"S’appuyant essentiellement sur sa participation à la campagne pro-palestinienne de boycott des produits en provenance d’Israël, le barreau

des avocats du Val d’Oise a rejeté l’inscription del’ex-sénatrice, Alima Thiery Boumediene. Saisie par cette dernière, la Cour d’appel de Versailles a demandé au Conseil de l’Ordre de trouver une solution pour l’intégrer au barreau.

Depuis décembre 2011, Alima Boumediene Thiery a déposé sa demande d’inscription au barreau des avocats du Val d’Oise, celle-ci lui est refusée malgré ses diplômes universitaires (Deug, licences, maîtrises, DEA et DESS, doctorat), sa formation de juriste et son expérience de 12 ans de parlementaire tant au Parlement européen qu’au Sénat, annonce un communiqué du comité de soutien de l’ex-sénatrice du groupe des Verts.

Le mémoire déposé par le bâtonnier représentant l’Ordre des avocats du barreau du Val d’Oise ne remet pas en cause les conditions juridiques nécessaires à son inscription.

Néanmoins, il indique que l’intéressée «exerce un militantisme efficace dans le cadre de ses activités politiques, lequel apparaît contraire à l’honneur, à la probité, aux bonnes mœurs… et au respect des principes essentiels de dignité et de modération». L’accusation de l’Ordre des avocats du Val d’Oise s’appuie essentiellement sur la participation d’Alima Boumediene Thiery à la campagne pro-palestinienne pour laquelle elle a été mise en examen en octobre 2011, mais a été relaxée depuis.

Il est à rappeler que la campagne BDS visait à «attirer l’attention de l’opinion publique sur le refus de l’Etat d’Israël de se conformer aux principes inscrits dans les traités européens et dans les accords d’associations qu’ils ont signés, à savoir le respect des droits humains et celui de la traçabilité des produits à l’exportation».

Et de «dénoncer l’impunité dont bénéficient les autorités israéliennes, impunité qui cautionne ces violations répétées du droit international et l’injustice que subit au quotidien le peuple palestinien du fait de l’occupation coloniale».

Pour le Conseil de l’Ordre, il s’agit «d’opérations de commando… invitant les clients à boycotter tous les produits venant d’Israël au nom de l’antisionisme». Il considère que «même si ces faits n’ont pas été suivis de condamnation, il apparaît clairement que les missions engagées par Mme Alima Boumediene Thiery sont contraires aux principes de modération, de dignité et de probité et que ces agissements peuvent être constitutifs de qualifications pénales».

Pourtant, la Cour d’appel de Paris a confirmé que «le soutien au boycott pour des motifs politiques ne caractérise en aucun de ses éléments le délit de provocation à la discrimination, la haine ou la violence». La Cour relève que «la critique pacifique de la politique d’un Etat relevant du libre jeu de débat politique se trouve, aux termes de la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme, au cœur même de la notion de société démocratique». Alima Boumediene Thiery a contesté le rejet de son inscription au barreau du Val d’Oise, qu’elle qualifie d’«illégal et discriminatoire», et la Cour d’appel de Versailles, auprès de laquelle elle a déposé un recours, a reconnu la validité de sa requête et a demandé au Conseil de l’Ordre de trouver une solution pour l’intégrer au barreau.".

faire décoller les ventes du dernier Zebda

Misaire ©

C'est immondement mauvais, à mon avis il faudra plus que ça pour faire décoller les ventes, au moins une 3ème guerre mondiale ... et atomique

faire décoller les ventes du dernier Zebda

Misaire ©

C'est immondement mauvais, à mon avis il faudra plus que ça pour faire décoller les ventes, au moins une 3ème guerre mondiale ... et atomique

pas grave ils ont un créneau ...

Mais faut reconnaître que le chanteur est plus un "diseur" qu'un chanteur ...

C'est assez nul .... mais bon ..

interdire ? certainement pas ...

Entre propagande pro palestinienne et propagande pro israélienne, doit on faire un choix, nous occidentaux qui nous sommes historiquement bien trop investis dans cette histoire qui ne nous regarde pas...

Pardon, mais étant donné que les Palestiniens sont une invention de l'Occident, ça nous regarde plus qu'un peu.

