Bonjour,
En plus de nous il y a le plus qui n'est pas nous
parlant de Dieu comme s'Il est nous.
Venant du nous ce que le soi poursuit sa quête juxtaposé au tout autre cheminant ensemble.
Ainsi si nous considérons que le devenir est de nous (seuls)
cela n'est pas vrai puisque la moindre brise nous affecte nous heurte et nous rebondisse en autant de circonstances pour changer notre état suivant.
Vient alors notre pensée qui se confronte au monde (et l'alentour) pour réagir proprement.
Comme le désir de certifier notre identité à chaque fois que l'entité semble se diluer suivant l'assemblage et les frottements subis.
Ne serait-ce qu'en mangeant ou penser autrement. Les échanges constantes et vivantes.
Et dans tout ce mélange dont nous ne voyons que nos beaux yeux
se reflète évidemment l'évidence de notre dépendance avec la matérialité et l'esprit autres. Et autrui.
Nous avons nous sans les ceux-là dont la certitude est en notre existence
puis nous avons tous les autres qui nous contraignent leur aura.
Nous sommes tout petit de la petitesse cellulaire qui réfléchit à nous faire vivre pensant bien faire à chaque fois que nous voyageons notre supériorité.
Elle bouge et change de sa vie mineure comme l'os immobilisé dans sa structure nécessaire. Pour nous.
Nul doute que la dureté semblante de l'un répondant aussi bien à la mobilité de la petite cellule vivent tous deux dans notre généralité harmonieuse.
C'est une histoire d'ensemble ... exactement ce que notre cerveau leur indique le mouvement complexe à intervenir le changement existentiel.
Il y a donc la matérialité,
et sa pensée (l'esprit impreigné),
et le jugement oppiné (l'esprit qui pense) quand le besoin identitaire crie son affirmation.
Pour être.
Nous sommes ainsi. Et ainsi composés.
Un amas de sang et de chair sur un tas de cailloux qui s'étincellent en vie.
Que le dégagement pensant nous réplique la santé la projection et l'identification.
Chaque caillou en nous du minerai substantiel dans la classification périodique que leurs énergies n'indiquent pas moins
le mouvement composé des cellules et organes fonctionnels.
Ainsi du moins reconnu en chaine de vie devenant notre pensant
tout un tas d'éléments s'agrégeant tout autant que nous-mêmes à suivre leur propre voie intégrée pour confirmer notre robustesse.
La pensée destinée ce que chacun pense lui-même sans même appréhender ce que la supériorité leurs ordonnent de faire.
Et pourtant chaque pensée "pense" parce que la réalité sienne se justife pour elle-même comme une entité partielle mais affirmant son parfait identitaire.
Ce qui est et ce qui "se voit" comme tel.
L'affirmation de leur existence à se juger le pourtour pour se conserver proprement.
... Jusqu'au moment de la fin mourant leur noblesse ou détruit pas l'alentour.
... Mais entretemps ils sont eux en nous et nous-mêmes.
Il y a donc les matérialités et les causes infinies (finies)
et en chaque agrégation leur signification pensée. Ou qui se pense.
Exactement comme notre faculté fabuleux à nous croire dominant et différent
alors que nous "ne" sommes "que" dans la lignée de la vie
...
à se correspondre l'éternité.
Encore faut-il que la correspondance (conscience ?) suit le courrier.
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