L'Eglise s'oppose au mariage de deux personnes de même sexe, cela est même fondamentalement impossible.
Mais l'union civile, le contrat civil lui n'est qu'une formalité et qui contracté seul ne vaut rien pour l'Eglise:
1/ Qu'importe donc pour l'Eglise que des homosexuels s'unissent dans un contrat qui en tant que tel ne vaut rien
2/ Qu'importe que deux personnes qui s'unissent par ce "contrat" civil ne respecte pas leur engagement puisqu'il n'est pas pris devant Dieu
Que penses l'Eglise de la rupture d'un contrat qu'elle considère sans valeur, nul et non avenu ? Je ne fais que vous le répéter: RIEN !!
Un homme et une femme qui vivent unis civilement qu'est ce que c'est pour l'Eglise ?
réponse: deux concubins
qu'ils soient ou non catholiques du reste.
Alors qu'est ce qu'un homme et un homme unis civilement, pour l'Eglise ?
réponse: deux concubins.
Ce qui est scandaleux (et habitude de péché) pour l'Eglise c'est:
l'union civile d'un homme et une femme: le concubinage
l'union civile d'un homme et d'un homme ou d'une femme et d'une femme: le concubinage mais surtout le péché contre nature.
Mais que deux pédés soit unis civilement ou non, concubins officiels ou non, l'ignominie reste l'homosexualité.
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Après je me gaufre peut être sur une chose:
la "hiérarchie" dans l'erreur:
- en bas les concubins
- puis les unis civilement, des concubins qui ont signe un torchon sans valeur pour l'Eglise en tant que cintracté seul
- puis les "mariés" d'une autre religion qui ne le sont pas catholiquement mais qui ont associés un sentiment religieux à cela
J'ai posé la question à un abbé breton j'attends la réponse.
en plus, c'est évident, parce que quand un catho épouse une non catho, qui est marié ? qui ne l'est pas ? juste le catho ?
pas le non-catho ? personne ?
évidemment que les deux le sont...
C'est différent car ces derniers contractent tout deux un mariage Catholique. L'Eglise par ailleurs ne bénit pas ces mariages qui sont célébrés dans la sacristie
Car nécessairement le non catho n'est pas en état de grâce (on peut quand même fortement le supposer)
Or cela est sacrilège de se marier sans l'Etat de grâce