LE PEUPLE INVENTÉ

Vous souvenez-vous de l’émoi et de l’indignation provoqués, au sein de la gauche politique et intello-médiatique, par une déclaration de Newt Gingrich, alors candidat à la primaire républicaine et ancien président de la Chambre des Représentants, déclaration qualifiant les Palestiniens de «peuple inventé».

Comment ce conservateur américain pouvait-il oser écorner l’aura et entacher la réputation du peuple considéré par toute la gauche occidentale comme l’archétype du Peuple-Victime par excellence? Quelle bassesse! Quelle ignominie! N’est-ce pas?

En fait, il n’a fait que dire la vérité. Le peuple palestinien est en effet un peuple d’invention récente.

Pour vous en convaincre, il vous suffit, à moins que vous suffoquiez tellement de rage devant cet énoncé que vous en soyez incapables, de lire un livre fort éclairant de David Horowitz et de Guy Millière intitulé : Comment le Peuple Palestinien fut Inventé.

«Depuis trop longtemps, écrit Guy Millière en introduction, les faits historiques les plus élémentaires concernant le Proche-Orient sont laissés de côté : ils sont ici rappelés avec simplicité et vigueur.»

Le premier fait qu’il faut rappeler est le suivant : les Juifs ont toujours vécu dans cette région du monde. Depuis plus de 3000 ans, très certainement. Ils y ont créé un royaume, un pays, le Royaume d’Israël. Ce dernier fut il est vrai anéanti par les Romains en l’an 70 de l’ère chrétienne. Il y a eu certes dispersion (la diaspora) tout autour de la Méditerranée, mais il y a toujours eu, à travers les siècles, une présence juive significative dans leur antique patrie et dans leur ville sainte, Jérusalem.

Et les Arabes, eux? Ils sont arrivés au VIIe siècle et se sont installés sur le même territoire que les Juifs. Mais aucun État palestinien n’a été créé. Cette région fut tout à tour soumise et dominée par les Byzantins, puis par les Arabo-musulmans, puis par les Turcs Ottomans, et enfin, au lendemain de la Première Guerre Mondiale, par les Britanniques.

Ce sont d’ailleurs les Britanniques qui se sont vus confier par la Société des Nations le mandat visant à faire renaître un «Foyer National Juif».

À partir de là, beaucoup de Juifs venant du monde entier sont retournés dans leur patrie. Ils ont légalement acquis des terres et les ont développées (la spoliation des terres par les Juifs est un des nombreux mensonges historiques forgés dans ce coin du monde).

Fait remarquable, note David Horowitz, «les immigrants juifs ont apporté le développement industriel et agricole et attiré des gens en quête de travail». Et ces gens étaient des Arabes qui venaient des pays environnants : Liban, Syrie, Égypte, future Jordanie.

Car, avant même la création de l’État d’Israël, un nouvel État arabe fut créé sur plus de 80% du territoire sous mandat britannique (tout le territoire à l’est du Jourdain). Il s’est d’abord appelé Transjordanie, puis Jordanie, et la direction du nouvel État fut confiée à la dynastie hachémite. Et c’était en fait un État palestinien.

En 1948, enfin, les Nations Unies adoptent un plan de partition pour le reste du territoire. «Les Arabes, écrit Horowitz, se sont vus attribuer les terres juives anciennes de Judée et de Samarie— aujourd’hui plus communément appelées Cisjordanie. Les Juifs ont reçu trois rubans de terre coupés les uns des autres, situés au bord de la Méditerranée, et le désert du Néguev. Ils se sont vus accorder l’accès la ville de Jérusalem.»

Sur le futur territoire d’Israël, il y avait un million deux cent mille Juifs et huit cent mille Arabes.

On connait la suite : les pays arabes voisins (Égypte, Syrie, Jordanie, Irak) ont refusé ce partage et leurs armées se sont ébranlées en vue d’anéantir l’État naissant d’Israël. Mais, à la surprise du monde entier, les armées arabes furent repoussées et vaincues.

L’État d’Israël était né. Mais aucun État palestinien n’apparut. Et personne n’en réclamait la création.

«En 1950, la Jordanie a annexé la totalité de la Judée-Samarie (Cisjordanie) et l’Égypte a annexé Gaza, sans protestation de qui que ce soit.»

Dès lors, la question des réfugiés est apparue.

D’abord, 600,000 Juifs, chassés de leurs terres par les États arabes du Proche-Orient et d’Afrique du Nord, ont été majoritairement accueillis en Israël. L’établissement de cet afflux d’immigrants expulsés s’est fait sans aucun financement de l’ONU.

