Nous en parlions il y très peu, sur le sujet "Luxembourg-New-York en moins d'une heure"...

http://www.youtube.com/watch?v=NfPv11w3XVo&feature=related

Trop fort! :

Dans le même genre!

Et beaucoup d'autres exemples du même genre sur ce très amusant lien

pas si bête que ça la turbine, avec quelques aménagement en ce qui concerne le dispositif et un système de style attraction répulsion.

faudrait plancher.

Vous rigolez là ?

Petit rappel, une force s'exerce dans les deux sens. L'aimant n'attire pas le métal mais les deux objets considérés s'attirent mutuellement avec la même intensité. Impossible...

Pas de souci, ça a déjà été fait, je crois dans des gadgets. Sauf que, pour que le rotor tourne il faut que le champ magnétique soit alternatif (principe de base de n'importe quel moteur électrique). Il faut donc créer un champ magnétique alternatif à l'aide.. d'électricité qui consomme donc de l'énergie.

et si on faisait tourner un rotor dans un champ magnétique ?

plus de frottements

non, il faudrait que ce mouvement alternatif se fasse au niveau atomique en jouant sur le spin des électrons.

ça ferait penser à une sorte de système d'allumage comme pour les moteurs à explosion.

je sais pas si je me fais bien comprendre

bref, on entre dans le domaine du nano technologique.

pensait on vraiment envoyer une sonde sur Mars il y a 500 ans ?

On pensait que la Terre était plate et que l'homme avait été crée par dieu...

Maintenant il y a des lois de la physique qui sont-elles qu'elles semblent difficilement contournable... Comme voayger plus vite que la lumière ou produire plus d'énergie durablement que ce qu'on en consomme!

Il faut savoir que tout source d’énergie qu'on "produit" aujourd'hui, on ne la produit pas on ne fait que casser des liaisons chimiques pour récupérer l'énergie qu'elle contiennent et pouvoir s'en servir. Quand on brule du pétrole on dégage plus d'énergie que ce qu'il a nécessité pour l'extraire... Est-ce donc un mouvement perpétuel selon vous? As-t-on créé de l'énergie à partir de rien?

Faite l'analogie avec la fusion... sauf que pour cette dernière l'énergie d' "extraction" (en gros le confinement) de mon exemple du dessus est plus importante que ce qui est relâché.

bref, "perpétuel " fait penser à infiniment.

sans aller jusque là, la Terre tourne depuis tellement longtemps qu'on peut dire qu'à l'échelle de notre civilisation, le mouvement est perpétuel, et que cela nous suffirait amplement de découvrir comment en faire autant.

pas vrai ?

Ben oui dès lors qu'on ne parle pas de mouvement perpétuel mais de mouvement qui perd très peu d'énergie et qui peut donc durer plus longtemps...

non, il faudrait que ce mouvement alternatif se fasse au niveau atomique en jouant sur le spin des électrons.

ça ferait penser à une sorte de système d'allumage comme pour les moteurs à explosion.

je sais pas si je me fais bien comprendre

bref, on entre dans le domaine du nano technologique.

Un système ne peut pas relâcher plus d'énergie que ce qu'il consomme sans se transformer et/ou sans perdre de la matière (et donc de l'énergie selon E=mc²).

Autrement dit il n'y a rien de perpétuel car à un moment on arrive à de la matière totalement transformée ou de la matière totalement disparue...

Qu'on soit à l'échelle nano ou l'échelle des galaxies ça va rien changer à ce niveau.

Par contre on peut effectivement faire des systèmes aux rendements améliorés (qui perdent moins d'énergie d'une transformation à l'autre).

Il y a une expérience (virtuelle) divertissante concernant la vitesse de la lumière, et le dépassement de celle-ci.

La théorie de la relativité d’Einstein est formelle : rien dans l’Univers ne peut se propager plus vite que la lumière, dont la vitesse dans le vide est de 300 000 kilomètres par seconde. Pour autant, imaginons un sémaphore projetant une ombre mouvante à l’aide d’un cache et tournant à raison d’un tour par seconde. Et plaçons un écran circulaire autour du sémaphore afin d’observer le mouvement de cette ombre. Si l’écran se trouve à 10 mètres du phare, sa circonférence sera d’environ 60 mètres.

