je réitère
c étrange comme dans tous les secteurs, exepté l'éduc nat l'adm en général, les collaborateurs sont jugés par leur directeur, patron, hiérarchie directe
alors mettons un vrai directeur avec de réels pouvoirs et imposons ce mode d'évaluation, ne serait ce que pour l'équité si ce n'est pour les élèves!
Et je réitère, pour le bien des élèves, il faut une évaluation par un expert pédagogique de la discipline, et le chef d'établissement n'a pas les compétences pour contrairement à un IPR.
arrete de croire qui ils sont expert ils sont payé pour modifier un ou deux mots par an dans le referentiel et passé un appel d'offre pour du matos que cest meme pas eux qui choisiront vu que c est le fonctionnaire qui tient la bourse qui prendra les produits les moins chers ou ceux qu industriel leur dirons de prendre et eventuellment donner le coefficient se surevaluationdes notes au bac
mais c est tout un ipr c est que dalle que dalle
Un IPR a d'abord été enseignant dans la matière dans laquelle il devient IPR. Et ça lui donne un net avantage sur le chef d'établissement qui a été enseignant d'une matière, mais qui aurait pu inspecter toutes les disciplines si la droite était restée au pouvoir. Ca fait une sacrée différence !
En revanche, je suis d'accord pour dire que le chef d'établissement est compétent pour évaluer notre assiduité/ponctualité/investissement, et c'est ce qui se fait déjà.