Par ailleurs, des centaines de milliers d’Arabes (de 4 à 500,000) ont quitté le territoire du nouvel État, suivant en cela les consignes des armées arabes. On leur disait qu’il s’agissait d’un départ temporaire, le temps de faire disparaître l’État d’Israël. Ce qui n’est jamais survenu. Tous ces «fuyards temporaires» se sont vus aussitôt accorder par l’ONU le statut de réfugiés. Et on a créé en 1950 un organisme spécifique, l’UNRWA (United Nations Relief and Works Agency), chargé de fournir aide et assistance aux «réfugiés palestiniens». Le budget de cette agence onusienne, financé par des gouvernements surtout occidentaux (les États-Unis sont le principal bailleur de fonds), dépasse les 500 millions annuellement.

Ce statut de «réfugié palestinien» est unique dans le monde entier. Il est transmissible de génération en génération. Enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants, des quelques 500,000 réfugiés de 1948 ont acquis le statut à la naissance. Ce singulier statut héréditaire n’existe nulle part ailleurs. Ailleurs, depuis toujours, les réfugiés s’intègrent dans la société d’accueil et leurs descendants sont des citoyens du pays qui les a reçus.

Par conséquent, ces 5 à 600,000 réfugiés, s’étant multipliés, sont maintenant plus de 5 millions. Et le côté surréaliste de l’affaire, c’est que ces 5 millions de «réfugiés palestiniens» exigent qu’Israël leur reconnaisse un «droit au retour»! Vous imaginez la situation : le peuple juif d’Israël submergé sous le flot de «réfugiés palestiniens» qui carburent depuis des décennies à la haine des Juifs et qui n’ont qu’une obsession, «rayer Israël de la carte».

D’ailleurs, depuis la naissance d’Israël, l’objectif des pays arabo-musulmans a toujours été d’anéantir l’État d’Israël.

En 1967, les armées arabes se lancent de nouveau à l’assaut d’Israël. Tsahal leur inflige une raclée et prend le contrôle de la bande de Gaza, du Sinaï, de la Judée-Samarie et du plateau du Golan.

En 1973, les mêmes armées arabes sont encore une fois mises en déroute.

Et la création d’un État palestinien ne fait nullement partie des «buts de guerre» des pays agresseurs.

Ce n’est qu’après ces défaites que le «peuple palestinien» a été inventé. Sur les conseils du KGB. Les gouvernements arabes de la région se sont laissés convaincre que de maquiller la volonté de détruire Israël en «lutte de libération nationale» serait bien vu en Occident.

Et ils ont eu raison. Les vertueux bien-pensants de la gauche occidentale se sont empressés de donner leur soutien à un autre peuple «opprimé», sans se soucier le moindrement de la falsification historique qui était à l’origine de ce changement de cap.

Le «peuple palestinien» était né. Et comme il était engagé dans une «lutte de libération nationale», il fallait, en toute logique, une peuple oppresseur et tyrannique. Ce fut, évidemment, le peuple juif qui, par un singulier retournement des choses, d’agressé se métamorphosa en agresseur.

Toute la gauche occidentale (y incluant les catholiques de gauche, ce qui est proprement scandaleux) adhéra à cette contrefaçon historique bricolée par l’OLP et les États arabes.

Soit que les vertueux bien-pensants de gauche sont sincèrement convaincus que cette falsification historique est une vérité indubitable, et ce sont alors de parfaits idiots utiles; soit ils sont tout à fait conscients que le «peuple palestinien» est une invention toute récente, mais ils jugent cette énorme tromperie indispensable pour masquer leur antisionisme et leur judéophopie. D’après vous, dans quelle catégorie (idiot utile ou antisémite déguisé) doit-on ranger les Gérald Larose, Raymond Gravel, Françoise David, Amir Khadir, Julien Poulin, les présidents de centrales syndicales et bien des politiciens de gauche de chez nous?

Laissons la parole, en conclusion de ce billet, aux deux auteurs d’un livre (Comment le Peuple Palestinien fut Inventé) que vous ne vous retrouverez malheureusement pas dans les librairies québécoises (si j’ai pu le lire, c’est grâce à mon libraire d’Alma qui l’a commandé en Europe…et ça a pris trois mois avant de le recevoir), David Horowitz et Guy Millière.

