Je cite une fois Einstein dans un post :
Conclusion de supermachin : "Oméga voit en Einstein un visionnaire"
Voila, tout est dis...
Si je cite Coluche, je vois aussi en lui un visionnaire ? (Parce que dans ma signature, c'est du coluche...)
La spécialité de supermachin, c'est de faire dire aux autres ce qu'il n'ont jamais dit..
Mais c'est pas grave, on est habitué, c'est les méthodes des khmers rouge, on connait... des grands démocrates de gauche... (Ha, non, c'est vrai c'était aussi des capitalistes d'Etat... : : ).
Omega.... Arrête de déconner, on essai de parler sérieusement....
Je tiens à vous rassurez : non, le fait de citer coluche une fois ne signifie pas que, pour vous, Coluche était un visionnaire. Par contre quand vous dites :
Einstein avait raison : "L'univers et la connerie humaine ont ceci en commun : c'est qu'ils sont infini, mais pour l'univers, je n'en suis pas encore certain....". Vous être une preuve vivante que Albert était un visionnaire !
(social-monde-travail/smic-1700-immediatement-t99419-700.html)
Cela signifie que vous prenez Albert Einstein pour un visionnaire.
J'attend d'ailleurs encore que vous me montriez en quoi ce bon vieux Einstein était un "libéral"....
Bon, comme il semble que décidément vous faite partie des non-comprenants, je réexplique pour la n-ième fois...
"Vous être une preuve vivante que Albert était un visionnaire !" signifie que selon la citation qui précède ma phrase donc : "L'univers et la connerie humaine ont ceci en commun : c'est qu'ils sont infini, mais pour l'univers, je n'en suis pas encore certain....", citation de A. Einstein, pour cette phrase (et pas pour son oeuvre complète) il avait raison.
Vous y'en a compris ou vous y'en a encore croire que si moi y'en a citer une phrase de Staline - parce que lui y'en pas dire QUE des conneries - alors moi, pas forcement le prendre pour un visionnaire...
Ca y'en a assez clair pour vous, ou vous y'en a encore croire que si je cite :
"Un souci unique détermine immanquablement, soit l'établissement d'un programme nouveau, soit la modification du précédent : le souci du résultat des prochaines élections. Aussitôt que commence à poindre dans la cervelle de ces artistes de la politique parlementaire le soupçon que le bon peuple veut se révolter et s'échapper des harnais du vieux char des partis, voici qu'ils se mettent à en repeindre le timon. Alors surviennent les observateurs d'étoiles et astrologues des partis, les « gens expérimentés » et les « experts », le plus souvent de vieux parlementaires susceptibles de se remémorer des cas analogues du « temps riche en enseignements de leur apprentissage politique », des cas où la patience de la masse avait rompu les traits ; ils sentent à nouveau se rapprocher de son attelage une menace analogue. Alors ils ont recours aux vieilles recettes, ils constituent une « commission », écoutent partout dans le bon peuple, flairent les articles de presse et reniflent longtemps pour savoir ce qu'aimerait le cher grand public, ce qui lui déplaît et ce qu'il espère. On étudie avec le plus grand soin tout groupe professionnel, toute classe d'employés et on scrute leurs désirs les plus intimes. Alors aussi les «formules » de la dangereuse opposition deviennent d'un coup mûres pour un sérieux examen, et le plus souvent d'ailleurs cette parcelle du trésor de science des vieux partis se révèle tout à fait pitoyable, au grand étonnement de ceux qui l'ont découverte et propagée. Et les commissions se réunissent, procèdent à la révision de l'ancien programme (et ces messieurs changent de convictions tout à fait comme les soldats en campagne changent leurs chemises, quand la précédente est partie en morceaux)."
Moi, y'en a.... et puis, non, tient, je vous laisse chercher de qui est cette citation, c'est plus marrant...
(Avouez que le type qui a écrit cela n'a pas tord et qu'il a finement observer la classe politique en campagne).