oui.
vraiment tendancieux.
oui.
vraiment tendancieux.
oui.vraiment tendancieux.
Un peu court? En quoi ces rapports sont ils tendancieux? Ce sont des rapports scientifiques qui présentent des approches extrêmement variés et argumentés. Les synthèses résument d'ailleurs bien les multiples approches et tendances, contrairement à ce que vous prétendez! il ressort que la tendance au réchauffement d'origine anthropique est la tendance induite par le plus grand nombre de travaux....
Ne vous faites pas manipuler par des lobbies pas très recommandables qui poussent à dénigrer et détruire ce très bon travail de coopération scientifique qu'est le GIEC!
spitfire, vous ne devriez pas perdre ainsi votre temps à discuter avec une porte
Vous m'insultez, alors que vous ne savez pas ce qu'est la représentativité d'une moyenne et l'importance des écarts à la moyenne, et que vous ne comprenez pas non plus le fait qu'additionner le Sahel et le Groenland (les poules et les lapins) n'a aucune signification scientifique. En outre, ce ne sont pas les mesures de températures d'une année (2012) qui sont la preuve que le climat change, le temps qu'il fait tout au plus, donc de la météo ! Vous n'avez pas l'esprit scientifique, "Spitfire" non plus ! Vous ne faites que gober, sans aucun esprit critique. "Miska" a raison : c'est une nouvelle Cène (la naissance d'un dogme) !spitfire, vous ne devriez pas perdre ainsi votre temps à discuter avec une porte
Attendons les oliviers en Beauce, eux, auront raison !
Et n'oubliez pas que le principal gaz à effet de serre, c'est la vapeur d'eau. Grâce à elle, la température moyenne de la Terre est de 15 °C (au lieu de - 18°C) et la Vie a pu s'y développer.
...
À l'échelle du Quaternaire.
La hausse précédente s'inscrit dans des oscillations naturelles et périodiques de température et du CO2 qui durent depuis quelques centaines de milliers d'années. La température moyenne de la Terre oscille naturellement entre +10 et +16 °C. On est actuellement à +14°C. Ces variations sont dues aux interactions complexes entre orbite de la Terre, océans, calottes glaciaires, CO2… Mais on va peut-être atteindre +20°C dans 1 siècle (voir la partie sur les prochains 1 000 ans), et sortir du domaine « habituel » des variations de températures dans les quelques siècles qui viennent. Puis tout redeviendra normal, faute de CO2 à relâcher. L'astronomie nous indique que la prochaine glaciation commencera dans 40 000 à 80 000 ans.
À l'échelle du Phanérozoïque.
Depuis 80 millions d'années, la tendance globale (malgré les oscillations vues précédemment) est à la baisse du CO2 (divisé par 6 en 80 000 000 ans) et à une baisse de la température de 10 à 15 °C (température moyenne de 25 à 30°C il y a 80 000 000 d'années). Entre -280 et - 80 millions d'années, la tendance était au contraire à la hausse du CO2 (multiplié par 6) et de la température moyenne qui est passée de 12°C à 25-30°C. (...) On peut supposer que le « froid » actuel durera tant que durera l'Himalaya (gigantesque pompe à CO2 ), pour encore pas mal de millions d'années. Quand l'Himalaya sera « aplani », le taux de CO2 augmentera à nouveau, et la température aussi, à moins que d'autres montagnes ne se forment en pays inter tropical.
À l'échelle de l'histoire de la Terre.
Ces variations qui durent depuis quelques centaines de millions d'années (voir les 3 diagrammes du haut dans la figure ci-dessous) s'inscrivent dans des « tendances générales » :
1 - le CO2 baisse ; il a été divisé par 100 000 depuis l'origine de la Terre (4e diagramme de la figure ci-dessous). Ce diagramme (en échelle log) montre une décroissance quasi linéaire de la concentration du CO2 avec le temps : le taux de CO2 est divisé par 10 à 100 tous les milliards d'années. Cette diminution est due à l'accroissement lent et progressif de la quantité des calcaires terrestres.
2 - Pendant la même époque, l'énergie rayonnée par le soleil a augmenté de 50 % ( Pour en savoir plus sur la variabilité solaire à long terme, voir la thèse de Anne Vigouroux en ligne sur le site de l'observatoire de Nice.).
3 - Et globalement, aux innombrables oscillations près, la hausse du soleil a été compensée par la baisse du CO2 : La température de la Terre est toujours restée entre 0 et 100°C (sauf une ou 2 fois il y a - 650 millions d'années, époque où la Terre a sans doute été une boule de glace, gelée des pôles à l'équateur).
Pourvu que ça dure !!!!!!
Pour en savoir un peu plus sur les glaciers :
Le retrait des glaciers à l'échelle séculaire s'observe sur toute la planète. Les données suggèrent que le retrait des glaciers a commencé vers le milieu du XIXe siècle aux basses et moyennes latitudes alors qu'il a commencé plus tardivement aux hautes latitudes. (...)
http://planet-terre.ens-lyon.fr/planett ... m-temp.xml Le retrait des glaciers, vers le milieu du XIXe siècle, n'est pas dû à la consommation du carbone fossile (pétrole). Celle-ci joue sur le microclimat urbain (îlots de chaleur) mais les océans, immenses réservoirs d'eau, sont si énormes qu'ils tamponnent pratiquement tout.
Question: avez vous lu les rapports du GIEC?Oui, j'ai parcouru certains résumés.J'ai connu de près 2 chercheurs qui font partie de ceux qui ont été associés au prix Nobel de Al Gore, mais ils n'ont jamais étudié eux-mêmes le changement climatique. Leurs rapports remis au GIEC étaient du genre :- "il est bien connu que la température a augmenté, on peut s'attendre à ce que..." pour l'un,
- "si la température a augmenté et continue de le faire, on peut s'attendre à ce que..." pour l'autre".
J'y croirai quand des champs d'oliviers recouvriront la Beauce !
8)
Question: avez vous lu les rapports du GIEC?Oui, j'ai parcouru certains résumés.J'ai connu de près 2 chercheurs qui font partie de ceux qui ont été associés au prix Nobel de Al Gore, mais ils n'ont jamais étudié eux-mêmes le changement climatique. Leurs rapports remis au GIEC étaient du genre :- "il est bien connu que la température a augmenté, on peut s'attendre à ce que..." pour l'un,
- "si la température a augmenté et continue de le faire, on peut s'attendre à ce que..." pour l'autre".
J'y croirai quand des champs d'oliviers recouvriront la Beauce !
8)
Je vous engage à en lire un peu plus ... c'est un peu juste pour se forger une opinion. Il faut surtout que vous regardiez comment le GIEC fonctionne. C'est en effet assez exemplaire, puisque son seul objectif est de mettre les laboratoires en discussions et d'offrir un espace d'échanges.
Ce qui est inquiétant est la manière dont certains essaient de dénigrer ou de déconsidérer l'institution. Pour une fois qu'une réflexion se faisait de manière aussi pluridisciplinaire au niveau mondial...
