d'un côté, le marasme des ventes automobiles, et le choix politique de Peugeot de ne plus vendre de voitures aux Iraniens (450.000 par an)
de l'autre, les actionnaires qui demandent leur ration annuelle de dividendes....= baisse des salires, délocalisations, licenciements.
à se demander même si le choix politique vis à vis de l'Iran n'est pas, au fond, un choix stratégique du groupe.
L'Allemagne,elle, a fait le choix du créneau très porteur du luxe et son industrie Auto se porte bien.
Ghosn, lui a choisi de faire mieux que les indien avec la Tata mobile. Erreur coûteuse.