J'ai un beau-père prof de maths depuis 1968, je vais lui demander si les exigences ont baissé.
L'année dernière, en histoire de l'enseignement, j'avais appris qu'au contraire, les mathématiques avaient été l'une des matières qui avait le plus augmenté le niveau de ses programmes.
Concernant la baisse de niveau : globalement on peut la constater par des mesures (nombre de fautes d'orthographe dans une dictée, capacités de compréhension d'un texte, culture générale...). Mais je dirais surtout que dans le détail, les meilleurs sont meilleurs qu'avant et les plus mauvais sont encore plus mauvais. D'un jeune à un autre, en 6ème par exemple, il y a des écarts qui se creusent beaucoup et qui sont impressionnants parfois.
Une telle hétérogénéité n'arrange ni les professeurs, ni les élèves et cela nivelle par le bas.
certes, l'élite s'est ouverte élargie adaptée, mais l'écart entre les meilleurs et une non minorité d'analphabètes devient énorme et très handicapant socialement...enfin pour le contribuable, eux ne se rendent même pas compte de leur misérable condition
le pire étant que les métiers pour des gens comme ça n'existent presque plus! même le simple OS doit savoir comprendre et appliquer une consigne, voire la reporter sur informatique, il doit savoir s'adapter et surtout, accepter les jobs délaissés
toute une génération en france à renvoyer à l'alphabétisation, apprentissage des savoirs de base, afpa, stages professionnels...entre l'école défaillante, le coût de re-former ces paumés à des métiers auxquels ils pourrainet accéder et leurs alloc, VOILA OU PASSENT VOS IMPOTS!