Un peu court? En quoi ces rapports sont ils tendancieux? Ce sont des rapports scientifiques qui présentent des approches extrêmement variés et argumentés. Les synthèses résument d'ailleurs bien les multiples approches et tendances, contrairement à ce que vous prétendez! il ressort que la tendance au réchauffement d'origine anthropique est la tendance induite par le plus grand nombre de travaux....
Ne vous faites pas manipuler par des lobbies pas très recommandables qui poussent à dénigrer et détruire ce très bon travail de coopération scientifique qu'est le GIEC!
j'ai souvent remarqué, et c'est illustré fort a propos dans tous les films catastrophe, que c'est toujours une très faible minorité qui tire les bonnes conclusions. l'effet de groupe entretient un syndrome de moutons de Panurge, qui suivent, d'un bel élan, le corniaud le plus médiatique, dans l'erreur.
Pour ma part je ne trouve pas le travail du GIEC très intéressant. D'ailleurs un de ses membres éminents a demandé à ne plus y figurer. Cela a été expliqué plus haut, me semble t-il.
pour ceux que cela intéresse vraiment, un petit balayage horizontal:
http://www.pensee-unique.fr/theses.html
Un peu court? En quoi ces rapports sont ils tendancieux? Ce sont des rapports scientifiques qui présentent des approches extrêmement variés et argumentés. Les synthèses résument d'ailleurs bien les multiples approches et tendances, contrairement à ce que vous prétendez! il ressort que la tendance au réchauffement d'origine anthropique est la tendance induite par le plus grand nombre de travaux....
Ne vous faites pas manipuler par des lobbies pas très recommandables qui poussent à dénigrer et détruire ce très bon travail de coopération scientifique qu'est le GIEC!
j'ai souvent remarqué, et c'est illustré fort a propos dans tous les films catastrophe, que c'est toujours une très faible minorité qui tire les bonnes conclusions.
parfois, pas toujours!
Pour ma part je ne trouve pas le travail du GIEC très intéressant.
L'avez vous seulement lu?
D'ailleurs un de ses membres éminents a demandé à ne plus y figurer. Cela a été expliqué plus haut, me semble t-il.
Quel membre?
Oui, j'ai parcouru certains résumés.Je vous engage à en lire un peu plus ... c'est un peu juste pour se forger une opinion. Il faut surtout que vous regardiez comment le GIEC fonctionne. C'est en effet assez exemplaire, puisque son seul objectif est de mettre les laboratoires en discussions et d'offrir un espace d'échanges. Ce qui est inquiétant est la manière dont certains essaient de dénigrer ou de déconsidérer l'institution. Pour une fois qu'une réflexion se faisait de manière aussi pluridisciplinaire au niveau mondial...Je connais le fonctionnement de la Recherche en général. Je ne conteste absolument pas l'institution GIEC. Je suis simplement sceptique sur ses prévisions alarmistes. Certains hauts responsables, mécontents de l'exploitation de leurs travaux, ont protesté de ce "scientifiquement correct", puis ont claqué la porte.Question: avez vous lu les rapports du GIEC?
Bonjour,
Il fait de plus en plus chaud. A Gap par exemple la température est montée à - 18% l'autre nuit. Heureusement qu'ils ont des parasols et des chapeaux de paille.
Cordialement.
"Douche froide pour le GIEC.".
L’Onu épingle les responsables de cet organisme dont l’alarmisme ne fait pas l’unanimité. Ses opposants se sont regroupés au sein du Heartland Institute. Nous avons rencontré ces experts qui parlent franc.
Rangez vos sahariennes. Sortez vos canadiennes. Nous entrons dans une période froide C’est le cri d’alarme du géologue Don Easterbrook, professeur émérite à la Western Washington University. Il fait partie de ces milliers de scientifiques qui contestent les bilans alarmistes et catastrophistes du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), dont l’organisation et les méthodes de fonctionnement viennent d’être tancées sévèrement par l’Onu.
Dans un rapport remis le 30 août par le Conseil interacadémique, organisme consultatif composé de quinze académies des sciences, l’Onu recommande au Giec de « réformer fondamentalement sa structure de direction », aujourd’hui présidée par le très controversé chercheur indien Rajendra Kumar Pachauri, fragilisé par la critique, et de « renforcer ses procédures pour faire face à des évaluations climatiques de plus en plus complexes ».
Sans remettre en cause les conclusions climatologiques du Giec dont la présidence avait demandé ce rapport d’audit, conjointement avec l’Onu, le président du Conseil interacadémique, Harold Shapiro, professeur d’économie à Princeton, a été d’une grande franchise : « Je pense que les erreurs faites (par le Giec) ont entamé la crédibilité du processus. »
Le manque de transparence et de rigueur du Giec, créé en 1998 et récompensé par le prix Nobel de la paix en 2007 (partagé avec Al Gore), avait été mis en cause en 2009, après les révélations sur des erreurs et des manipulations de données de sa part, renforçant son alarmisme sur le réchauffement de la planète.
Du coup, le courant des “climatosceptiques”, opposé au Giec, a repris de la vigueur après avoir lancé une sorte de contre-offensive scientifique organisée autour du Heartland Institute, la principale organisation scientifique américaine regroupant tous ceux qui doutent de la thèse du réchauffement des températures. En mai dernier, ses principaux représentants étaient réunis à Chicago pour leur quatrième conférence internationale sur le changement climatique. (...)
Tous les chercheurs du Heartland Institute ne partagent pas les vues exprimées par Don Easterbrook pour qui le réchauffement de la planète s’est achevé pour plusieurs décennies et reprendra vers 2030, dans le cadre d’un cycle faisant alterner le chaud et le froid tous les trente ans. Le refroidissement à venir, affirme-t-il, sera encore plus néfaste que le réchauffement : il tuera deux fois plus de gens qu’une chaleur extrême, la production alimentaire diminuera, la consommation d’énergie augmentera ainsi que son prix, ce qui pourra entraîner une instabilité politique et sociale mondiale.
Richard Lindzen, du Massachusetts Institute of Technology, lui aussi venu à Chicago, est plus nuancé : « Dire que le réchauffement est dû aux activités humaines est trivialement vrai mais essentiellement dépourvu de sens. » À ses yeux, les alarmistes du Giec tentent d’appuyer les données qu’ils ont créées, au lieu de tester les hypothèses. Les chercheurs proches du Heartland Institute doutent aussi de l’impact des nouvelles lois antiréchauffement.
De son côté, l’économiste espagnol Gabriel Calzada a calculé que les emplois verts, en raison de la taxe imposée pour développer les énergies renouvelables, ont fait grimper le prix de l’électricité de 77 % entre 1998 et 2009. Son collègue italien Carlo Stagnaro estime que, pour un emploi vert créé, près de sept pourraient l’être ailleurs dans le secteur industriel, à investissement égal. L’ancien gouverneur de Virginie, George Allen, recommande de son côté de développer l’énergie nucléaire. Son argument : « Si les Français peuvent le faire, les Américains le peuvent aussi. »
« Tout ce que la gauche a réussi à faire, c’est de relégitimer le nucléaire », sourit Joseph Bast, le président du Heartland Institute. La polémique dite du Climategate, mettant en cause les méthodes du Giec, ne l’a pas étonné : « C’est un grand moment pour être sceptique. C’est un grand moment pour être libertaire. » La révélation par des courriels que le Centre de recherches sur le climat de l’université d’East Anglia (Royaume-Uni) aurait tenté d’étouffer les voix des climato-sceptiques en refusant de publier leurs articles a troublé les scientifiques.
