Ce qui me fascine, c'est l'étonnement provoqué par ces poupées et les pratiques qui en découlent.
Il y a 100 ans ou même 50 ans, celui qui aurait proposé le mariage pour les homos se serait fait massacrer. Aujourd'hui, on lui tresse des lauriers au nom de la tolérance.
On peut se dire que nous sommes aujourd'hui les réfractaires aux saloperies du futur (celles que nous laissent entrevoir ces poupées), saloperies qui auront droit de cité dans quelques décennies, au nom de cette même tolérance, même si cela nous parait inconcevable aujourd'hui.
Pauvres enfants, pauvre monde.