La CAQ peut représenter un bon choix et je soutenais l'ADQ avant, à l'exception de la dernière élection.
Cependant ce qui m'importe c'est de battre Marois et je pense que les gens vont se rallier plus au parti Libéral dans mon coin entk qu'à la CAQ qui est un nouveau parti assez mal connu. En plus comme je le dis plus haut, je n'ai aucune confiance au gros médecin m.Barette qui vient de se rallier à CAQ et qui a dû négocier quelque chose encore en plus pour les médecins.
Il y a un écrivain et observateur de la vie politique du devoir qui a déjà prétendu (en 2002) cependant que les médecins français seraient heureux de venir au Québec si le chemin n'était pas rendu si difficile par la corporation des médecins du Québec et d'y gagner 2 ou 3 fois plus qu'en France. En tant que ministre de l'époque M. Legault ne pouvait ignorer ces choses et a dû négocier avec l'immonde Barrette qui se fout allégrement de la santé des gens mais en veut toujours plus pour ses poches à lui.
Je mets le bout d'article ou GIl Courtemanche parle de ça :
Le ministre Legault, jeudi, s’est opposé à la propagande des médecins spécialistes. J’aurais aimé qu’il le fasse plus vigoureusement et qu’il dénonce cette démagogie de bas étage, digne des politiciens les plus abjects. Il aurait pu en profiter pour rappeler à ces gens que comparativement à tous leurs confrères de l’Occident (à l’exception des États-Unis, où la médecine est devenue un vulgaire commerce), les spécialistes jouissent ici d’un statut et de revenus infiniment supérieurs et privilégiés. Il aurait pu leur rappeler qu’au bout du compte, ils sont des salariés du gouvernement et non des entrepreneurs privés, et que s’ils veulent prendre le risque du privé, ils n’ont qu’à le faire en sortant du régime. Il aurait pu enfin leur dire que des centaines de médecins spécialistes européens, tout aussi compétents qu’eux, seraient plus qu’heureux de venir s’installer au Québec pour doubler ou tripler leur revenu. Il n’a pas osé le faire ; je le fais donc à sa place, convaincu que, dans son for intérieur, il n’est pas loin de penser comme moi.