Rapport accablant : 3 médecins sur 4 refusent la chimio pour eux-mêmes
http://www.jacques-lacaze.com/article-l ... 91700.html
"Un grand manque de confiance est aussi évident parmi les médecins. Les enquêtes et les questionnaires montrent que trois docteurs sur quatre (75 pour cent) refusent toute chimiothérapie sur eux-mêmes en cas de cancer en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l'organisme humain.
Voici ce que de nombreux médecins et scientifiques
ont à dire à propos de la chimiothérapie :
- "La majorité des patients atteints de cancer dans ce pays meurent à cause de la chimiothérapie, qui ne soigne ni les cancers du sein, ni ceux du côlon ou des poumons. Cela été consigné depuis plus de dix ans. Néanmoins les docteurs continuent à utiliser la chimiothérapie pour combattre ces tumeurs." (Allen Lewin, MD, UCSF, "The Healing of Cancer", Marcus Books, 1990)
- "Le Dr Hardin Jones, conférencier à l'université de Californie, après avoir analysé pendant de nombreuses décennies les statistiques de survie au cancer, est parvenu à cette conclusion : " ... Quand ils ne sont pas traités, les patients ne vont pas plus mal, ils vont même mieux." Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n'ont jamais été réfutées". (Walter Last, "The Ecologist", vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)
- "De nombreux oncologues recommandent la chimiothérapie pour presque tous les types de cancer, avec une foi qui n'est même pas ébranlée par des échecs presque constants."
(Albert Braverman, MD, "Medical Oncology in the 90s", Lancet, 1991, vol. 337, p. 901)
- "Après tout, et pour une majorité bouleversante de cas, il n'y a aucune preuve que la chimiothérapie prolonge les attentes de survie. Et c'est le grand mensonge de cette thérapie, qu'il y a une corrélation entre la réduction des tumeurs et le prolongement de la vie du patient." (Philip Day, "Cancer : Why we're still dying to know the truth", Credence Publications, 2000)
- "Plusieurs scientifiques à plein temps au Centre du Cancer Mac Gill ont envoyé à 118 docteurs, tous experts du cancer du poumon, un questionnaire pour déterminer le niveau de confiance qu'ils avaient dans les thérapies qu'ils appliquaient; on leur a demandé d'imaginer qu'ils avaient eux-mêmes contracté la maladie et laquelle des six thérapies expérimentales actuelles ils choisiraient.
79 médecins ont répondu, 64 d'entre eux ont dit qu'ils ne consentiraient pas à subir un traitement contenant du cis-platine - un des médicaments chimiothérapeutiques communs, tandis que 58 sur 79 croient que toutes les thérapies expérimentales ci-dessus ne sont pas acceptables en raison de leur inefficacité et du niveau élevé de toxicité de la chimiothérapie." (Philip Day, "Cancer : Why we're still dying to know the truth", Credence Publications, 2000)
- "Le docteur Ulrich Abel, un épidémiologiste allemand de la Clinique des tumeurs de Heidelberg-Mannheim, a étudié et analysé de manière exhaustive les principales études et expérimentations cliniques effectuées sur la chimiothérapie: " ... Il la décrit comme désolante du point de vue scientifique et maintient qu'au moins 80% des chimiothérapies administrées dans le monde sont sans valeur. Mais, même s'il n'y a pas de preuve scientifique, quelle qu'elle soit, que la chimiothérapie marche, ni les docteurs ni les patients ne sont préparés à l'abandonner." (Lancet, Aug. 10, 1991)
- "Selon les associations médicales, les effets secondaires notoires et dangereux des médicaments sont devenus la quatrième cause principale de mortalité après l'infarctus, le cancer et l'apoplexie." (Journal of The American Medical Association, april 15, 1998)
--------
La vraie solution est la PREVENTION. En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l'embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d'entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en oeuvre. Nous savons que la courbe d'incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu'un futur cancer s'installe vers 32 ans. L'étude SUVIMAX a montré qu'une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d'environ 30%. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n'a été tirée
Bien entendu, l'industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler: on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis. Le corps médical est sous la coupe des "grands patrons" qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d'une façon ou d'une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. (Je précise que pour ces thérapeutiques - comme pour toutes les thérapeutiques, ce qui compte est de la façon dont elles sont utilisées, selon l'adage: de Claude Bernard: "rien n'est poison, tout est poison, c'est la dose qui fait le poison")
Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l'industrie pharmaceutique.
Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site gernez.asso.fr
Il ne faut pas oublier dans cette affaire que seule la pression des personnes concernées, c'est à dire de nous tous, fera plier ce système.
Docteur Jacques Lacaze
Diplômé de cancérologie