«Le conflit du Proche-Orient, écrit Horowitz, tient à la volonté du monde arabe de détruire Israël, et au refus des pays arabes et des Arabes palestiniens d’accepter l’existence d’Israël. Si les Arabes étaient prêts à reconnaître Israël et à vivre en paix avec lui en tant qu’État du peuple juif, il y aurait sans doute eu, en supplément de la Jordanie, un État arabe palestinien depuis longtemps.»

«Accepter, écrit Guy Millière, la création unilatérale d’un État palestinien judenrein, antisémite, islamique, exaltant le terrorisme, prônant l’annihilation d’Israël, serait une capitulation par laquelle le monde occidental renoncerait à toutes les valeurs qu’il prétend incarner, et créerait les conditions immédiates d’une guerre où il en irait de la survie d’Israël…Ce qui devrait préoccuper les dirigeants occidentaux aujourd’hui, c’est l’agitation islamiste et les périls qu’elle porte, et c’est la haine anti-israélienne et ce qu’elle signifie de haine anti-occidentale.

L’apaisement et la lâcheté ne calmeront pas l’agitation islamiste. La complaisance vis-à-vis de la haine anti-israélienne n’empêchera pas celle-ci d’être ce qu’elle est. Abandonner Israël serait abandonné infiniment plus qu’Israël.

Gaza, sous l’autorité du Hamas, est déjà un quasi-État terroriste. Créer un État terroriste en Judée-Samarie serait un crime contre Israël et contre la civilisation occidentale elle-même.»

Que dire de plus?

il fallait, en toute logique, une peuple oppresseur et tyrannique. Ce fut, évidemment, le peuple juif qui, par un singulier retournement des choses, d’agressé se métamorphosa en agresseur.

Toute la gauche occidentale (y incluant les catholiques de gauche, ce qui est proprement scandaleux) adhéra à cette contrefaçon historique bricolée par l’OLP et les États arabes.

Il n'est en rien scandaleux que les catholiques s'inquiètent du sort des palestiniens chretiens, lesquels sont rejettés à la fois par les juifs et mêmes les musulmans.

Et les chrétiens orientaux, ils ne sont pas antijuifs ?

Entre propagande pro palestinienne et propagande pro israélienne, doit on faire un choix, nous occidentaux qui nous sommes historiquement bien trop investis dans cette histoire qui ne nous regarde pas...

Pardon, mais étant donné que les Palestiniens sont une invention de l'Occident, ça nous regarde plus qu'un peu.

LE PEUPLE INVENTÉ

Vous souvenez-vous de l’émoi et de l’indignation provoqués, au sein de la gauche politique et intello-médiatique, par une déclaration de Newt Gingrich, alors candidat à la primaire républicaine et ancien président de la Chambre des Représentants, déclaration qualifiant les Palestiniens de «peuple inventé».

Comment ce conservateur américain pouvait-il oser écorner l’aura et entacher la réputation du peuple considéré par toute la gauche occidentale comme l’archétype du Peuple-Victime par excellence? Quelle bassesse! Quelle ignominie! N’est-ce pas?

En fait, il n’a fait que dire la vérité. Le peuple palestinien est en effet un peuple d’invention récente.

Pour vous en convaincre, il vous suffit, à moins que vous suffoquiez tellement de rage devant cet énoncé que vous en soyez incapables, de lire un livre fort éclairant de David Horowitz et de Guy Millière intitulé : Comment le Peuple Palestinien fut Inventé.

«Depuis trop longtemps, écrit Guy Millière en introduction, les faits historiques les plus élémentaires concernant le Proche-Orient sont laissés de côté : ils sont ici rappelés avec simplicité et vigueur.»

Le premier fait qu’il faut rappeler est le suivant : les Juifs ont toujours vécu dans cette région du monde. Depuis plus de 3000 ans, très certainement. Ils y ont créé un royaume, un pays, le Royaume d’Israël. Ce dernier fut il est vrai anéanti par les Romains en l’an 70 de l’ère chrétienne. Il y a eu certes dispersion (la diaspora) tout autour de la Méditerranée, mais il y a toujours eu, à travers les siècles, une présence juive significative dans leur antique patrie et dans leur ville sainte, Jérusalem.

