Mon Dieu c'est l'émotion , la divulgation d'un lot aussi important de magouilles socialistes réunies ainsi est si inhabituel que j'en reste tout penaud
La socialistes trichent détournent l'argent du contribuable sont corrompus comme à droite ? tu ébranles mes convictions moi qui croyait que la gauche faiseuse de morale ne pouvait sombrer dans une telle déchéance
Me voilà rassuré , on est filou à gauche et Médiapart en parle !
Alors ça t'honorerait dans tes messages de ne pas uniquement traiter des affaires de l'UMP et de montrer qu'à l'instar du monsieur que tu arbores en avatar , la chose la mieux partagée en politique n'est certainement pas la vertu ;)
Guerrini n'est pas candidat a la présidentiel que je sache !!! Il réponds a la justice !!!
Tu viens toi en disant que Médiapart est de gauche, je te dis qu'il n'ont pas de camps. Tu pourrai au moins avoir la descence d'admettre que tu as eu tord de penser qu'ils sont orientés politiquement.
ils ont voté entre eux les journalistes de Médiapart ?
Ceux de Libération oui , je t'invite dans la partie Politique et Médias du forum à consulter le résultat
Au sujet de Médiapart j'ai consulté wikipédia
Le soutien qui fit le plus de bruit fut celui de Ségolène Royal, l’ancienne candidate à l’élection présidentielle de 2007, qui recommanda l’abonnement à tous les adhérents de son association Désirs d’avenir. Le directeur Edwy Plenel fut accusé de créer, sans l’avouer, un quotidien à son service. Ce fut l'objet de débats nombreux à l'intérieur et à l'extérieur de Mediapart. L’un des arguments les plus utilisés fut la collaboration entre Mediapart et l’agence Internet La Netscouade, créée par Benoît Thieulin qui fit partie de l’équipe de campagne de Ségolène Royal. Le débat a repris avec la phase préparatoire du Congrès de Reims du PS. En effet, de nombreux médias ont vu dans la prise de parole d'Edwy Plenel au cours d'un événement organisé par Ségolène Royal à la Maison de la Chimie le samedi 28 juin 2008 une affiliation du président de Médiapart à la ligne politique de la candidate socialiste. Edwy Plenel a répondu aux critiques ainsi : « Je serai là samedi pour intervenir sur la liberté de la presse, pas pour appeler à voter Ségolène Royal. Je réponds à toutes les invitations pour évoquer ce sujet. Et je répondrai positivement à toutes les autres têtes d'affiche du PS (et des autres partis), si elles me demandaient de venir parler d'indépendance des médias à leurs militants. ». Suite à cette affaire, le Club de Mediapart a longuement polémiqué dans un article signé « Serval » de manière très passionnée concernant le bien-fondé de la candidature « Royal » à l’élection présidentielle de 2007.
Et quand on lis sa dans son ensemble cela donne :
Mediapart a reçu pendant sa campagne d’abonnements initiale de nombreux soutiens qui se sont manifestés dans une série de vidéos publiées sur le pré-site (voir entre crochets les interviews de chacun de ces soutiens sur Dailymotion).
De nature diverse, beaucoup viennent de femmes et d’hommes politiques de l'opposition au parcours variés : Noël Mamère, de François Bayrou, Dominique de Villepin ou François Hollande à Arnaud Montebourg, Olivier Duhamel et Catherine Trautmann, de Malek Boutih et Khiari Bariza à Daniel Cohn-Bendit, José Bové et Olivier Besancenot.
Le soutien qui fit le plus de bruit fut celui de Ségolène Royal, l’ancienne candidate à l’élection présidentielle de 2007, qui recommanda l’abonnement à tous les adhérents de son association Désirs d’avenir. Le directeur Edwy Plenel fut accusé de créer, sans l’avouer, un quotidien à son service. Ce fut l'objet de débats nombreux à l'intérieur et à l'extérieur de Mediapart. L’un des arguments les plus utilisés fut la collaboration entre Mediapart et l’agence Internet La Netscouade, créée par Benoît Thieulin qui fit partie de l’équipe de campagne de Ségolène Royal. Le débat a repris avec la phase préparatoire du Congrès de Reims du PS. En effet, de nombreux médias ont vu dans la prise de parole d'Edwy Plenel au cours d'un événement organisé par Ségolène Royal à la Maison de la Chimie le samedi 28 juin 2008 une affiliation du président de Médiapart à la ligne politique de la candidate socialiste. Edwy Plenel a répondu aux critiques ainsi : « Je serai là samedi pour intervenir sur la liberté de la presse, pas pour appeler à voter Ségolène Royal. Je réponds à toutes les invitations pour évoquer ce sujet. Et je répondrai positivement à toutes les autres têtes d'affiche du PS (et des autres partis), si elles me demandaient de venir parler d'indépendance des médias à leurs militants. ». Suite à cette affaire, le Club de Mediapart a longuement polémiqué dans un article signé « Serval » de manière très passionnée concernant le bien-fondé de la candidature « Royal » à l’élection présidentielle de 2007. « Serval » a depuis résilié son abonnement, ne souhaitant pas, selon ses propres termes « être cantonné au rôle de caution « indépendante » vu qu'il existe, au sein du Club, une zone de non-droits d'expression dès que l'on porte un regard critique sur Ségolène Royal ».
De l'autre, E. Plenel écrit, le 11 juillet pour remercier ses soutiens face aux attaques en provenance de l'Elysée : "Loin d'être les otages d'un seul camp ou les relais d'un seul parti, Mediapart a su réunir, dans sa brève mais déjà riche histoire, autour d'initiatives ou de révélations, des personnalités fort différentes, aussi bien gaullistes que socialistes, écologistes que communistes, centristes que radicales.".
À côté des politiques, on relève des hommes de médias comme Michel Field, des syndicalistes comme Jean-Claude Mailly, le secrétaire général de la CGT-FO, ou Patrick Pelloux, président de l'Association des médecins urgentistes hospitaliers de France (AMUHF) ; mais aussi des avocats (Jean-Pierre Mignard, William Bourdon), des historiens (Jean-Pierre Azéma, Gérard Noiriel, André Burguière, Benjamin Stora, Patrick Weil), des chercheurs comme le spécialiste des sciences de l’éducation Philippe Meirieu ou le mathématicien Michel Broué, des femmes et hommes de lettres (Jorge Semprún, Stéphane Hessel, Marie Darrieussecq, Thomas Gunzig, Jean-Marc Roberts, Patrick Rotman, Emmanuel Tugny...), des artistes de cinéma (Cédric Klapisch) ou de la mode (Muriel Mesguich), des militants associatifs, des étudiants...
Un seul constat a faire ... La droite n'aime pas que l'on vienne mettre les pieds dans ces histoires.