ptin...
il n'est pas question de changer l'histoire, il est question de ne pas lui faire dire n'importe quoi.
prenons un exemple : entre ça : Envirun lui plus de vint milie humes.
Il en apelet e ses dux e ses cuntes:"
et ça "Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis"
A quoi faites-vous appel pour établir une datation ?
justement, c'est parce que l'hébreu reste consacré au sacré (précisément) qu'il est logique pour l'auteur, d'avoir consigné par écrit dans cette langue quelque chose qui était sacré à ses yeux.
Si on part sur le terrain de la logique faudrait se demander pourquoi on rédigerait en hébreux des textes destinés à être lu par des hellénophones? On est pas dans la logique égyptienne ou cabaliste du texte destinés à une élite religieuse, il s'agit ici de propager la "bonne parole".
Le problème quand on reste le nez collé sur la grammaire du texte c'est qu'on à de grandes chances de rater tout le contexte historique. On peut étudier un texte et faire preuve de bon sens.
rien n'interdit de faire un premier jet à chaud dans sa langue maternelle, celle qu'on maîtrise le mieux, et d'internationaliser la chose ensuite, à tête reposée. Ce qui est le plus logique en fait
le problème n'est pas de rester le pif sur la grammaire, c'est de l'ignorer complètement.