z'avez qu'à ptête mieux chercher, au lieu d'inventer des conjugaisons qui n'existent pas
Je ne vais pas revenir sur la décomposition phrase par phrase que vous avez fait de mon post précédent, si ça peut vous faire plaisir faites donc mais c'est une technique qui n'a généralement d'autre but que d'isoler chaque phrase de son contexte et lui ôter toute logique...donc très peu pour moi. La prochaine étape à votre portée c'est d'isoler chaque groupe de mots et de réagir par rapport à eux: degré 0 de réflexion par rapport au fond. Et isolez donc mes fautes de grammaire, je n'ai jamais prétendu être un Grévisse incarné et mon correcteur grammatical étant en panne je ne vous en voudrais pas si vous vous proposez pour faire son boulot bénévolement
morale naturelle, pas philo. suivez. sauf si c'est une tentative de merder perfidement en s'éloignant de ce que j'ai dit.
Et votre morale naturelle dont vous sortez une définition du dictionnaire c'est l'objet de quelle discipline à votre avis? Les sciences naturelles?
Pour faire le pont avec ce que vous disiez incompréhensible: vous dites qu'il existe une morale naturelle. Soit, vous n'êtes pas le premier mais je disais (et je le maintiens) que c'est une morale construite à partir de considérations/postulats métaphysiques immanents ou transcendants (le divin généralement, ou toute autre chose qui a pu être trouvée pour chercher certains principes considérés comme inséparables de la nature humaine, de sa substance) et que à ce titre et à l'inverse de la morale conventionnelle (qui est l'expression de choix philosophiques, mais qui peut évoluer selon certains procédés propres aux sociétés étatiques) chacun peut légitimement se dire porteur d'une morale naturelle...et le meilleur exemple de ce que peu donner ce relativisme et subjectivisme absolus et rois, c'est qu'aucun n'est parvenu à imposer une définition clairement délimitée et faisant autorité de manière absolue de ce qu'était la morale naturelle (et ne me reprenez plus la définition du dictionnaire par pitié, je parle de définir la substance de ladite morale naturelle); au final la morale naturelle tout comme les prétendues lois naturelles ont toujours été une justification politique pour se substituer à l'autorité de la loi positive et de la loi conventionnelle, seules comptant au sein de nos sociétés. Et c'est précisément ce que vous tentez de faire ici, rien de plus et rien de moins.
ah non ? elles seraient construites et élevées sur quoi ? ah oui, la morale naturelle... ou la loi naturelle si vous préférez. Vous vous rendez compte que vous venez de reconnaître que la bouillie d'avant est complètement débile ? Si c'est pour impressionner, va falloir changer de braquet
Sur un système de droit positif accolé à la souveraineté quasi-absolue de l'Etat émanation de la société...et le droit naturel dans le lot n'a servi qu'à donner certains principes de base du style Habeas corpus, droit à la sécurité, droit à la propriété,...compris dans la Déclaration des Droits de l'Homme et aussitôt transposés dans le droit positif. Vos lois naturelles héritées de je ne sais où, de l'Eglise et avec ou sans l'aval de Kant, je n'en vois nulle trace. Et vous en réclamer face à l'autorité de l'Etat n'empêchera nullement la préséance de cette dernière et n'enlèvera rien à la dure réalité que représente un coup de matraque...j'en ai peur.
quand je réagis comme ça, c'est généralement que ce qui est dit avant ne comporte aucun intérêt, et dans votre cas, c'est en plus illisible. ne vous plaignez donc pas. Absolument pas, je ne discute pas de la raison d'être ou pas de la morale naturelle, je constate qu'elle est là, comme vous le reconnaissez explicitement vous-même, et je ne vais pas perdre une journée à troller sur un fil que je n'ai pas ouvert pour ça, d'autant que je ne vois absoument pas votre intérêt de dire " et pour le moment, il n'a pas tort. Exactement, la loi naturelle prime bien évidemment, c'est à ce titre que des lois peuvent être déclarées iniques ou injustes et abrogées. La majorité obtenue par l'Etat n'étant en rien une garantie valable de bien commun, ce qui devrait être le but suprême de la loi. Vous noterez que j'avais précisé "morale" au sens large et je constate que vous venez mêler l'Eglise à tout votre charabia, quand je me borne à donner une justification neutre et communément admise comme telle.
j'ai bien peur que vous ne soyez aussi bon en philo qu'en français.