis temporaires et locaux entre ceux qui font confiance aux individus pour s’organiser en une société harmonieuse et ceux qui croient à la nécessité d’un pouvoir autoritaire. Combat inégal puisque les libéraux s’interdisent d’agir autrement que par le verbe, alors que leurs opposants s’autorisent à recourir à la contrainte. — Gérard Dréan, Libres !
L’espoir d’entendre un jour s’exprimer longuement un véritable libéral sur un des médias institutionnels est à abandonner sans le moindre scrupule et sans la moindre hésitation. — Charles Anderson, Libres !
Il est plus intéressant alors, pour finir, de se demander pourquoi la droite refuse l’idée même de se dire libérale. La raison de ce paradoxe profond réside dans le fait qu’un système reposant sur la poursuite de l’intérêt personnel, qui explique que c’est parce que chacun pratique le self-love que tous s’enrichissent, est difficile à comprendre pour beaucoup et heurte la morale commune de presque tous. — Serge Schweitzer, Libres !
Par exemple, lorsque nous travaillons contre une rémunération, c’est le fruit de notre travail qui est acheté par notre employeur et qui donne lieu à notre salaire : il s’agit d’un échange. Lorsque nous « donnons aux pauvres », c’est une émotion qui nous est donnée en échange : la satisfaction. — Emmnanuel Bommert, Libres !
nous montre aussi que, parfois, l’Homme a besoin de faire l’expérience de la libération, de sa libération, pour comprendre sa condition. — Thomas Heinis, Libres !
donc d’une forme de travail forcé puisqu’on ne travaille ni pour soi, ni pour ceux qu’on aime ou qu’on souhaiterait aider, mais pour un système pyramidal au sein duquel les fonctionnaires de l’État et les hommes politiques décident arbitrairement de la répartition des ressources de la société. — Kevin Brookes, Libres !
donc d’une forme de travail forcé puisqu’on ne travaille ni pour soi, ni pour ceux qu’on aime ou qu’on souhaiterait aider, mais pour un système pyramidal au sein duquel les fonctionnaires de l’État et les hommes politiques décident arbitrairement de la répartition des ressources de la société. — Kevin Brookes, Libres !
Le respect pour ce qui est bien est plus important que le respect de la loi. Lorsque les deux sont en contradiction, le citoyen a le devoir moral d’ignorer la loi et si nécessaire de lui désobéir. — Alphonse Crespo, Libres !
Peu importe le nom qu’on donne au libéralisme, sa philosophie du droit est la plus complète qui puisse exister en matière de protection des minorités opprimées par la bêtise des majorités. N’est jamais trop extrémiste celui qui lutte contre la concentration de pouvoirs qui anéantissent ces mêmes minorités, les individus humains. — Sandro da Silva, Libres !
’adoption de réglementations dont la finalité affichée est d’encadrer la bonne marche des commerces est presque toujours basée sur le postulat implicite et fallacieux, et qui n’est effectivement jamais démontré, que la liberté du commerçant pourrait être nuisible à tous et qu’il convient donc de l’encadrer avec rigueur et sévérité. — Pierre-Yves Novalet, Libres !
L’État français a réussi l’exploit de désarmer sa batellerie, rendre chroniquement déficitaire le transport par voie ferrée, rendre inévitable la délocalisation du transport routier, tout en ratant l’explosion du fret maritime international récupéré par d’autres grands ports d’Europe. — Lionel Bridiers, Libres !
Au nom de votre liberté, affirmez-vous et déclarez votre intention : « Laissez-moi exister en toute liberté, laissez-moi penser par moi-même et agir selon ma conscience ; j’assume mes besoins comme mes choix, et je choisis d’être cet individu libre et heureux. » — Héloïse de Smet, Libres !
L’entrepreneur n’impose pas, il propose et c’est le consommateur souverain qui valide son offre. L’économie de marché est une gigantesque démocratie qui fonctionne 24 heures sur 24 et où chaque euro représente un droit de vote. — Guillaume Nicoulaud, Libres !
La France est un pays extraordinaire, où à la sortie d’un aéroport en pleine journée, un jeune « artisan transporteur de personnes » peut se faire embarquer par la police comme un vulgaire criminel, pour le seul motif de l’exercice de son métier ! — Stanislas Mozoluk, Libres !