Le climatologue Fred Singer, l’un des chefs de file du mouvement climatosceptique américain, estime lui aussi que cette affaire a changé le ton et l’atmosphère de la discussion entre scientifiques : « Le débat dure depuis près de vingt ans mais la publication des courriels concernés a confirmé ce que nous soupçonnions depuis longtemps. Un petit groupe d’individus a essayé de limiter le débat, ou, plus exactement, a tenté d’éviter qu’il ne devienne public. »
Enseignant les sciences environnementales à l’université de Virginie, fondée par Thomas Jefferson, Fred Singer connaît bien le milieu scientifique, autant que l’administration dans laquelle il a occupé de nombreuses fonctions, y compris à la Nasa. Expert mondialement reconnu pour ses travaux sur les questions d’énergie et d’environnement, Singer est l’un des fondateurs du Groupe international non gouvernemental sur le changement climatique (NIPCC, dans son sigle anglais), véritable machine de guerre contre le Giec dont il a disséqué les méthodes assez peu scientifiques : « Ils ont agi en écartant les dissidents, en exerçant des pressions sur les éditeurs pour qu’ils ne publient pas leurs travaux. L’aspect le plus important est qu’ils ont caché des données ou les ont manipulées, ce qui est pire. Ils ont, pour les citer, “dissimuler” le déclin de la température au public. »
Fred Singer poursuit : « Il est toujours dangereux de dire qu’une période est chaude ou froide, sauf si vous spécifiez de quelle période vous parlez, poursuit-il. De toute évidence, le climat s’est réchauffé depuis l’ère glaciaire, il y a 20 000 ans. Il s’est aussi réchauffé au cours des 200 dernières années. Mais il s’est refroidi depuis 1998. On ne peut pas dire qu’il fait plus froid ou plus chaud si on ne précise pas la période dont on parle. Cela n’a pas de sens. »
Le chercheur n’est pas avare en explications et en clarifications. Pour lui, une température peut baisser au cours des 10 ou 15 dernières années, tout en étant la plus élevée des 100 dernières années : « Cela n’est pas contradictoire. Dans un cas, on parle d’une tendance, mesurée en degrés centigrades par an ; dans l’autre cas, on parle d’une température en degrés centigrades. L’un est un taux de changement de température, l’autre un niveau de température. Ce sont deux concepts différents, comme la vitesse et l’accélération pour parler de la vélocité. »
Fred Singer ne nie pas que la température a été plus élevée au cours des 10 dernières années qu’au cours des 100 dernières. Avec ses amis du NIPCC, il montre que la température a en fait baissé durant les 10 dernières années. C’est la tendance : « On peut avoir une température en hausse et une “tendance” à la baisse. Ce qui compte, c’est la “tendance”, car elle prend en compte les gaz à effet de serre qui n’ont cessé d’être émis depuis la révolution industrielle. »
L’effet de serre ne l’effraie pas et le NIPCC estime qu’un réchauffement est dû à l’augmentation du CO2 : « L’effet de serre existe, mais les données ne le montrent pas. Nous croyons aux données, pas à la théorie. » C’est ce qui diviserait aujourd’hui la communauté scientifique : « Il y a ceux qui croient en la théorie : que la température doit augmenter car c’est ce que disent les modèles ; et ceux qui, comme nous, croient en l’observation de l’atmosphère. »
Le dialogue entre sceptiques et “réchauffistes” n’est pas rompu. « Il y a quelques très bons scientifiques dans l’autre camp », sourit Singer. Pour redorer son blason, le Giec a compris qu’il fallait inclure dans ses rapports des opinions dissidentes de scientifiques qui ont travaillé sur les mêmes informations, mais sans arriver aux mêmes conclusions. Il a aussi subi des pressions. « Un scientifique chinois a suggéré que le groupe s’ouvre aux contestataires, poursuit Singer, mais je ne crois pas que cela arrive. Nous continuerons à écrire nos opinions séparément, avec le NIPCC pour les diffuser. Notre objectif est de publier des mises à jour annuelles et un rapport complet en 2013. »
Les débats scientifiques ont toujours existé. Ils continueront : « Il y a toujours une majorité qui s’accroche à une certaine position jusqu’à ce qu’on lui prouve qu’elle a eu tort. Le débat est sincère, il va dans la direction des sceptiques, car un vrai scientifique doit toujours être sceptique. » Ses adversaires “réchauffistes” ne lui semblent pas malveillants : « Ils ne sont pas mauvais. Ils ont simplement tort. C’est tout. Mon espoir est qu’après ce qui s’est passé à Paris et à Londres, les choses vont changer, très bientôt. »
Fred Singer et ses amis du NIPCC perçoivent un grand mouvement en France. « L’Académie des sciences a enfin reconnu le sérieux du débat et il doit y avoir une discussion publique en octobre à Paris. Plus important encore, la Royal Society de Londres, la plus ancienne société scientifique du monde, extrêmement alarmiste, vient de reconnaître que les opinions dissidentes sont importantes. ». Elle a créé une commission chargée d’examiner les modèles. Ses conclusions auront un effet sur les autres académies, « notamment sur l’américaine, qui a publié un horrible rapport ne faisant que répéter toutes les fictions, toutes les hypothèses, ignorant les opinions divergentes et produisant un ramassis d’arguments éculés. Tout cela après avoir dépensé 6 millions de dollars »
vendredi 8 octobre 2010
http://www.egaliteetreconciliation.fr/D ... -4354.html
9_MEeSJ5erw
http://www.youtube.com/watch?v=9_MEeSJ5erw
"No significant global warming since 1995", by Jarl R. Ahlbeck The writer is D.Sc. and lecturer at Abo Akademi University, Finland.
25.10.2008
http://monet2.sempre.fi/image/5732
Lire sur :
le Giec en quelques mots:
le Giec en quelques mots:
Bonjour,Il fait de plus en plus chaud. A Gap par exemple la température est montée à - 18% l'autre nuit. Heureusement qu'ils ont des parasols et des chapeaux de paille.
Cordialement.
J'adore votre humour et votre bon sens !
le Giec en quelques mots:http://www.rechauffementmediatique.org/ ... du-climat/
Que de bêtises dans ce papier!
Relevés au hasard: Tous les documents du GIEC sont publics et pas seulement les résumés pour décideurs. Il n'est demandé aucun engagement secret d'adhésion à une quelconque doctrine pour rejoindre le GIEC. La plupart des recherches n'ont rien de secret et sont publiées dans les différents congrès organisés, soit par le GIEC, soit par ailleurs.
On note aussi une transcription biaisée et incomplète des missions du GIEC. facile de vérifier, allez sur le site du GIEC!
http://www.ipcc.ch/home_languages_main_french.shtml#.UMTqW8fWNpg
Le fait que le GIEC soit intergouvernemental avec des représentants désignés par l'ensemble de la planète est plutôt un gage d'objectivité puisque ces pays n'ont pas forcément les mêmes intérêts stratégiques!
