Le PS n’est pas un parti politique de gauche. Il n’est même pas de droite non libérale. Les réformes pour déréguler encore davantage vont être poursuivies. Dans le cadre du marché « libre » et « non faussé », l’activité économique va toujours plus être placée en-dehors du champ démocratique. Les nouveaux membres du régime accédant au pouvoir souhaitent assurer la continuité, sauvegarder le capitalisme et la structure pyramidale de la société, garantir l’extorsion des plus-values, et pérenniser un système de production au service des dirigeants à l’encontre des intérêts de tous ceux vivant de leur travail.
Mais, si François Hollande peut mettre en place un capitalisme à visage humain, qu’il annonce rapidement comment cela va être possible. Ce devra, évidemment, être bien différent de précédemment.
L’alternative vers le communisme est possible. J’appelle chacun à participer à l’obtenir par le vote, par la manifestation, par la grève, par le débat, par toute action fructueuse. Je comprends l’attente d’une gouvernance immédiatement plus humaine. Mais, dans des périodes clés de l’histoire, il faut savoir faire s’engager les choses vers une voie plutôt que vers une autre, pour obtenir beaucoup mieux pour toujours.