Et les Arabes, eux? Ils sont arrivés au VIIe siècle et se sont installés sur le même territoire que les Juifs. Mais aucun État palestinien n’a été créé. Cette région fut tout à tour soumise et dominée par les Byzantins, puis par les Arabo-musulmans, puis par les Turcs Ottomans, et enfin, au lendemain de la Première Guerre Mondiale, par les Britanniques.

Ce sont d’ailleurs les Britanniques qui se sont vus confier par la Société des Nations le mandat visant à faire renaître un «Foyer National Juif».

À partir de là, beaucoup de Juifs venant du monde entier sont retournés dans leur patrie. Ils ont légalement acquis des terres et les ont développées (la spoliation des terres par les Juifs est un des nombreux mensonges historiques forgés dans ce coin du monde).

Fait remarquable, note David Horowitz, «les immigrants juifs ont apporté le développement industriel et agricole et attiré des gens en quête de travail». Et ces gens étaient des Arabes qui venaient des pays environnants : Liban, Syrie, Égypte, future Jordanie.

Car, avant même la création de l’État d’Israël, un nouvel État arabe fut créé sur plus de 80% du territoire sous mandat britannique (tout le territoire à l’est du Jourdain). Il s’est d’abord appelé Transjordanie, puis Jordanie, et la direction du nouvel État fut confiée à la dynastie hachémite. Et c’était en fait un État palestinien.

En 1948, enfin, les Nations Unies adoptent un plan de partition pour le reste du territoire. «Les Arabes, écrit Horowitz, se sont vus attribuer les terres juives anciennes de Judée et de Samarie— aujourd’hui plus communément appelées Cisjordanie. Les Juifs ont reçu trois rubans de terre coupés les uns des autres, situés au bord de la Méditerranée, et le désert du Néguev. Ils se sont vus accorder l’accès la ville de Jérusalem.»

Sur le futur territoire d’Israël, il y avait un million deux cent mille Juifs et huit cent mille Arabes.

On connait la suite : les pays arabes voisins (Égypte, Syrie, Jordanie, Irak) ont refusé ce partage et leurs armées se sont ébranlées en vue d’anéantir l’État naissant d’Israël. Mais, à la surprise du monde entier, les armées arabes furent repoussées et vaincues.

L’État d’Israël était né. Mais aucun État palestinien n’apparut. Et personne n’en réclamait la création.

«En 1950, la Jordanie a annexé la totalité de la Judée-Samarie (Cisjordanie) et l’Égypte a annexé Gaza, sans protestation de qui que ce soit.»

Dès lors, la question des réfugiés est apparue.

D’abord, 600,000 Juifs, chassés de leurs terres par les États arabes du Proche-Orient et d’Afrique du Nord, ont été majoritairement accueillis en Israël. L’établissement de cet afflux d’immigrants expulsés s’est fait sans aucun financement de l’ONU.

Par ailleurs, des centaines de milliers d’Arabes (de 4 à 500,000) ont quitté le territoire du nouvel État, suivant en cela les consignes des armées arabes. On leur disait qu’il s’agissait d’un départ temporaire, le temps de faire disparaître l’État d’Israël. Ce qui n’est jamais survenu. Tous ces «fuyards temporaires» se sont vus aussitôt accorder par l’ONU le statut de réfugiés. Et on a créé en 1950 un organisme spécifique, l’UNRWA (United Nations Relief and Works Agency), chargé de fournir aide et assistance aux «réfugiés palestiniens». Le budget de cette agence onusienne, financé par des gouvernements surtout occidentaux (les États-Unis sont le principal bailleur de fonds), dépasse les 500 millions annuellement.

Ce statut de «réfugié palestinien» est unique dans le monde entier. Il est transmissible de génération en génération. Enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants, des quelques 500,000 réfugiés de 1948 ont acquis le statut à la naissance. Ce singulier statut héréditaire n’existe nulle part ailleurs. Ailleurs, depuis toujours, les réfugiés s’intègrent dans la société d’accueil et leurs descendants sont des citoyens du pays qui les a reçus.

Par conséquent, ces 5 à 600,000 réfugiés, s’étant multipliés, sont maintenant plus de 5 millions. Et le côté surréaliste de l’affaire, c’est que ces 5 millions de «réfugiés palestiniens» exigent qu’Israël leur reconnaisse un «droit au retour»! Vous imaginez la situation : le peuple juif d’Israël submergé sous le flot de «réfugiés palestiniens» qui carburent depuis des décennies à la haine des Juifs et qui n’ont qu’une obsession, «rayer Israël de la carte».