Au lieu de vous faire bourrer le mou par des aigris ou des activistes sortis d'on ne sait où. Prenez déjà connaissance par vous mêmes de ce qu'est le GIEC et non pas ce que ces gugusses essaient de vous en dire!
Je connais le fonctionnement de la Recherche en général. Je ne conteste absolument pas l'institution GIEC. Je suis simplement sceptique sur ses prévisions alarmistes. Certains hauts responsables, mécontents de l'exploitation de leurs travaux, ont protesté de ce "scientifiquement correct", puis ont claqué la porte.Je vous engage à en lire un peu plus ... c'est un peu juste pour se forger une opinion. Il faut surtout que vous regardiez comment le GIEC fonctionne. C'est en effet assez exemplaire, puisque son seul objectif est de mettre les laboratoires en discussions et d'offrir un espace d'échanges. Ce qui est inquiétant est la manière dont certains essaient de dénigrer ou de déconsidérer l'institution. Pour une fois qu'une réflexion se faisait de manière aussi pluridisciplinaire au niveau mondial...
Quels hauts responsables? Qu'ont ils dit?
Spitfire toujours aussi Troll....
les mesures satellitaires se révèlent plus précises et plus fiables que les mesures terrestres mais elles ont été longtemps rejetées par les partisans de l'effet de serre parce qu'elles indiquaient un réchauffement beaucoup plus faible, voire pas de réchauffement du tout, de la basse atmosphère.
La Terre, n'en déplaise à certains, est un organisme vivant, et en tant que tel, il se produit de nombreuses interactions qui font qu'il est absolument impossible de modéliser sans prendre en compte une énorme marge d'incertitude. Sur Terre, il n'y a que les variations de température normales et qui font partie depuis toujours de son interaction profonde avec le soleil.
Le plus grosse source de réchauffement est probablement, comme toujours, d'origine médiatique.
Certains hauts responsables, mécontents de l'exploitation de leurs travaux, ont protesté de ce "scientifiquement correct", puis ont claqué la porte.
Je n'ai pas retrouvé le fil qui citait une vidéo où s'exprimait de hauts responsables, voire de directeurs d'instituts de climatologie (je crois me rappeler que c'était aux USA), mais j'ai retrouvé un fil archivé de Fopo qui traitait du GIEC : http://archives.forum-politique.org/201 ... 82438.html. Dans ce fil, page 5, j'avais donné un lien vers une vidéo (audio, 35 mn) dont la référence est : http://www.prisedeconscience.org/scienc ... naque-1099Quels hauts responsables? Qu'ont ils dit?
Il conviendrait plutôt que vous regardiez plus attentivement le graphique que je viens de poster : sur la courbe inter annuelle (en bleu), un pic brutal de hausse de température, pour une année, est suivi d'une baisse tout autant rapide l'année suivante, alors que Al Gore avait extrapolé pour une hausse continue.
Quant aux glaciers himalayens, ils ne reculent pas : ils avancent ! Cf. article de février 2011, http://www.egaliteetreconciliation.fr/U ... -5375.html.
L’homme qui dévoile l’arnaque du réchauffement climatique:
http://archives-fr.novopress.info/31502 ... limatique/
la conclusion est bien vue:
« Si, il y a trente ans, vous aviez demandé à n’importe quel médecin ou scientifique d’où venaient les ulcères à l’estomac, ils vous auraient tous donné la même réponse : ils sont évidemment causés par l’acide gastrique consécutif à un excès de stress . Tous sauf deux scientifiques, qui furent cloués au pilori pour leur idée délirante selon laquelle une bactérie serait derrière tout ça. En 2005 ils ont reçu le Prix Nobel. Le consensus s’était trompé. »
J'ai lu. Intéressant. Merci.L’homme qui dévoile l’arnaque du réchauffement climatique:http://archives-fr.novopress.info/31502 ... limatique/
Oui. Mon père (né en 1906) en a souffert des tas d'années, depuis son adolescence, avec traitement au bismuth, sans résultat et un jour, ablation d'une partie de l'estomac (en 1952). Mon plus jeune fils (32 ans) dont la gastrite a été diagnostiquée en Juin 2012, a eu un traitement d'antibiotiques suivi d'IPP contre Hélicobacter pylori : il n'en a plus !la conclusion est bien vue:« Si, il y a trente ans, vous aviez demandé à n’importe quel médecin ou scientifique d’où venaient les ulcères à l’estomac, ils vous auraient tous donné la même réponse : ils sont évidemment causés par l’acide gastrique consécutif à un excès de stress . Tous sauf deux scientifiques, qui furent cloués au pilori pour leur idée délirante selon laquelle une bactérie serait derrière tout ça. En 2005 ils ont reçu le Prix Nobel. Le consensus s’était trompé. »
La vidéo (audio, 35 mn) que j'ai citée (http://www.prisedeconscience.org/scienc ... naque-1099), m'a éclairée sur un point : la fonte de la banquise. Elle se produit sur la périphérie (Antarctique et Groenland), mais au centre, la calotte glaciaire s'épaissit : cela serait conforme aux lois de la thermodynamique.
Il y est aussi question des îlots de chaleur urbains et du fait qu'y sont situées des stations météo, la plupart ayant été celles retenues pour les analyses de la température dite globale. Plus rien ne m'étonne !
bien sûr que les pôles ne vont pas fondre. il faudrait des centaines d'années.
par ailleurs, prétendre que le niveau des océans monte est une pure farce.
seul l'antarctique pourrait réellement faire monter les niveaux.
le plan de l'océan, n'est pas partout à la même cote.
les courants, les vents,les marées, le soleil donc, font varier cette hauteur d'eau de sorte qu'il n'est pas possible d'en tirer des conclusions pertinentes.
personnellement, je connais bien Hyères et les plages alentour, dans le Var, et le niveau n'a pas bougé d'un poil en plus de trente ans
Je fouine, je révise mes connaissances, je m'instruis :
FAQ.
Le réchauffement climatique est un sujet vaste et complexe, dont la majorité d’entre nous devons nos connaissances à ce que les médias nous transmettent. Malheureusement, pour diverses raisons, bon nombre des informations véhiculées sont erronées ou gravement exagérées. Une brève mise au point s’impose, question de remettre certains pendules à l’heure.
L’effet de serre est-il responsable de l’augmentation de température?
Probablement, mais en très faible partie. (...)
Le CO2 est-il le principal responsable de l’effet de serre?
Non. (...)
Comment le CO2 contribue-t-il à l’effet de serre?
En absorbant les infrarouges en provenance de la Terre, les molécules de CO2 accumulent de l’énergie, puis émettent à leur tour des infrarouges de longueur d’onde supérieure. Suivant la seconde loi en thermodynamique, ces infrarouges seront émis vers les endroits plus froids, soit vers l’espace (l’énergie ne peut qu’aller d’un corps chaud vers un corps froid). Ainsi, l’énergie finira ultimement sa course vers l’espace, ayant été ralentie quelque peu par les molécules de CO2. Il importe de noter que les médias, Al Gore et plusieurs défenseurs de la théorie, laissent volontairement croire que cette énergie retourne à la Terre, ce qui expliquerait le réchauffement (mais qui est contraire à la physique). Pire encore, certaines sources laissent entendre qu’il y aurait réflexion des infrarouges par les gaz à effet de serre, ce qui est contraire aux propriétés des gaz.
