Ma version n'existe pas, pour le moment, dans l'état actuel de mes connaissances, la renaissance inaugure un nouveau cycle, le notre, celui que nous sommes en train de vivre, pour le moment, je remarque les marques sur les monuments, ce sont elles qui déterminent ci la construction à reçu des marques distinctives sur des parties qui ne devraient, en cas de construction logique, recevoir aucun trou ni aucune traces anachroniques.
Pas exemple, pour Chenonceau, le château, selon les historiens, à minimum deux époques de constructions, le premier corps, ou se trouve les appartements, et le deuxième corps qui est au dessus de l'eau, ou se trouve la salle à manger et la salle de bal, deux grandes pièces une au dessus de l'autre, mais en regardant, du coté bois, à l'opposé du premier corps, des erreurs sont visibles, comme une fenêtre en dessous des toits coupée ainsi que sa décoration, ou un mur non fini !?
Bon, encore une interprétation fantaisiste d'un réel qui a été voulu par les constructeurs.
Diane de Poitiers, favorite du roi Henri II, a fait construire le pont sur le Cher car elle voulait pouvoir accéder à l'autre rive afin d'y établir d'autres jardins et avoir de plus grands terrains de chasse.
Mais la construction du pont est restée inachevée car Henri II est mort prématurément, et sa maîtresse a été priée de restituer ce bien à la couronne royale et d'aller vivre ailleurs.
Les pierres qui sont ici inesthétiques sont des pierres d'ancrage qui étaient destinées à poursuivre les travaux jusqu'à l'autre rive. Catherine de Médicis en a décidé autrement : elle a fait construire sur ce pont deux galeries superposées, l'une servant de salle de bal et l'autre pour les banquets.
Thomas Bohier et sa femme vont entreprendre de nombreux travaux, amorçant la transformation du domaine, et sa mue vers ce que nous observons aujourd’hui. Il rase l’ancien château des Marques. La plate-forme d’origine est gardée mais ne devient qu’une esplanade d’accès au nouveau château. Ce nouveau logis est édifié sur les piles de l’ancien moulin. Des anciens bâtiments, ne restent que la tour des Marques et le puits attenant. Les travaux durent de 1513 à 1521, et sont surtout dirigés par Catherine Briçonnet, pendant les longues absences de son mari.
Thomas Bohier meurt en 1524. Sa veuve meurt deux ans après, en 1526. À sa mort un contrôle des comptes publics met en évidence des malversations. François Ier impose alors une forte amende à ses héritiers (le roi réclame près de 190 000 livres tournois au fils de Thomas, Antoine) et confisque le domaine en 1535.
Henri II l'offre à sa favorite Diane de Poitiers, jeune veuve du vieux maréchal de Brézé, duchesse de Valentinois. Elle fait aménager sur la rive droite du Cher, par dom Pacello da Mercogliano le jardin qui porte son nom et confie à son architecte ordinaire, Philibert de l'Orme ou Delorme - qui donna son nom à un célèbre type de charpente - le soin de construire un pont reliant le château à la rive gauche afin d'y créer de nouveaux jardins et d'accéder à de plus grandes chasses ; ce pont faisait partie des plans originels des Bohier.
À la disparition de Henri II, mortellement blessé lors d'un tournoi en 1559 par le capitaine de sa garde écossaise Gabriel Ier de Montgomery, Catherine de Médicis contraint sa rivale Diane de Poitiers, à restituer Chenonceau à la Couronne et à accepter en échange le château de Chaumont-sur-Loire, dominant la Loire, entre Blois et Amboise.
Reine-mère après les accessions successives au trône de ses fils, François II, Charles IX et Henri III, Catherine fait édifier sur le pont de Diane deux galeries superposées formant un espace de réception unique au monde, et donnant ainsi au château son aspect actuel.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Chenonceau J'ai visité ce château en 2004. Il est magnifique.
"Ultra Pink Noise", votre logique est de terminer le travail et de faire parfait, mais la vie, la mort, en décident autrement.
Combien de fois tu m'as sortie que les monuments n'étaient pas fini !!?
Sur la photo au dessus, il suffit de regarder l'ébauche de fenêtre en dessous du toit sur la gauche .... qui commencerait une fenêtre entièrement, du haut vers le bas sans prévoir le coté gauche ... à la place, un mur aurait été mis en place, un mur avec des pierres qui dépassent des deux cotés ....
Et pour justifier le problème de construction, la fable invérifiable du château non terminé .... là ou les lacunes de construction dépasse cet ordre basique, plus proche de la justification, de l'affirmation, que de la vérité explicite ...
Regarde la fenêtre en haut à gauche, il en manque une bonne partie .... les murs ce montent de bas en haut, non de droite a gauche ...