Bonjour,
Les postulats passent et le temps se perd dans les recoins là où nous ne pouvons pas aller l'utilité de la recherche ne permet pas plus que l'expérience économique sans
consistance humaine.
A moins évidemment de prendre les uns pour des supermen et les autres juste bon à rejeter au rebut.
Le monde n'est pas du tout comme cela et suivant le don éparpillé
comme les scientifiques disposant d'un savoir que les moins disposent autrement
le champ n'est pas limité dans l'obtention de la vérité.
Mais il est sur comme le sel est de mer que ce qui est vrai se retrouve toujours quelque part.
Et si nous parlons de la croyance et de Dieu
il ne s'agit pas de dire l'inatteignable
pour que les récalcitrants rigolent en allant boire un bon coup.
Le monde est infini dans sa possibilité intrinsèque
et enfermer la pensée humaine dans quelque foi auto-disciplinée
n'est pas suffisant à attreindre toute sa splendeur.
Et le peu que beaucoup meurent d'impatience à concevoir l'esprit vague
ce que notre matérialité chérie nous marque l'entité.
Pourtant de sa grandeur à démesurer l'abstrait
la pensée première donnant toutes les formes phénoménales ne peut être une réalité éphémère
reposant sur notre justification même.
C'est-à-dire que l'esprit général est nous-mêmes ce que notre concrétude affirme sa réalité.
Mais le lien qui relie les dimensions reste le pouvoir d'exprimer sa perceptibilité.
Et quand cela se réalisera beaucoup y verront le fondement sensé.
Que la science voyage partout et nulle part l'immensité signifie une certitude à voir notre grandeur
tout comme le quantique est de proximité avec le rien.
Que définit alors l'immatérialité en vis-à-vis subtil.
Mais l'humanité d'esprit à esprit est en tous points correspondant ce que la faculté de perception se croncrétise ici-bas.
Ne pas courir inutilement
un jour ou l'autre les coincidences intimes se doublent bien en vue.
... ...