D’ailleurs, depuis la naissance d’Israël, l’objectif des pays arabo-musulmans a toujours été d’anéantir l’État d’Israël.

En 1967, les armées arabes se lancent de nouveau à l’assaut d’Israël. Tsahal leur inflige une raclée et prend le contrôle de la bande de Gaza, du Sinaï, de la Judée-Samarie et du plateau du Golan.

En 1973, les mêmes armées arabes sont encore une fois mises en déroute.

Et la création d’un État palestinien ne fait nullement partie des «buts de guerre» des pays agresseurs.

Ce n’est qu’après ces défaites que le «peuple palestinien» a été inventé. Sur les conseils du KGB. Les gouvernements arabes de la région se sont laissés convaincre que de maquiller la volonté de détruire Israël en «lutte de libération nationale» serait bien vu en Occident.

Et ils ont eu raison. Les vertueux bien-pensants de la gauche occidentale se sont empressés de donner leur soutien à un autre peuple «opprimé», sans se soucier le moindrement de la falsification historique qui était à l’origine de ce changement de cap.

Le «peuple palestinien» était né. Et comme il était engagé dans une «lutte de libération nationale», il fallait, en toute logique, une peuple oppresseur et tyrannique. Ce fut, évidemment, le peuple juif qui, par un singulier retournement des choses, d’agressé se métamorphosa en agresseur.

Toute la gauche occidentale (y incluant les catholiques de gauche, ce qui est proprement scandaleux) adhéra à cette contrefaçon historique bricolée par l’OLP et les États arabes.

Soit que les vertueux bien-pensants de gauche sont sincèrement convaincus que cette falsification historique est une vérité indubitable, et ce sont alors de parfaits idiots utiles; soit ils sont tout à fait conscients que le «peuple palestinien» est une invention toute récente, mais ils jugent cette énorme tromperie indispensable pour masquer leur antisionisme et leur judéophopie. D’après vous, dans quelle catégorie (idiot utile ou antisémite déguisé) doit-on ranger les Gérald Larose, Raymond Gravel, Françoise David, Amir Khadir, Julien Poulin, les présidents de centrales syndicales et bien des politiciens de gauche de chez nous?

Laissons la parole, en conclusion de ce billet, aux deux auteurs d’un livre (Comment le Peuple Palestinien fut Inventé) que vous ne vous retrouverez malheureusement pas dans les librairies québécoises (si j’ai pu le lire, c’est grâce à mon libraire d’Alma qui l’a commandé en Europe…et ça a pris trois mois avant de le recevoir), David Horowitz et Guy Millière.

«Le conflit du Proche-Orient, écrit Horowitz, tient à la volonté du monde arabe de détruire Israël, et au refus des pays arabes et des Arabes palestiniens d’accepter l’existence d’Israël. Si les Arabes étaient prêts à reconnaître Israël et à vivre en paix avec lui en tant qu’État du peuple juif, il y aurait sans doute eu, en supplément de la Jordanie, un État arabe palestinien depuis longtemps.»

«Accepter, écrit Guy Millière, la création unilatérale d’un État palestinien judenrein, antisémite, islamique, exaltant le terrorisme, prônant l’annihilation d’Israël, serait une capitulation par laquelle le monde occidental renoncerait à toutes les valeurs qu’il prétend incarner, et créerait les conditions immédiates d’une guerre où il en irait de la survie d’Israël…Ce qui devrait préoccuper les dirigeants occidentaux aujourd’hui, c’est l’agitation islamiste et les périls qu’elle porte, et c’est la haine anti-israélienne et ce qu’elle signifie de haine anti-occidentale.

L’apaisement et la lâcheté ne calmeront pas l’agitation islamiste. La complaisance vis-à-vis de la haine anti-israélienne n’empêchera pas celle-ci d’être ce qu’elle est. Abandonner Israël serait abandonné infiniment plus qu’Israël.

Gaza, sous l’autorité du Hamas, est déjà un quasi-État terroriste. Créer un État terroriste en Judée-Samarie serait un crime contre Israël et contre la civilisation occidentale elle-même.»

Que dire de plus?

C'est le PQ d'un sioniste. Quant au bouquin de Horowitz et Millière, ben c'est du Horowitz et Millière...réponse mal ficelée au bouquin de Shlomo Sand

il fallait, en toute logique, une peuple oppresseur et tyrannique. Ce fut, évidemment, le peuple juif qui, par un singulier retournement des choses, d’agressé se métamorphosa en agresseur.

