Dashwood Ces enfants sont riches de deux langues. La pratique de leur langue maternelle est indispensable.
Je repense à cette élève qui, pour une épreuve de concours d'éloquence en langue, s'est mise à pleurer pendant un temps de préparation car elle ne retrouvait plus un seul mot de sa langue maternelle... Eh bien, cet événement stupide fut le déclencheur d'une thérapie bien salée chez un psy.
Je savoure en permanence ce talent d'inversion des valeurs des islamo-gauchiss.
Le pauvre gamin allophone analphabète débarqué de son bled, incapable de suivre le moindre cours de primaire en raison de sa méconnaissance de la langue du pays où ses parents l'ont parachuté, et dont l'échec est à la fois déploré par lesdits parents qui couinent à la ghettoïsation, et les instits de banlieue, soudainement investis de la mission d'alphabétisation de la moitié de leur classe alors qu'ils étaient censés leur enseigner la magie des poésies de Maurice Carême.
Ces pauvres gosses en situation d'échec patent se voient attribuer par la magie sémantique des progressiss une "double richesse" dont il faut à cultiver la partie improductive à notre société, au détriment des efforts à prodiguer pour leur intégration.
Et franchement, parler de "richesse culturelle" en référence à des bleds dont tout le monde cherche à se barrer en raison de leur sous-développement me fait doucement marrer.