Le monde peut s’écrouler, nos petits fonctionnaires marxistes s’en moquent, il ne faut pas toucher à leurs RTT ni à leur pause café : ce sont des causes tellement plus importantes que le développement économique d’une région. Mais le jour où, en s’écroulant, le monde les emportera sur son passage, nous ne serons pas nombreux à les plaindre. — Bernard Dimessaglio, Libres !
En d’autres termes, participer au développement des pays émergents est sans doute la voie la plus efficace pour réduire les inégalités Nord–Sud, un thème « social » qu’on occulte pourtant souvent. — Frederic Vanderplancke, Libres !
Ce repli sur soi de plus en plus généralisé à toutes les nations européennes fut un des facteurs de la Seconde Guerre mondiale. Qu’en aurait-il été si les commerçants de ces pays avaient au contraire noué des liens économiques forts ? Leurs dirigeants politiques auraient-ils pu se permettre d’entrer en conflit avec leurs voisins ? La réponse est probablement négative et devrait être méditée. — Ronny Ktorza, Libres !
Mais, contrairement aux idées reçues, la concurrence est le plus puissant outil d’égalité sociale, car partout où elle passe, elle rend du pouvoir d’achat à tous, y compris aux plus pauvres, parfois plus en proportion. — Philippe Rouzet, Libres !
En réalité, plus un employeur a la liberté de contracter librement une embauche avec ses futurs employés, plus celui-ci sera enclin à recruter en cas de nécessité et il le fera toujours avec le candidat le plus apte à pourvoir le poste, qu’il soit homme ou femme. La vraie égalité ne résiderait-elle pas plutôt dans les mêmes chances pour chacun de pouvoir démontrer ses talents professionnels ? — Nathalie Beffa, Libres !
Il y a des exemples qui montrent que l’absence pratique de SMIC a une bonne influence sur la richesse générale et le chômage. C’est le cas de la Suisse où le SMIC, quand il existe, est inférieur aux niveaux des plus bas salaires. Il en résulte que le niveau de tous les salaires est élevé. — Michel de Poncins, Libres !
En France, les impôts et les cotisations sociales sont si bien cachés que nous avons tous l’impression, au moins dans un premier temps, d’en payer peu, voire même, pas du tout. Pourtant, la vérité, c’est que l’État français nous prend tous chaque mois la moitié de notre salaire en impôts et en cotisations sociales ! — David Vincent, Libres !
L’intervention de l’État tend à réduire considérablement la liberté de choix des travailleurs et des retraités, en les inscrivant dans un système obligeant les premiers à céder une part non négligeable de leurs revenus aux seconds — en vertu d’une solidarité imposée — et sans aucune garantie d’obtenir un rendement équivalent à la somme qu’ils auraient pu acquérir dans d’autres conditions. — Ludovic Delory, Libres !
La retraite par répartition est basée sur le mythe scientiste d’une élite infaillible décidant à la place des citoyens, ceux-ci étant trop ignorants pour choisir par eux-mêmes correctement leur avenir. — Yann Henry, Libres !
Donc, taxes et impôts sont-ils utiles et efficaces ? Je dirais que c’est à toi d’en apporter la preuve. Pour ma part, je ferais remarquer qu’il est juste impossible d’établir en amont ce qui est ou non utile ou efficace pour tous les individus. Nous sommes 7 milliards sur cette Terre et je dirais qu’il faut une énorme arrogance intellectuelle pour prétendre le savoir. — Gabriele Lafranchi, Libres !
La civilisation humaine a aujourd’hui atteint un degré inimaginable de complexité. Il existe des myriades de relations sans cesse changeantes entre les individus et les organisations à travers le monde entier. Pourtant, en tout cas dans les pays développés, chacun est nourri à sa faim et dispose, dans la mesure de ses revenus, des commodités qu’il souhaite acquérir. — Frédéric Wauters, Libres !
voit mal comment des États qui ont décidé, au nom de leur souveraineté, d’établir à charge de leurs résidents des impôts très lourds, comme le font les enfers fiscaux, pourraient trouver un motif valable de jeter l’opprobre sur d’autres États qui, au nom de la même souveraineté, ont choisi de ne pas accabler leurs habitants de prélèvements obligatoires. — Thierry Afschrift, Libres