Du temps de Mahomet, l'excision et la circoncision sont considérés comme des rites de purification(tahara)
Ainsi un mekkois ayant fait remarquer que Mahomet se présentait entouré d'esclaves soûdan(noirs) et de castrés(udjara), des va nu pieds
Abou Bbakr, le futur calife, prend l'homme à partie et lui conseille de retourner chez lui sucer le clitoris d'Al Lât, umsus adabta bi bazr.
Al Lât est décrite comme non excisée et donc impure
Dans cette société, l'excision parait avoir été considée de manière à contrôler les tendances libidineuses de la femme non excisée.
Le métier d'exciseuse, mubazzira, était considérée comme particulièrement honorable et Mahomet en connaissait en moins une
à qui il a conseillé, quand même, de ne pas trop couper.