Dans une discussion on aime bien savoir à qui l'on parle, c'est normal.
En quoi cela est normal ? je n'en ressens pas le besoin, je juge une personne sur ce qu'elle pense, rien d'autre. Peux-tu m'expliquer ce qui importe à savoir à qui l'on parle (et le "à qui" se base sur quels critères?) ?
Personne ne te force à croire ...
si je parle de besoin, c'est parce que je pense que la croyance répond à un besoin psychologique, lié selon moi à l'angoisse du chaos. Et aussi la volonté de recréer le schéma paternel (ou maternel si l'on remonte aux premières croyances de l'humanité), qui régie un certain ordre dans le cadre familial, et ainsi donc le reproduire à l'échelle supérieure à la famille : la société, le monde, et l'univers.
Bonnes recherches ...
C'est justement cette impossible finition de cette quête qui pousse les gens à croire, histoire de ne pas trop se casser la tête. Ce qui est logique, on cherche le plus possible à se rassurer et à se poser des repères, et ne pas les mettre en question constamment. Pas de soucis, d'autres personnes s'occuperont de les remettre en question, c'est comme ça que nos sociétés évoluent.
Bon alors c'est tout ? et le reste alors ?
Et bien katou, que penses-tu de la réalité historique de l'utilisation des textes chrétiens par les royaumes européens (et quelques royaumes du Moyen-Orient comme l'Arménie ou le Liban) ?
ne vois pas un affrontement d'égo ou quoi que ce soit d'agressif, il serait juste intéressant d'entendre l'avis d'un chrétien pour ainsi en débattre en toute sérénité.
:) je ne cherche pas le conflit avec toi, mais le débat. Je veux partager plutôt que rejeter, créer quelque chose avec mon interlocuteur plutôt que détruire.