Distance que la tache parcourra en une seconde, soit à la vitesse de 60 mètres par seconde. Mais imaginons maintenant que l’écran se trouve à 100 000 kilomètres de la source lumineuse. Sa circonférence est alors de 600 000 kilomètres. Le sémaphore tournant toujours à la même vitesse, cela signifie que l’ombre se meut sur l’écran à la vitesse de 600 000 kilomètres par seconde…soit 2 fois la vitesse de la lumière!

Il y a donc deux solutions. Soit ce raisonnement ne tient pas, soit la relativité est prise en défaut. Or le résultat de « l’expérience » de l’ombre projetée par le sémaphore est incontestable!

La grand Albert doit-il alors manger son chapeau? Pas le moins du monde. Tout simplement parce que le principe fondamental de la relativité précise qu’il s’applique à des corps matériels, ou à tout système transportant une information. A n’en pas douter, l’ombre portée par le sémaphore n’a rien de matériel. Mais ne pourrait-on pas s’en servir pour transmettre une information, plus vite que la lumière entre deux observateurs A et B situés en 2 points de l’écran.

De fait, on peut très bien insérer dans le sémaphore un cache en forme de message (le chiffre 3 par exemple). Le message « 3 » passera alors de A à B plus vite que la lumière. Mais cette information est envoyée par un opérateur C qui positionne le cache. Or C, pour communiquer avec A et B, est tributaire de la vitesse finie de propagation de la lumière entre le phare et l’écran. Pour le dire autrement, si A voulait transmettre une information à B, via l’ombre portée par le sémaphore, il devrait d’abord en informer C, qui insérerait alors devant la source lumineuse le cache ad hoc. Et aucune information ne serait transmise plus vite que la lumière. Einstein avait raison, aucune matière ni information ne voyage plus vite que la lumière. Ce qui n’interdit pas à l’ombre, qui n’est finalement rien, d’aller aussi vite qu’elle le souhaite.

http://sitedugenie.com/culture/articles ... .php?id=26

ET bien si, les nutrinos vont plus vite que la lumière, donc bebert s'est planté.

Il y a une expérience (virtuelle) divertissante concernant la vitesse de la lumière, et le dépassement de celle-ci.

La théorie de la relativité d’Einstein est formelle : rien dans l’Univers ne peut se propager plus vite que la lumière, dont la vitesse dans le vide est de 300 000 kilomètres par seconde. Pour autant, imaginons un sémaphore projetant une ombre mouvante à l’aide d’un cache et tournant à raison d’un tour par seconde. Et plaçons un écran circulaire autour du sémaphore afin d’observer le mouvement de cette ombre. Si l’écran se trouve à 10 mètres du phare, sa circonférence sera d’environ 60 mètres.

Distance que la tache parcourra en une seconde, soit à la vitesse de 60 mètres par seconde. Mais imaginons maintenant que l’écran se trouve à 100 000 kilomètres de la source lumineuse. Sa circonférence est alors de 600 000 kilomètres. Le sémaphore tournant toujours à la même vitesse, cela signifie que l’ombre se meut sur l’écran à la vitesse de 600 000 kilomètres par seconde…soit 2 fois la vitesse de la lumière!

Il y a donc deux solutions. Soit ce raisonnement ne tient pas, soit la relativité est prise en défaut. Or le résultat de « l’expérience » de l’ombre projetée par le sémaphore est incontestable!

La grand Albert doit-il alors manger son chapeau? Pas le moins du monde. Tout simplement parce que le principe fondamental de la relativité précise qu’il s’applique à des corps matériels, ou à tout système transportant une information. A n’en pas douter, l’ombre portée par le sémaphore n’a rien de matériel. Mais ne pourrait-on pas s’en servir pour transmettre une information, plus vite que la lumière entre deux observateurs A et B situés en 2 points de l’écran.

De fait, on peut très bien insérer dans le sémaphore un cache en forme de message (le chiffre 3 par exemple). Le message « 3 » passera alors de A à B plus vite que la lumière. Mais cette information est envoyée par un opérateur C qui positionne le cache. Or C, pour communiquer avec A et B, est tributaire de la vitesse finie de propagation de la lumière entre le phare et l’écran. Pour le dire autrement, si A voulait transmettre une information à B, via l’ombre portée par le sémaphore, il devrait d’abord en informer C, qui insérerait alors devant la source lumineuse le cache ad hoc. Et aucune information ne serait transmise plus vite que la lumière. Einstein avait raison, aucune matière ni information ne voyage plus vite que la lumière. Ce qui n’interdit pas à l’ombre, qui n’est finalement rien, d’aller aussi vite qu’elle le souhaite.