Pourquoi se préoccupe-t-on de l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère?
Puisque le CO2 a la particularité d’absorber les infrarouges et ralentir leur course vers l’espace, il contribue très certainement à réchauffer la planète dans une faible proportion. Étant donné la production massive de CO2 par la combustion fossile et l’accroissement important de la population à l’échelle planétaire au cours des dernières décennies, il est tout à fait légitime de craindre un réchauffement sans précédent attribuable à cette augmentation. Or, l’étude historique du climat indique qu’il n’en est rien. Pourquoi? Simplement parce que cette contribution à l’augmentation de température est trop faible en comparaison des autres facteurs. De plus, l’effet du CO2 sur la température est logarithmique (l’augmentation initiale de CO2 a beaucoup plus d’effet sur la température qu’une fois la quantité de CO2 élevée), quoi qu’en dise Al Gore! Notons enfin que les taux actuels de CO2 n’ont rien d’exceptionnel avec ceux que la Terre a connus dans le passé (jusqu’à 20 fois supérieurs).
Assistons-nous à un réchauffement sans précédent?
Non. Quoi qu’en disent les médias, le climat a toujours varié sur notre planète et le fera toujours, passant de glaciations à périodes chaudes (interglaciaires), oscillant même à plus petite échelle malgré la tendance générale. Rien qu’au cours des 1000 dernières années, nous avons connu une période chaude, appelé Optimum médiéval (12-13e siècle) et un mini âge glaciaire (17-18e siècle). La température actuelle se situe entre les deux, dans la marge de variabilité normale. À une échelle multidécennale, nous observons également des fluctuations de quelques dixièmes de degrés, qui suivent le rythme d’oscillation des océans et du Soleil, expliquant vraisemblablement le refroidissement de 1940 à 1975, puis le réchauffement que nous avons connu récemment (correspondant à une activité solaire intense et un basculement du cycle décennal océanique).
Pourtant, la courbe des températures publiée dans les médias montre une augmentation soudaine au début du 20e siècle. Comment expliquer cela?
Les médias ont largement diffusé une courbe baptisée “crosse de hockey”, laquelle provient du 3e rapport du GIEC, publié en 2001. Elle indique un climat stable, voir diminuant légèrement, puis une augmentation rapide (presque exponentielle) vers 1900. Elle fut toutefois largement discréditée par les scientifiques, car elle faisait complètement abstraction de la période chaude médiévale et du petit âge glaciaire, pourtant supporté par de nombreuses observations, incluant le précédent rapport du GIEC (1996). Des experts en statistique ont démontré que le modèle mathématique à l’origine de celle-ci était tellement biaisé, qu’en y entrant des valeurs complètement aléatoires on obtenait une courbe similaire dans 99% des cas. Elle fut abandonnée dans le 4e rapport du GIEC (2007), au profit de la courbe ascendante de 1960 à aujourd’hui, éliminant du coup toute comparaison avec les mesures antérieures, incluant le réchauffement de 1900-1940 (pourtant plus important que celui depuis 1975). Malheureusement, plusieurs médias continuent de publier cette courbe sans se préoccuper de sa véracité.
La dernière augmentation des températures correspond à l’industrialisation. N’est-ce pas la preuve que le CO2 est responsable du réchauffement climatique?
Non. En fait, au cours du dernier siècle, la majeure portion du réchauffement s’est effectué avant 1940, soit avant la production massive de CO2. Puis, nous avons connu un refroidissement jusqu’à la fin des années 70, alors que le CO2 était en nette progression. Comme l’effet du CO2 sur la température est logarithmique, l’augmentation de CO2 initiale (au début de l’ère industrielle) aurait dû avoir un plus grand impact sur la température que l’augmentation actuelle, mais c’est un refroidissement qui s’opérait! Cette observation à elle seule devrait discréditer la théorie d’effet de serre anthropogénique (en plus de l’absence de réchauffement de la basse atmosphère, où se situe les GES – voir le premier point). Une autre démonstration de psittacisme de la part des médias. Les variations des derniers siècles sont d’ailleurs beaucoup plus en accord avec les oscillations des océans et l’activité solaire. Nous attribuons beaucoup d’importance au CO2 parce que nous maîtrisons mal tous les autres facteurs qui affectent le climat. Le GIEC a pour mission d’évaluer l’impact des gaz à effet de serre (particulièrement le CO2) produit par l’homme, et par conséquent apporte une version très partisane des facteurs en cause. Les modèles informatiques sont basés sur la prémisse que le CO2 est plus élevé que jamais depuis les dernières décennies (ce qui est faux), et accorde une importance arbitrairement élevée à ce paramètre dans ses modèles.
Des graphiques (comme celui présenté dans le film d’Al Gore – An Inconvenient Truth) montrent pourtant une corrélation entre le CO2 et la température pour les 600 000 dernières années.
Exact. Toutefois, une corrélation n’indique pas une relation de cause à effet. Le graphique de M. Gore ne montre pas quel élément affecte l’autre, sans compter qu’ils peuvent très bien être tous deux affectés par autre chose. Dans les faits, la courbe de CO2 suit celle de la température avec une moyenne d’environ 800 ans. Le CO2 serait donc une conséquence du réchauffement, et non une cause. Ceci s’explique par le fait que les océans contiennent beaucoup de CO2 et relâchent le gaz lorsqu’ils de réchauffent. Or, il faut des centaines d’années à réchauffer ces grandes masses d’eau, d’où le décalage. Il est même pensable que l’augmentation actuelle de CO2 soit en bonne partie attribuable à la période chaude médiévale, et non seulement à l’industrialisation. L’échelle de mesure du graphique présenté dans le film ne permet toutefois pas d’observer ce décalage facilement, et bon nombre de spectateurs se laissent berner.
De récents carottages en Antarctique montrent que la concentration actuelle de CO2 est plus élevée que celles des derniers 800 000 ans. N’y a-t-il pas lieu de s’inquiéter?
Non. N’oublions pas que le CO2 est une source de nourriture pour les végétaux. La Terre a connu, au Jurassique, des concentrations de CO2 environ 4 à 5 fois supérieures à aujourd’hui, et la végétation y était luxuriante (heureusement, avec les gros herbivores qui s’y trouvaient!). Une augmentation de croissance des végétaux ne peut qu’être une bonne nouvelle, avec les besoins croissants en nourriture à l’échelle planétaire. De plus, notons que l’étude des carottes glaciaires pour évaluer le CO2 est plutôt biaisée. Les glaces, sensées retenir le précieux gaz, ont connu des périodes de fontes, pendant lesquelles elles ont très certainement libéré une partie du CO2 emprisonné, sans compter qu’avec la pression croissante due au poids, de minuscules fissures se forment et libèrent du gaz. Les mesures prélevées aujourd’hui sont donc forcément inférieures à la concentration originale, avec une incertitude croissante dans le temps. Nous ne pouvons donc affirmer avec certitude que la concentration de CO2 actuelle soit la plus élevée pour cette période. Même si c’était le cas, rien n’indique qu’il faille s’en alarmer, d’autant plus que des paléoclimatologistes ont démontré que la concentration de CO2 n’a pas toujours été en relation avec la température (périodes froides avec grandes concentrations de CO2).
