Rien que lasser Paris tomber sans combattre signifier bien que personne n'était prêt à se battre.
mais il y a eu des combats pour arreter les panzers.
notament un certains colonel de gaulle le 15 mai sur laon avec le 4éme DCR.mais seul et sans soutient il du abandoné les position chere acquise.
et le 28 mai,nommé géneral à titre provisoire,toujours ce de gaulle fait une contre attaque avec quelques blindés du coté d'abbeville.éclatante victoire sur les fameux "panzer".
mais en juin 40 ,il n'y avait qu'un seul De gaulle...alors que Manstein avait plusieurs guderian
La contre attaque au Nord était une fenêtre que même le vieux Weygand avait vu dès qu'il fut aux commandes - trop tard, hélas! -. En pleine débâcle, malgré sa volonté - on ne pourra pas lui reprocher il n'y avait plus les moyens.
Complexe moment d'Histoire dans tous les cas qu'il faut traiter avec finesse et sans instrumentalisation, c'est beaucoup trop facile, des dizaines d'années après, une fois que la messe est dîtes et avec un choix d'informations plus net que les décideurs de l'époque n'en possédait.
Par ailleurs, s'il avait fallut prendre patés de maisons par patés de maison une ville comme Paris convenablement défendu, les armées allemandes auraient eu bien du mal. La ville aurait peut être été rasé, peut être serait-elle tombé, mais, enfin, celà aurait signifié quelque chose, une sorte de passage du Rubicon pour les autorités française, à savoir le début d'une lutte à mort, alors que, en ne défendant pas Paris ce fut la grande ouverture de toutes les villes de France, dont chaque maire, chaque député s'empressait de vouloir faire une "ville ouverte"... Celà signifiait bien de toute manière un abandon quasi totale de la classe politique.