Tu remarqueras qu'il y a un énorme problème dans ton raisonnement. Avant de pouvoir transmettre l'information à l'aide d'un cache (on peut par exemple imaginer des ET nous faisant du morse en cachant la lumière de leur étoile en instantané), il faut que la lumière qui définit le pourtour de l'ombre nous parvienne... à 300 000 km/s donc. Autrement dit le signale morse que tu percevra "en directe" pour toi du point de vue de ton propre référentiel, il se sera déroulé quelques années plus tôt.

Autrement dit ce que tu vois c'est dans ton raisonnement c'est le temps que tu mets pour lire le message et tu l'assimiles au temps totale d'écriture, transport et lecture du message à l'arrivée... ;)

Quand on voit une supernovæ qui explose à 1000 année lumières on la voit 1000 après qu'elle n'ait eu lieu et quelque soit les couleurs, formes, jeux d'ombre et vitesse de changement de ces derniers (et qu'on observe en directe de notre point de vue) qui la caractérisaient alors.

Qu'est ce qui définit une ombre? C'est la lumière (les photons) qui en font le pourtour. Comment faire voyager une information plus vite que ce qui la définit :?:

ET bien si, les nutrinos vont plus vite que la lumière, donc bebert s'est planté.

C'est pas encore définitivement prouvé d'après ce que je sais!

Le CERN a confirmé en 2011, deux expérience, avec des données différentes ont confirmées cette état de fait.

j'ai vu que non.

y avait erreur.

Tu remarqueras qu'il y a un énorme problème dans ton raisonnement. propre référentiel

notre point de vue

Tout dépend du référentiel, en effet.

Mais l'expérience est, je le rappelle, virtuelle et amusante.

Assez pour que Stephen Hawking y fasse allusion dans cet ouvrage.

j'ai vu que non.

y avait erreur.

Selon une revue américaine, la même qui prédisait que l’accélérateur de particule du CERN créerait un trou noir qui engloutirait la terre.

j'ai vu que non.

y avait erreur.

Selon une revue américaine, la même qui prédisait que l’accélérateur de particule du CERN créerait un trou noir qui engloutirait la terre.

Ce n'est pas encore complètement prouvé tout même :) cela reste à suivre ... mais vite ;)

"Il ne s'agit pas à proprement parler d'un branchement défectueux. Les chercheurs ont constaté que certains effets d'induction électrique peuvent modifier la mesure temporelle. Le tout est de vérifier si ces phénomènes ont bien lieu dans l'expérience", précise Stavros Katsanevas, directeur adjoint de l'In2p3 au CNRS.

Le texte envoyé au CERN précise qu'il sera fait état des nouveaux résultats sur ces vérifications aussi vite que possible. "Dès lors que les expériences peuvent reprendre, en quelques jours, les physiciens auront la réponse définitive sur les effets liés à ces branchements et à l'horloge de synchronisation", indique Stavros Katsanevas.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html

4 jours plus tard
10 jours plus tard

Je ne suis pas sûr qu'il s'agisse plus d'une erreur dans l'expérience que tout simplement d'un bel exemple d'application du principe d'incertitude d'Heisenberg, qui dit en gros que plus on cherche à faire une mesure précise et plus on perturbe le phénomène à mesurer lui-même, en faussant donc, la mesure. On peut aussi considérer que, dans ce cas, la mesure est exacte, mais qu'on n'a pas exactement mesuré ce que l'on voulait, ou croyait, mesurer, puisque l'action de mesurer modifie le système.

"Il ne s'agit pas à proprement parler d'un branchement défectueux. Les chercheurs ont constaté que certains effets d'induction électrique peuvent modifier la mesure temporelle. Le tout est de vérifier si ces phénomènes ont bien lieu dans l'expérience", précise Stavros Katsanevas, directeur adjoint de l'In2p3 au CNRS.

Le texte envoyé au CERN précise qu'il sera fait état des nouveaux résultats sur ces vérifications aussi vite que possible. "Dès lors que les expériences peuvent reprendre, en quelques jours, les physiciens auront la réponse définitive sur les effets liés à ces branchements et à l'horloge de synchronisation", indique Stavros Katsanevas.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html