Je vous propose de placer ici les citations célèbres que vous préférez.

"La France n’est pas une nation comme les autres. C’est la seule dont Dieu ait besoin, a dit de Maistre, qui fut quelquefois prophète. Il y aura toujours en elle, qui qu’on fasse, un principe de vie souveraine que rien ne saurait détruire." Léon Bloy, Journal, 15 août 1894.

A vous ! ;)

heu ... "Que les femmes sont extrêmes ! Elles sont pires ou meilleures que les hommes "! La Bruyère

"Il ne faut pas montrer du doigt ! Dieu est partout il pourrait se le prendre dans le cul..."

Ahahah je l'adore.

Je vous propose de placer ici les citations célèbres que vous préférez.

"La France n’est pas une nation comme les autres. C’est la seule dont Dieu ait besoin, a dit de Maistre, qui fut quelquefois prophète. Il y aura toujours en elle, qui qu’on fasse, un principe de vie souveraine que rien ne saurait détruire." Léon Bloy, Journal, 15 août 1894.

A vous ! ;)

Léon Bloy est une source intarissable de citations.

Dans Le Désespéré :

***

Il est vrai que les funérailles de Gambetta furent, elles-mêmes, une bien piètre solennité en comparaison de l’apothéose de Victor Hugo, que Marchenoir était appelé à contempler, deux ans plus tard.

Cette fois, ce ne fut plus seulement Paris, ni même la France, ce fut le globe entier, semble-t-il, qui se rua sur la piste suprême du Cosmopolite décédé. Il eût été si facile, pourtant, et si simple, de faire la levée de ce cadavre à coups de soulier, de le lier par les pieds avec des câbles de trois kilomètres et d’y atteler dix mille hommes, qui l’eussent traîné dans Paris, en chantant la Marseillaise ou Derrière l’Omnibus, jusqu’à ce que chaque pavé, chaque saillie de trottoir, chaque balustre d’urinoir public, eût hérité de son lambeau, pour le régal des cochons errants

***

***

A ses yeux, le mot Hasard était un intolérable blasphème qu'il s'étonnait toujours, malgré l'expérience de son mépris, de rencontrer dans des bouches soi-disant chrétiennes. - Rien n'arrive sans Son ordre ou Sa permission, disait-il aux blasphémateurs ; il vous a créés, votre Hasard, et il s'est incarné pour vous racheter de son sang ! Est-ce bien là votre pensée ? Alors moi, catholique, je lui crache à la figure, à ce rival de mon Christ, qui n'a pas même l'honneur d'exister, comme une idole, dans un simulacre où, du moins, s'attesterait l'industrie d'un entrepreneur de divinités. Il était évident pour lui qu'on ne pouvait pas être catholique, ni même se

flatter d'une infinitésimale pincée de sentiment religieux, si on ne donnait pas absolument tout à la Providence, et, dès lors l'idée d'un plan infaillible sautait à l'esprit. A cette hauteur, peu lui importaient les chicanes philosophiques, ou même théologiques, qu'on pouvait lui décocher au sujet du Libre Arbitre, laissé sans ressources, par cette invasion d'absolu, dans le pâturage desséché du conditionnel.

***

C’est que la Justice et la Miséricorde sont identiques et consubstantielles dans leur absolu. Voilà ce que ne veulent entendre ni les sentimentaux ni les fanatiques. Une doctrine qui propose l’Amour de Dieu pour fin suprême, a surtout besoin d’être virile, sous peine de sanctionner toutes les illusions de l’amour-propre ou de l’amour charnel. Il est trop facile d’émasculer les âmes en ne leur enseignant que le précepte de chérir ses frères, au mépris de tous les autres préceptes qu’on leur cacherait. On obtient, de la sorte, une religion mollasse et poisseuse, plus redoutable par ses effets que le nihilisme même.

Or, l’Évangile a des menaces et des conclusions terribles. Jésus, en vingt endroits, lance l’anathème, non sur des choses, mais sur des hommes qu’il désigne avec une effrayante précision. Il n’en donne pas moins sa vie pour tous, mais après nous avoir laissé la consigne de parler « sur les toits », comme il a parlé lui-même. C’est l’unique modèle et les chrétiens n’ont pas mieux à faire que de pratiquer ses exemples. Que penseriez-vous de la charité d’un homme qui laisserait empoisonner ses frères, de peur de ruiner, en les avertissant, la considération de l’empoisonneur ? Moi, je dis qu’à ce point de vue, la charité consiste à vociférer et que le véritable amour doit être implacable. Mais cela suppose une virilité, si défunte aujourd’hui, qu’on ne peut même plus prononcer son nom sans attenter à la pudeur !…

***

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"Il ne faut pas montrer du doigt ! Dieu est partout il pourrait se le prendre dans le cul..."

Ahahah je l'adore.

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Je vous propose de placer ici les citations célèbres que vous préférez.

"La France n’est pas une nation comme les autres. C’est la seule dont Dieu ait besoin, a dit de Maistre, qui fut quelquefois prophète. Il y aura toujours en elle, qui qu’on fasse, un principe de vie souveraine que rien ne saurait détruire." Léon Bloy, Journal, 15 août 1894.

A vous ! ;)

Léon Bloy est une source intarissable de citations.

Dans Le Désespéré :

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Il est vrai que les funérailles de Gambetta furent, elles-mêmes, une bien piètre solennité en comparaison de l’apothéose de Victor Hugo, que Marchenoir était appelé à contempler, deux ans plus tard.

