L'AAH est basé sur une échelle totalement inique qui ne tient pas véritablement compte du degré de dépendance et du revenu familial. On va donner l'AAH à un "dépressif" ou un "paralysé" qui ne font rien de leurs dix doigts qui pourraient parfaitement travailler et qui vivent chez leurs parents, plein de flouze et on va le refuser à une personne épileptique pharmacorésistante sous prétexte que ce n'est pas enregistré (pas dans les cases). Il faudrait y faire un sérieux nettoyage.
En même temps, toutes les aides (financières ou pas) sont soumises à ce dossier effectivement bidon.
Rien que la subjectivité des difficultés ressentis :
là où certaines catégories de populations se trouvent dans une difficultés extrême avec un ongle cassé, et d'autres presque paralysés comme moyenne.
On passera sur les cartes europpéennes de stationnement, qui ne permettent pas un contrôle aisé de leur utilisation (et hop la carte de papy pour faire les courses), et qui de toute façon sont donnés à des gus sans difficultés de mobilité.
Les cartes de prio et d'invalidité seraient à revoir aussi, afin que soient explicité de façon plus clair la priorité accordé, à savoir :
Si logo handicapé dans file d'attente, priorité à de telle queues.
Sinon, priorité à places assises.
Le fonctionnement des MDPH en lui-même serait aussi à revoir, enfin ...
/Sinon, nous sommes daccord que les CCAS ne sont que des relais de (entre autres) la MDPH.