Toute la gauche occidentale (y incluant les catholiques de gauche, ce qui est proprement scandaleux) adhéra à cette contrefaçon historique bricolée par l’OLP et les États arabes.

Il n'est en rien scandaleux que les catholiques s'inquiètent du sort des palestiniens chretiens, lesquels sont rejettés à la fois par les juifs et mêmes les musulmans.

*****

« » (Albert Einstein).

Serait-il lui aussi "un juif qui se déteste" ?

il fallait, en toute logique, une peuple oppresseur et tyrannique. Ce fut, évidemment, le peuple juif qui, par un singulier retournement des choses, d’agressé se métamorphosa en agresseur..

ha bon ?

c'est Israël qui a déclaré la guerre aux pays arabes en 1948 ?

je ne savais pas

il fallait, en toute logique, une peuple oppresseur et tyrannique. Ce fut, évidemment, le peuple juif qui, par un singulier retournement des choses, d’agressé se métamorphosa en agresseur..

ha bon ?

c'est Israël qui a déclaré la guerre aux pays arabes en 1948 ?

je ne savais pas

La récriture de l'hisoire est une spécialité des propals .. a croire que comme avec les Palywoods ils ne peuvent pas s'empêcher de mentir ..et une fois démasqués de réitérer leurs conneries ..

il fallait, en toute logique, une peuple oppresseur et tyrannique. Ce fut, évidemment, le peuple juif qui, par un singulier retournement des choses, d’agressé se métamorphosa en agresseur..

ha bon ?

c'est Israël qui a déclaré la guerre aux pays arabes en 1948 ?

je ne savais pas

La récriture de l'hisoire est une spécialité des propals .. a croire que comme avec les Palywoods ils ne peuvent pas s'empêcher de mentir ..et une fois démasqués de réitérer leurs conneries ..

Petit jeu, qui a dit cela en parlant d'israël ? :

"Ne nous cachons pas la vérité…. Politiquement nous sommes les agresseurs et ils se défendent. Ce pays est le leur, parce qu’ils y habitent, alors que nous venons nous y installer et de leur point de vue nous voulons les chasser de leur propre pays."

Un menteur sans doute ....

il fallait, en toute logique, une peuple oppresseur et tyrannique. Ce fut, évidemment, le peuple juif qui, par un singulier retournement des choses, d’agressé se métamorphosa en agresseur..

ha bon ?

c'est Israël qui a déclaré la guerre aux pays arabes en 1948 ?

je ne savais pas

Il faut se rappeler du massacre de Deir Yassin qui a eu lieu le 9 avril 1948 durant la guerre de Palestine. Il a été perpétré par 120 combattants de l'Irgoun et du Lehi. *** propos antisémites *** Nim'z

Loin de Palestine, la bosse française: le CRIF et le pied qu'il a sur les cous des français...

Beaucoup de monde a besoin d'une indépendance pas seulement les palestiniens.

le CRIF et le pied qu'il a sur les cous des français...

z'êtes marrant dans votre genre ... la France est antisémite, seules quelques unes de nos élites ne le sont pas

Alors votre crif et le "pied qu'il a sur les cous" tombe largement à côté de sa cible, ça aurait même tendance à nourrir l'antisémitisme

le CRIF et le pied qu'il a sur les cous des français...

z'êtes marrant dans votre genre ... la France est antisémite, seules quelques unes de nos élites ne le sont pas

Alors votre crif et le "pied qu'il a sur les cous" tombe largement à côté de sa cible, ça aurait même tendance à nourrir l'antisémitisme

La France est antisémite ... ah carrément ... tu exagères pas un peu là ?

A partir de quand est on antisémite selon toi ?

on appelle ça "l'opinion"

Ah bon ? l'opinion générale en France est antismémite ... ? des exemples ... des exemples ...

La presse et ceux qui la lisent

ah la presse et antisémite ? je m'en suis pas aperçu, surement parce que je dois être antisémite alors ...

bin oui puisque je lis la presse, suis je bète ....

Elle lit trop UPN, ça la perturbe.

suis je bète ....

mais non, mais non ...

http://www.ina.fr/economie-et-societe/e ... ce.fr.html

http://www.france24.com/fr/20120605-ant ... am-racisme