Les scientifiques prétendent que les calottes glaciaires (Arctique et Antarctique) fondent de façon alarmante, signe d’un réchauffement planétaire important. Qu’en est-il exactement?
Les variations de température à l’échelle planétaire se font davantage sentir aux pôles (plus grande amplitude), car ils sont plus froids, et du coup reçoivent l’apport additionnel de chaleur des trois quarts de la planète (l’air chaud se déplace vers les zones plus froides). Comme ils sont constitués de glace, leur fonte est un phénomène physique facile à observer, ce qui en fait des témoins de choix des changements climatiques. Si la périphérie des pôles (zones côtières) subit effectivement une fonte, il en est pourtant tout autre pour la masse continentale, qui augmente progressivement. Il ne faut donc pas s’alarmer devant un phénomène localisé et en faire une généralité. Nous traiterons de chaque pôle séparément dans les prochains points.
Quelle est la situation au Groenland?
Le Groenland est considéré par bon nombre de scientifiques comme le canari des changements climatiques. Tout comme le petit oiseau utilisé dans les mines pour son hypersensibilité aux gaz responsables des coups de grisou, le Groenland réagirait plus qu’ailleurs aux variations du climat, selon plusieurs experts. Si la partie sud du continent voit effectivement ses glaciers perdre du terrain en marge océanique, comme ce fut le cas entre 1920 et 1940, (en bonne partie à cause de l’eau qui se réchauffe depuis la dernière glaciation, et notamment en accord avec l’oscillation Atlantique Nord), le continent pour sa part s’épaissit. D’ailleurs, malgré les 4 à 6 degrés supplémentaires qui prévalaient du 12e au 14e siècle, lors de la colonisation par les Vikings, les glaces du centre n’ont pas diminué (donc, il faudra encore au moins 6 degrés avant leur fonte, et les prévisions pessimistes ne parlent que de 2-4 degrés dans 100 ans). Le rythme de fonte de la partie sud est même actuellement moins accéléré qu’au début du siècle, et la température moyenne du continent diminue depuis 70 ans. Le canari peut donc siffler en paix.
L’Arctique est-il menacé de disparaître?
Non. Du moins, pas avant très longtemps. Contrairement à l’Antarctique, le pôle Nord ne possède pas de masse terrestre en dessous. Il s’agit d’une immense mer de Glace, qui bouge constamment. Certaines parties se réchauffent, alors que d’autres gèlent (globalement la quantité de glace diminue tout de même un peu depuis quelques années). Or, ce sont les courants marins, qui suivent des cycles multidécennaux, qui sont en grande partie responsables de la fonte des glaces (et non le réchauffement global). Si le passage Nord-Ouest vers le pôle Nord fut ouvert en 2007, cela n’avait pourtant rien d’exceptionnel. En effet, Amundsen, en 1906, y naviguait à voilier. Il est d’ailleurs resté ouvert jusqu’au refroidissement du milieu du siècle dernier. Rappelons que la fonte des glaces de l’Arctique n’entraînerait pas d’augmentation du niveau des océans comme le feraient les masses continentales du Groenland ou de l’Antarctique, contrairement à ce que laissent entendre certains médias (lorsque la glace dans un verre d’eau fond, son volume n’augmente pas). Et puis nous avons des preuves que le pôle Nord a déjà été beaucoup moins gelé qu’aujourd’hui (12e au 14e siècle), voire complètement libre de glace il y a environ 7000 ans, sans toutefois engendrer de cataclysmes, ou la disparition des ours polaires.
Doit-on s’inquiéter de la fonte de l’Antarctique?
Non. Bien que la fonte de l’Antarctique serait pour le moins inquiétante, considérant la masse de glace qui s’y trouve, il ne fond pas, bien au contraire. Son épaississement permet même de réduire l’élévation naturelle du niveau des océans. Comme au Groenland, seule la partie en marge océanique subit une fonte (bien qu’en 2008 elle a pris de l’expansion, au grand malheur des réchauffistes), de même que la péninsule Ouest, une pointe qui sort du continent et qui se dirige vers l’Amérique du Sud. Cette minuscule portion (en comparaison du reste du continent) est entourée d’eau, et serait donc influencée par le climat océanique (sans compter qu’elle fait partie d’une zone d’activité volcanique sous-terraine). Toutes les études et les expéditions s’y concentrent (incluant les données utilisées par Al Gore dans son film), pour sa proximité du continent sud-américain, son climat plus doux, et par ce qu’on y trouve ce que l’on cherche: des signes de réchauffement. Une fois de plus, on assiste à une généralisation d’un phénomène localisé, pourtant régi par des conditions complètement différentes. Parmi les principales causes de la variabilité climatique, l’ennuagement est un phénomène naturel qui affecte le continent Antarctique de façon différente du reste de la planète. Alors qu’une diminution de la couverture nuageuse réchauffe l’ensemble de la planète, elle refroidit les grandes zones blanches comme l’Antarctique, par réflexion des rayons solaires (effet albédo).
Les ours polaires sont-ils menacés par le réchauffement climatique?
Non. D’abord, la population d’ours blancs ne diminue que dans une partie de l’Arctique, alors qu’elle est stable ou en croissance ailleurs. Ironiquement, les populations en déclin se situent dans les portions de l’Arctique qui subissent le plus grand refroidissement, alors que celles en croissance se trouvent dans les portions qui se réchauffent. Les ours doivent donc voir le réchauffement d’un bon oeil. En fait, la menace principale des ours est la chasse. N’oublions pas que ces animaux parcourent chaque année des centaines de kilomètres pour se nourrir en fonction des saisons, alors ils s’adaptent très bien aux différentes températures. Ils occupent les régions nordiques depuis plus de 10 000 ans, période pendant laquelle ils ont connu des températures plus chaudes et plus froides qu’aujourd’hui, et même une disparition complète des glaces de l’Arctique. Quant aux banquises qui perdent du terrain, n’oublions pas que l’ours polaire est très bien adapté à la vie aquatique et nage aisément plus de 100km pour se nourrir. Pour la chasse aux phoques, même si la quantité globale de glace diminue en Arctique, la date moyenne de gel et dégel demeure la même, malgré ce que laissent entendre les médias.
Le niveau des océans menace-t-il de s’élever de façon alarmante?
Non. Malgré les variations de climat, l’augmentation du niveau des océans est demeurée à peu près linéaire depuis des centaines d’années. Les modèles alarmistes du GIEC révisent d’ailleurs à la baisse leurs prédictions à chaque nouveau rapport, pour arriver, en 2007, à un niveau de 42cm en 100 ans, soit à peine plus que la tendance linéaire qui s’opère depuis les derniers siècles (bien avant l’activité humaine). N’oublions pas que cette hausse, si elle a lieu, ne sera pas soudaine. L’homme aura largement le temps de réagir s’il juge un endroit à risque. D’ailleurs, beaucoup d’endroits sur la planète sont sous le niveau des océans, et l’homme y a construit des digues pour y habiter. La hausse du niveau des océans n’est pas uniforme, et se traduit même par une baisse à certains endroits, dont les îles Maldives, pourtant qualifiées de très vulnérables. En fait, dans plusieurs cas, il s’agit d’une plaque tectonique qui s’enfonce, et non le niveau de l’eau qui monte. La température très élevée du 12e et 13e siècle au Groenland avait causé la fonte des glaces au sud du continent à des niveaux bien plus alarmants que ce que l’on observe ou prédit, et pourtant le niveau des océans n’a pas monté comme le prévoient la majorité des modèles! En fait, l’apport de la fonte des glaces dans l’augmentation du niveau des océans est minime. L’augmentation est attribuable à l’expansion thermique, qui s’opère depuis la dernière glaciation.
