L'affaire Peugeot (plutôt PSA) met en lumière les agissements réels de l'Etats Francais, notamment sous les socialo-progressistes. La famille Peugeot contrôlait son entreprises (avec environ 40% des actions et plus encore de droits de vote).
La famille Peugot soutenait traditionnellement la droite, en l'occurrence Sarkozy. Fait connu depuis toujours.
A l'arrivée de Français Hollande, l'Etat a organisé la faillite financière de PSA. D'abord l'eata, il faut s'en rappeller a commencé à taxer à outrance suffoquant l'industrie. Lafarge, un cimentier mondail historique qui avait été même le premier cimentier un certain temps, a foutu le camps de France. En effet, pour cause d'écologisme, l'emploi du béton et l'usage de la voiture se sont trouvés très fortement désavantagés en France, pays du béton et de la voiture.
Concernant PSA, l'Etat a d'abors tout fait pour mettre ne difficulté la banque de la famille Peugeot en bloquant son activité. Peugeot s'est résolu à la vendre à l'Espagnol Casa. Dépourvu de banque, PSA a essayé de s'alimenter finaincièrement auprès des banques, mais l'Etat français est intervenu pour l'en empêcher. Finalement Peugeot s'est essayé à une augmentation de capital sur la marché boursier français, et là l'Etat est intervenu pour menacer par l'intermédiaire du fisc les personnes de la famille Peugeot qui venaient de migrer en Suisse, si elles n'acceptaient pas le deal que l'Etat Français leur proposait. Le PDG PSA était pourtant allé voir Hollande, pour lui expliquer que Peugot s'était conduit dans l'intérêt national comme aucune autre entreprise, imposait le parler français, qu'il enseignait dans toutes ses sites de production étrangers, ne parlait que le français a l'intérieur de l'entreprise, avait gardé une bonne part de production en France. La réponse de Français Hollande a été une critique du maintien de l'activité en France et du français dans le groupe (en somme il fallait partir de France et se convertir à l'anglais...
Alors le deal proposé est parfaitement représentatif de l'Etat ANTI-français qui nous dirige. Il consistait en une augmentation de capital (avec la valeur Peugeot qui avait plongé suite à ses déboires financiers orchestrés par l'Etat), où l'Etat prendrait une part égale à la famille Peugeot, une société d'Etat chinoise (comme ça les camarade du PCC pourront veiller aussi) prendrait une autre part identique, et la famille Peugeot se verrait interdire la nomination de représentants au conseil d'administration autres que ceux tolérés par l'Etat Français et chinois. Le groupe PSA passe immédiatement à l'emploi obligatoire de l'anglais et le français s'en voit proscrit, comme au sein de Renault depuis une vingtaine d'années.
Aujourd'hui PSA a été vendu au groupe Fiat, dont, au contraire, les Etats-Unis, ont tout fait pour maintenir une famille au sommet du groupe qui a racheté Chrysler, et donc cette famille Agnelli contrôle 38% du groupe, face à la famille Peugeot 7%, et dont le fleuron PSA était bien plus pertinent que leur nouveau propriétaire, basé en Hollande et dont les bureaux d'études seront au Royame-Uni, et qui fait une super-affaire technologique et industrielle grâce à l'Etat Français et contre les intérêts de la France. A noter le noyautage implicite du parti communiste chinois de la nouvelle entité, grâce à Monsieur Hollande, qui a bien fait son job. Les agents chinois fourmillent au niveau européen et l'UE ne fait rien pour s'en protéger, probablement trop gangrénée de l'intérieur.