Cette fois, ce ne fut plus seulement Paris, ni même la France, ce fut le globe entier, semble-t-il, qui se rua sur la piste suprême du Cosmopolite décédé. Il eût été si facile, pourtant, et si simple, de faire la levée de ce cadavre à coups de soulier, de le lier par les pieds avec des câbles de trois kilomètres et d’y atteler dix mille hommes, qui l’eussent traîné dans Paris, en chantant la Marseillaise ou Derrière l’Omnibus, jusqu’à ce que chaque pavé, chaque saillie de trottoir, chaque balustre d’urinoir public, eût hérité de son lambeau, pour le régal des cochons errants

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A ses yeux, le mot Hasard était un intolérable blasphème qu'il s'étonnait toujours, malgré l'expérience de son mépris, de rencontrer dans des bouches soi-disant chrétiennes. - Rien n'arrive sans Son ordre ou Sa permission, disait-il aux blasphémateurs ; il vous a créés, votre Hasard, et il s'est incarné pour vous racheter de son sang ! Est-ce bien là votre pensée ? Alors moi, catholique, je lui crache à la figure, à ce rival de mon Christ, qui n'a pas même l'honneur d'exister, comme une idole, dans un simulacre où, du moins, s'attesterait l'industrie d'un entrepreneur de divinités. Il était évident pour lui qu'on ne pouvait pas être catholique, ni même se

flatter d'une infinitésimale pincée de sentiment religieux, si on ne donnait pas absolument tout à la Providence, et, dès lors l'idée d'un plan infaillible sautait à l'esprit. A cette hauteur, peu lui importaient les chicanes philosophiques, ou même théologiques, qu'on pouvait lui décocher au sujet du Libre Arbitre, laissé sans ressources, par cette invasion d'absolu, dans le pâturage desséché du conditionnel.

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C’est que la Justice et la Miséricorde sont identiques et consubstantielles dans leur absolu. Voilà ce que ne veulent entendre ni les sentimentaux ni les fanatiques. Une doctrine qui propose l’Amour de Dieu pour fin suprême, a surtout besoin d’être virile, sous peine de sanctionner toutes les illusions de l’amour-propre ou de l’amour charnel. Il est trop facile d’émasculer les âmes en ne leur enseignant que le précepte de chérir ses frères, au mépris de tous les autres préceptes qu’on leur cacherait. On obtient, de la sorte, une religion mollasse et poisseuse, plus redoutable par ses effets que le nihilisme même.

Or, l’Évangile a des menaces et des conclusions terribles. Jésus, en vingt endroits, lance l’anathème, non sur des choses, mais sur des hommes qu’il désigne avec une effrayante précision. Il n’en donne pas moins sa vie pour tous, mais après nous avoir laissé la consigne de parler « sur les toits », comme il a parlé lui-même. C’est l’unique modèle et les chrétiens n’ont pas mieux à faire que de pratiquer ses exemples. Que penseriez-vous de la charité d’un homme qui laisserait empoisonner ses frères, de peur de ruiner, en les avertissant, la considération de l’empoisonneur ? Moi, je dis qu’à ce point de vue, la charité consiste à vociférer et que le véritable amour doit être implacable. Mais cela suppose une virilité, si défunte aujourd’hui, qu’on ne peut même plus prononcer son nom sans attenter à la pudeur !…

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« L’intelligence est la capacité de résoudre des problèmes nouveaux. »

Edouard Claparède

« Le propre de la médiocrité est de se croire supérieur. »

François de La Rochefoucauld

« Quand le dernier arbre sera abattu, quand la dernière rivière sera polluée, quand le dernier

animal sera tué, alors vous saurez que l’argent ne se mange pas »

Proverbe apache

ne pas reconnaitre son talent c'est favorisé la réussite des médiocres

Ce que je pense...

Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms.

Pierre Doris

"un peu c'est bon, beaucoup c'est poison"

Victoire Périgot

"heureux comme dieu en france"

5 jours plus tard

proverbe japonais

Alexandre Pope

La Rochefoucauld

oh et puis une autre pour se marrer =>

de Schopenhauer

de Schopenhauer

• Si vous voulez que l’on garde votre secret, le plus sur est de le garder vous même.(Sénèque)

• Celui qui a rendu un service doit se taire, c’est a celui qui l’a reçu de parler.( Sénèque)

• Pour faire taire autrui, commence par te taire.( Sénèque)

celle la est mignone

• Les champignons poussent dans des endroits humides. C’est pourquoi ils ont la forme d’un parapluie.(alphonse Allais)

Ma signature.

Plus j'avance dans la vie et plus je la trouve vraie.

Ma signature.

Plus j'avance dans la vie et plus je la trouve vraie.

c'est vrai. Un peu déprimant mais on s'en contentera

Avec de la détermination, suivons la mienne : on aura au moins une raison de vivre ;)

bon j'en rajoute une vu que je suis monarchiste : =>

Je m'inculpe de tous les crimes que vous me faîtes porter. Et je pris Dieu que le sang que vous allez verser, n'atteigne jamais la France (derniers mots de Louis XVI)

Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays. (John Fitzgerald Kennedy - 20 Janvier 1961)

Si on paie ceux qui ne travaillent pas, et si on impose ceux qui travaillent, il ne faut pas s'étonner si le chômage augmente. (Milton Friedman)

Le Titanic a été construit par des professionnels, l'arche de Noe par des amateurs

L'imagination gouverne le monde

Napoléon Bonaparte

La plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute.

Il est dans la nature humaine de penser sagement et d'agir d'une façon absurde. Anatole France

On peut obtenir beaucoup plus avec un mot gentil et un revolver, qu'avec un mot gentil tout seul" Al Capone.

Le joueur d'échecs, comme le peintre ou le photographe, est brillant... ou mat. »

Vladimir Nabokov

• L’absence diminue les médiocres passions et augmente les grandes, comme le vent éteint les bougies et allume l feu. ( François de la Roche Foucauld.

A ce dont l'esprit se contente, on mesure l'étendue de sa perte de Hegel