Peut-on s’attendre, avec le réchauffement, à davantage d’ouragans et tornades, toujours de plus en plus violents?
Non. (...)
Que dire des sécheresses et des inondations?
De même que pour les ouragans, ces phénomènes ne semblent pas être en corrélation avec le réchauffement. Le nombre moyen de sécheresses est même en baisse depuis quelques décennies. Lorsqu’elles ont lieux, elles n’affectent que les zones déjà propices, donc il ne faut pas s’alarmer en pensant que les zones humides se transformeront prochainement en désert, du moins au cours des prochaines décennies ou siècles. Si la mer Méditerranée se retransforme un jour en désert, ce ne sera vraisemblablement pas en lien avec le réchauffement climatique, mais plutôt à cause du mouvement des plaques tectoniques, qui ouvrent et ferment le détroit de Gibraltar au fil du temps. Quant aux inondations, si les pluies abondantes ne sont pas en augmentation marquée, les problèmes sont généralement liés à la transformation des sols (déboisement, développement urbain, etc.). Certaines régions s’enfoncent même progressivement (comme c’est le cas de la Louisiane), les rendant plus vulnérables aux accumulations d’eau.
Les maladies tropicales, telles que la Malaria, sont-elles en augmentation et menacent-elles vraiment les zones nordiques?
Malgré les propos d’Al Gore, les maladies infectieuses transmises par les insectes n’ont rien à voir avec la température. Ce n’est pas comme si les moustiques atteignaient enfin une température assez élevée pour se mouvoir! Il y a des moustiques en Arctique, et partout dans la zone septentrionale. (...)
Les populations des pays en voie de développement seront-elles de grandes victimes du réchauffement?
Non, bien au contraire. C’est la lutte au réchauffement climatique qui est la principale menace pour ces gens! S’ils ont signés pour la plupart le protocole de Kyoto, c’est d’abord et avant tout par cupidité de leurs dirigeants. Ceux-ci savent très bien qu’ils n’émettront pas de CO2 en grande quantité, et recevront de l’argent des pays comme le nôtre. Mais cet argent ira vraisemblablement uniquement dans les poches de dictateurs. En fait, ce qui attend ces gens, c’est la hausse faramineuse des biens essentiels suite aux coûts accrus du transport et de l’explosion de la demande mondiale pour des céréales à des fins de combustibles (bio-carburants). Les pays industrialisés exigent que les pays émergents se plient à des plafonds de CO2 dans le but de freiner leur utilisation de pétrole, alors que toute autre alternative pour générer de l’électricité (tel que les panneaux solaires ou les éoliennes) est beaucoup plus coûteuse et peu fiable. Les pauvres ne pourront ainsi jamais accéder à l’énergie nécessaire pour alimenter leurs hôpitaux, avoir des conditions salubres pour l’entreposage de nourriture ou subvenir à tout autre besoin de base. La menace du réchauffement climatique n’est-elle pas une façade formidable pour les dirigeants des pays riches qui veulent de freiner l’expansion des pays émergents et ainsi maintenir des prix peu élevés? Il est peu probable qu’une augmentation de quelques dixièmes de degré Celcius ait la moindre influence sur ces gens (plus on approche des pôles, plus l’augmentation de température sera importante, donc pour une moyenne de 2 à 4 degrés à l’échelle planétaire, on parle de moins d’un degré dans les zones équatoriales), d’autant plus que cela est vraisemblablement moindre que la variation naturelle annuelle. Les pressions économiques suite au zèle des pays craignant le réchauffement ne feront qu’aggraver le sort de populations déjà en difficulté. S’il en coûte davantage aux pays riches pour contrer les émissions de CO2, il est aussi fort à parier que l’aide internationale diminuera.
Ne devrait-on tout de même pas contrôler nos émissions de CO2, ne serait-ce que par mesure préventive?
Bien que la majorité des scénarios catastrophes qui nous sont présentés soient irréalistes et ont peu de chance de se manifester, ne serait-ce qu’en partie, il est certes prudent de ne pas rejeter inutilement du CO2 dans l’atmosphère, bien que les végétaux s’en porteraient probablement mieux (ce qui n’est pas négligeable dans un contexte de crise alimentaire). Cependant, il ne faut pas adopter des mesures draconiennes aveuglément, telles que le protocole de Kyoto ou un marché du Carbone, lesquels auraient beaucoup plus d’effets néfastes que bienfaisants. En quoi pouvons-nous affirmer que la température actuelle soit optimale et que tout réchauffement additionnel soit dangereux? Après tout, la moyenne de température de la Terre est plus élevée que la température actuelle, et la période médiévale du 12e au 14e siècle, beaucoup plus chaude, fut très faste. On dénombre généralement moins de mortalité dans les périodes plus chaudes que celles plus froides. Il est peu probable que toute réduction de CO2 ait le moindre effet sur le réchauffement climatique, lequel est gouverné essentiellement par des facteurs naturels. L’argent consenti à limiter le CO2 fera augmenter le prix des matières premières, du transport et entrainera des coupures ailleurs (santé, éducation, protection de l’environnement, recherche pour des énergies propres ou des produits moins énergivores, soutient aux pauvres…). Réfléchissons à qui bénéficiera le plus cet apport monétaire?
http://www.rechauffementmediatique.org/wordpress/faq/
La messe est dite !!!
étrange ces individus qui se croient plus malins et instruits que des milliers de scientifiques qui ont étudier une partie de leurs vie ce sujet.
de plus... si les ours blancs disparaissent à cause d'un éventuel réchauffement climatique, c'est leur problème, pas le nôtre...
l'humanité n'est absolument pas la gardienne des conditions climatiques des années 1850...
étrange ces individus qui se croient plus malins et instruits que des milliers de scientifiques qui ont étudier une partie de leurs vie ce sujet.
le problème de ces scientifiques... c'est qu'ils ont étudié une toute petite partie de leur vie, une toute petite petite partie du sujet...
et...Malheureusement ces travaux peuvent être récupérés... :?
Moi, je vois simplement comme un statisticien les données de température qu'on me donne et quand je considère les températures qu'il y a eu sur terre dans les 5 ou 6 millions d'années précédentes et bien nos températures sont conformes et je pense que l'influence de l'homme est tout a fait ridicule...
Spitfire toujours aussi Troll....les mesures satellitaires se révèlent plus précises et plus fiables que les mesures terrestres mais elles ont été longtemps rejetées par les partisans de l'effet de serre parce qu'elles indiquaient un réchauffement beaucoup plus faible, voire pas de réchauffement du tout, de la basse atmosphère.
