Faut faire gaffe à leurs clauses, dates d’anniversaires de souscriptions, délais, etc.…. il y a toujours anguille sous roche.
Sinon, avant de changer, tu peux déjà renégocier ton contrat.
Il n'y a pas d'engagement chez free, donc pas de date d'anniversaire, ni de délai...quant à renégocier le contrat, SFR a l'air favorable à cette idée ; en revanche, Orange et Bouygues, c'est NIET
Je pense attendre avant de quitter SFR et de me jeter sur free, d’ une part parce que beaucoup de monde va le faire tout azimut, d’ autre part, parce que si cela ressemble à leur plate forme SAV et de services lors de la première année du lancement de la box, où énormément de gens se sont fait flouer par un service de M….
Problèmes
Plaintes
Le 21 février 2006, Free est condamné par le Tribunal de grande instance de Paris à payer 30 000 € à titre de dommages-intérêts à l'UFC-Que Choisir et 15 000 € à l'association Familles de France pour 32 articles dans les conditions générales de vente de Free jugés abusifs. Free a réagi en regrettant l'instrumentalisation des tribunaux par certaines associations de consommateurs en mal de publicité et de financement 34. Un peu plus de deux mois plus tard, Free informe ses abonnés du changement des CGV.
En mai 2006 l'association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir lance plusieurs centaines de procédures judiciaires contre la société, à la suite d'un grand nombre de plaintes d'abonnés. À la suite d'une plainte contre X en diffamation, les dirigeants d'UFC-Que Choisir ont été mis en examen. Cette dernière plainte a finalement été rejetée par la cour d'appel de Paris (11e chambre). En juillet 2007, Free est condamnée à rembourser trois abonnés et à payer 20 000 euros de dommages et intérêts à l'UFC-Que Choisir, mais elle fait appel. Un nouveau procès est prévu en novembre 200935.
En octobre 2009, l'association UFC-Que Choisir attaque Free qui est le seul FAI français à surtaxer sa hotline (0,34 € la minute sans compter les surfacturations des opérateurs de téléphonie mobile)35. Le 7 décembre 2009, la même association annonce qu'elle a saisi le Tribunal de Grande Instance de Paris à l'encontre de Free pour « pratiques déloyales et illicites dans ses conditions de vente »36.
En mars 2011, le Tribunal de grande instance de Paris, saisi par l'association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir en mars 2010, a ordonné à Free de cesser ses « pratiques commerciales illicites » et ses « pratiques commerciales trompeuses »37.
Free doit payer 50 000 € de dommages et intérêts à l'UFC-Que Choisir, modifier ses conditions générales dans un délai de 15 jours sous peine d'une astreinte de 2 000 € par jour de retard, et publier la condamnation dans la presse et sur la page d'accueil de leur site interne.
La justice a déclaré illégaux :
Les "frais d'activation différés" : 96 euros (moins 3 euros par mois d’ancienneté et moins 1,5 € par mois pour Freebox Révolution) facturé aux abonnés souhaitant résilier leur abonnement. Pour la justice, il s'agissait de frais de résiliation non justifiés : l’article L. 121-84-7 du code de la consommation oblige les opérateurs à facturer des frais de résiliation en adéquation avec leur coût réel.
Le tribunal a également donné raison à l'UFC-Que Choisir sur d'autres pratiques, mais auxquelles Free a mis fin depuis le dépôt de la plainte de l’UFC Que Choisir en mars 2010 : option Service Plus pré-cochée ou encore l'utilisation de termes trompeurs ( "Il a Free, il a tout compris" ; "Découvrez les 20 exclusivités de l'offre Free" ; "Bénéficiez de tarifs attractifs vers les autres destinations et mobiles ")38.
Controverses sur le respect des logiciels libres
Free utilise des logiciels libres dans un grand nombre de ses équipements, dont la Freebox qui est prêtée à ses abonnés : elle utilise Linux pour son noyau, ainsi que d'autres logiciels sous GPL(v2), notamment pour ses divers pilotes. Or, la GPL (utilisée dans un certain nombre des logiciels utilisés par la Freebox) impose de publier le code source de tout logiciel basé sur un logiciel sous GPL, ou réutilisant tout ou partie de son code, notamment lorsqu'il est distribué et même en location (voir tivoisation). Mais Free a toujours refusé de publier le code source des logiciels utilisés par sa Freebox, estimant qu'il n'y avait pas distribution, le terminal Freebox étant produit et prêté à l'abonné qui est tenu de le restituer en fin d'abonnement (ceci est un raisonnement non valable à partir de la GPLv3). La Freebox est dite propriété insaisissable, au même titre que les compteurs électriques ou de gaz propriétés de leurs compagnies respectives. Le client ne peut donc pas modifier le terminal, sous peine d'être facturé lors de la résiliation (190 € pour Freebox v4, 290 € pour le boîtier multimédia de la Freebox HD, 150 € pour le boîtier ADSL de la Freebox HD39). Free a récemment décidé de publier ce contenu sur un site40.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Free_(soci%C3%A9t%C3%A9)