Bonjour,
Revenons sur la plus-value dans le marxisme. Soit un nombre d'heures travail substitué au travailleur. C'est bien de l'affirmer mais la théorie marxiste est incapable de cerner les affectations réelles de cette plus-value. La théorie ne précise pas la part réinvestie dans la machine ou gardée dans le capital. Elle ne peut pas mesurer cette part tout en affirmant qu'elle existe sans pouvoir la quantifier en fonction des différentes entreprises des différents secteurs d'activité.
Cordialement.
On "substitue" à un travaillerur des heures de travail ?
C'est quoi, substituer à une personne des heures ?
A mon avis : rien. Ce n'est rien. On ne substitue pas des heures et des travailleurs.
Dire que c'est bien de l'affirmer - c'est-à-dire un énoncé dépourvu de sens - on commence à se démander ce que vous voulez dire.
Il n'y a rien de tel d'affirmé, naturellement, puisque cela ne veut rien dire. On n'échange pas (ou on ne "substitue" pas) un travailleur avec des heures, ça n'a seulement jamais rien voulu dire.
Ensuite, l'impuissance de la théorie marxiste (consistant, on vient de le voir, à substituer des heures à des travailleurs, c'est-à-dire ne voulant rien dire, Marx est seulement un type qui dit des choses absurdes) consisterait à ne pas pouvoir assigner une part de ce qui devrait "affecter" la plus-value.
Ce qui veut dire, si j'entends bien : quelle partie exactement de la plus value il faut réinvestir.
Marx ne le dit pas, donc c'est de la merde.
Il y a une autre théorie économique, qui assigne précisément combien il faut distraire de la plus-value pour l'investissement, qui donne un chiffre, avec une démonstration comme quoi ça ne peut être ni plus ni moins, etc. ?
On aimerait la connaître.