La Terre, n'en déplaise à certains, est un organisme vivant, et en tant que tel, il se produit de nombreuses interactions qui font qu'il est absolument impossible de modéliser sans prendre en compte une énorme marge d'incertitude. Sur Terre, il n'y a que les variations de température normales et qui font partie depuis toujours de son interaction profonde avec le soleil.
Le plus grosse source de réchauffement est probablement, comme toujours, d'origine médiatique.
vous avez raison de douter, mais il ne faut pas tomber dans un scepticisme absolu...
Les indices de réchauffement et les indications de mécanismes de réchauffement sont suffisamment importants pour ne pas être écartés de manière trop précipitée.
Je souhaite que vous ayez raison, mais peut être il vaut mieux être prudent d'autant que les mesures proposées par le GIEC ont de multiples bonnes retombées et pas vraiment d'inconvénients sur le moyen long terme.
L’homme qui dévoile l’arnaque du réchauffement climatique:http://archives-fr.novopress.info/31502 ... limatique/
la conclusion est bien vue:
« Si, il y a trente ans, vous aviez demandé à n’importe quel médecin ou scientifique d’où venaient les ulcères à l’estomac, ils vous auraient tous donné la même réponse : ils sont évidemment causés par l’acide gastrique consécutif à un excès de stress . Tous sauf deux scientifiques, qui furent cloués au pilori pour leur idée délirante selon laquelle une bactérie serait derrière tout ça. En 2005 ils ont reçu le Prix Nobel. Le consensus s’était trompé. »
Ne mélangez pas tout! ce n'est pas parce qu'il y a une erreur parfois qu'il y en a systématiquement!
étrange ces individus qui se croient plus malins et instruits que des milliers de scientifiques qui ont étudier une partie de leurs vie ce sujet.
le problème de ces scientifiques... c'est qu'ils ont étudié une toute petite partie de leur vie, une toute petite petite partie du sujet...
et...Malheureusement ces travaux peuvent être récupérés... :?
Moi, je vois simplement comme un statisticien les données de température qu'on me donne et quand je considère les températures qu'il y a eu sur terre dans les 5 ou 6 millions d'années précédentes et bien nos températures sont conformes et je pense que l'influence de l'homme est tout a fait ridicule...
Les statisticiens peuvent aussi nous donner quelques raisons de nous inquiéter et d'approfondir le sujet comme le font les labos rattachés au GIEC.
Je vous trouve bien léger d'écarter le problème aussi cavalièrement...
Les statisticiens peuvent aussi nous donner quelques raisons de nous inquiéter et d'approfondir le sujet comme le font les labos rattachés au GIEC.
Je vous trouve bien léger d'écarter le problème aussi cavalièrement...
le taux de Co2 dans l'atmosphère a été plus de 300 fois plus élevé dans le passé alors qu'il n'y avait pas d'hommes... vous êtes un clown "spitfire"... ;)
Les statisticiens peuvent aussi nous donner quelques raisons de nous inquiéter et d'approfondir le sujet comme le font les labos rattachés au GIEC.
Dans les faits, la courbe de CO2 suit celle de la température avec une moyenne d’environ 800 ans. Le CO2 serait donc une conséquence du réchauffement, et non une cause. Ceci s’explique par le fait que les océans contiennent beaucoup de CO2 et relâchent le gaz lorsqu’ils de réchauffent. Or, il faut des centaines d’années à réchauffer ces grandes masses d’eau, d’où le décalage. Il est même pensable que l’augmentation actuelle de CO2 soit en bonne partie attribuable à la période chaude médiévale, et non seulement à l’industrialisation. L’échelle de mesure du graphique présenté dans le film ne permet toutefois pas d’observer ce décalage facilement, et bon nombre de spectateurs se laissent berner.
post3076485.html#p3076485
le taux de Co2 dans l'atmosphère a été plus de 300 fois plus élevé dans le passé alors qu'il n'y avait pas d'hommes...
heureusement ! Tu n'y aurais pas survécu :
Pour les glaciers, il n'est pas impossible que de vieux dépôts de suies de 100 ou 200 ans, laissés par une éruption de type krakatoa, amplifient à un moment, un phénomène de fonte naturelle, quand le glacier arrive à une altitude à laquelle la température ambiante ne permet plus l'équilibre. Ce qui veut dire qu'au lieu de fonde au niveau de la mer, il fondrait plus haut.
Depuis que ça fond à tout va, c'est la bagarre
Les statisticiens peuvent aussi nous donner quelques raisons de nous inquiéter et d'approfondir le sujet comme le font les labos rattachés au GIEC.Je vous trouve bien léger d'écarter le problème aussi cavalièrement...
1. Avec l'échelle qui va bien on fait passer n'importe quoi pour un changement brutal.
2. Il nous manque la légende de couleur.
3. Corrélation n'est pas raison.
L’homme qui dévoile l’arnaque du réchauffement climatique:http://archives-fr.novopress.info/31502 ... limatique/
Etrange, il dit que le réchauffement climatique s'est arrêté en 1998, alors qu'on trouve depuis cette date pratiquement les dix années les plus chaudes connues.
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/developpement-durable-1/d/top-10-des-annees-les-plus-chaudes-2011-en-est_34949/
bizarre...
Quant à la motivation qui serait une taxe carbone (???!), c'est une raison qui parait faiblarde....
La pollution locale ou la préservation des ressources sont des arguments suffisants pour taxer l'énergie sans avoir à inventer des phénomènes compliqués.
Surtout qu'il faudrait impliquer dans le complot des centaines de labos dans le monde...
Quand à sa conclusion, elle tient plutôt de la rhétorique facile que d'une quelconque rigueur historique ou scientifique. Pour un exemple d'erreur collective, combien trouve t'on de théories individuelles qui s'avère fumeuse. L'exception donnée en conclusion par Pfilmer n'est pas la règle...
Les statisticiens peuvent aussi nous donner quelques raisons de nous inquiéter et d'approfondir le sujet comme le font les labos rattachés au GIEC.Je vous trouve bien léger d'écarter le problème aussi cavalièrement...
1. Avec l'échelle qui va bien on fait passer n'importe quoi pour un changement brutal.
Le changement est néanmoins brutal à moins d'être aveugle!
2. Il nous manque la légende de couleur.
En rouge, la température réelle, en bleu la température après lissage
3. Corrélation n'est pas raison.
Certes, mais il faut quand même s'interroger sur cette anomalie, non? Je trouve les anti réchauffements très "autruches" dans leur comportement.
Si ils se battent tous comme des chiffonniers pour avoir un caillou au Pôle Nord pour les voies maritimes ... c'est que ça fond va, pas la peine de s'emmouscailler avec des courbes
En rouge, la température réelle, en bleu la température après lissage
ça se voit que vous ne comprenez pas ce que vous lisez et postez.
En rouge, ce sont les températures, en bleu, la concentration en CO2.
Les valeurs sur les échelles verticales le prouvent (quand on connaît bien le sujet). ;)
"La Terre n’en finit pas de chauffer !".
Courbes de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère terrestre (en bleu) et de la température moyenne globale (en rouge) sur les 1 000 dernières années.