Quand un peuple nie le messie, il le fait durablement pour ne pas passer pour un monstre aux yeux des autres croyants, c'est une évidence.
Une toute petite minorité juive a nié Jésus, puis c'est faite punir et furent chassé de leurs terres, ensuite des fables furent inventées par encore une petite partie des juifs qui ne voulurent pas accepter la réalité, prétextant une période plus tardive.
Le Messie est une reconnaissance flagrante de ce que l’on appelle dieu, par l’ensemble de l’humanité.
Quant à la malédiction d’un peuple, c’est des foutaises, le peuple juif était déjà sous le joug de Rome à l’instar d’autres peuples de la région, bien avant la naissance de Jésus.
Et bien avant, les Romains en Judée, il y eu d’autres sorties, en Egypte antique, Babylone…
L’idée de la résurrection de Jésus, qui devient par conséquent ‘’Christ’’, est faite, d’une part pour convaincre les adeptes réticents de l’époque, que le Messie est venue, d’ autre part, une fois à Rome- impossible de prôner autre chose qu’un Royaume qui n’est pas de ce monde, auquel cas, jamais le christianisme naissant, aurait pu devenir ‘’religio licita’’.
Les Romains qui ne supportaient pas la moindre association de pompier autonome n’aurait jamais permit, une secte d’exister au cœur de l’Empire.
Comme si les messies juifs étaient reconnus de l'humanité toute entière ... une définition d'un coté, et une autre de l'autre coté.
La résurrection est un principe actif physiologique, Jésus est l'exemple, le démonstratif.
Le royaume fut de se monde, puis il en parti laissant sur place les pires déviants, qui s'occupèrent a trafiquer les livres qui leur fut confiés.
Il reste des traces du royaume, des traces physiques, des traces dans les roches de se monde.
Encore une fois, tu nie la grandeur du christianisme comme l'on fait les juifs de l'époque, qui s'éparpillèrent eux même sur toute la terre pour accomplir leur vengeance contre Dieu, quand le chat n'est pas là, les souris dansent, mais la fête aura une fin, le retour de l'énergie visible sur terre et le début des mutations de la matière, le retour du royaume.