La RÉALITÉ dérange.
Autrefois dans le bassin parisien, il y avait DU TRAVAIL!
Des USINES, des centaines d'usines et pour faire fonctionner ces usines, il fallait des ouvriers.
Pour obtenir des ouvriers, on a construit tout autour de ces USINES des logements de plus en plus grands, de plus en plus denses.
Le temps passa... Pour des raisons que je n'ai pas à expliquer ici, TOUTES ces usines fermèrent une après l'autre, mais les logements restèrent.
Les gaulois, peu à peu s'en allèrent, soit devenus retraités soit écœurés de ne jamais rien trouver ou si loin... Cependant, la misère était si forte dans d'autres pays (ex colonies d'ailleurs ne sachant quoi faire de leur indépendance) car peu préparés a l'auto-gestion, prirent leur baluchon pour "monter à Paris".
Un peu comme ces insectes attirés par la lumière des reverbères virevoltant jusqu'à en crever d'épuisement.
ils rêvaient de réussir leur courte vie singeant l'européen en s'habillant comme lui à l'époque. Bien propres sur eux, souvent plus que les Gaulois d'ailleurs!
Ils sont là, ont fait des enfants puisque humains, mais pas d'usines, pas de travail, pas d'avenir, mais ils sont là!
Les vieux sont aigris , fatigués, désabusés, se sentant rejetés puisque pas intégrés par un TRAVAIL! iIs en sont reduit à regarder Al jezira, à écouter les chansons de leur enfance, rêvant d'espace et de soleil, enfermés entre 4 murs de béton asocial.
Leur descendance a réagit et de l'espérance déçue naquit la HAINE, une haine d'autant plus forte, qu'impossible de revenir en arrière, car en arrière, c'est PIRE.
Il suffit d'écouter leurs chansonnettes de rap dégoulinant de désespoir... Comment ne pas comprendre cet horrible destin?
Il ne s'agit ni de races ni de couleur mais de très grave erreurs d'avoir accepté ici l'inacceptable.
HONTE a ceux qui ont laissé faire sans rien savoir faire!
Il n'y a QU'UNE SEULE solution: Refaire des usines , PRODUIRE à l'aide de leurs bras, leur sueur, afin de les aimer, de les valoriser...
Qui saura faire cela? Certainement pas les tartuffes de service qui se palpent entre 15 et 30.000 euros par mois et ne connaissent RIEN de ce qu'est une USINE et son BUT.
Il n'est pas que de PRODUIRE mais aussi de valoriser, d'assimiler et d'aimer. ici nos syndicats se sont conduits comme des andouilles ne comprenant RIEN au monde qui nous dévore, restant campés dans des postures anti-patron du 19 ème siècle!
Leur seule utilité est d'assister, drapeaux rouge en tête, aux enterrements des dernières usines perdues par l'incompétence de nos politique dépassés par ce qui arrive.
Aussi, je pense que ce sera de PIRE en PIRE.
Y a plus de Twist a St Troppez
Que des retraités.