quels faits ?
L'infiltrations des communistes dans l'église... Tout autant imaginaire que la virginité de Marie.
PS : ce qui est en rouge est tout simplement niais et/ou HS.
Vos posts sur la pseudo infiltration des communistes sont tous aussi niais et HS..... Et n'expliquent pas l'existance des curées pédophiles (vous n'avez pas été capable de m'expliquer en quoi l'infiltration de bolchévik aurait abouti à la pédophilie des prètres). Mon explication sur leur existence à le mérite d'être bien plus simple et bien plus réaliste.
c'est tellement imaginaire que vous êtes infoutu de discuter les sources que j'ai remises et qui viennent de sites sérieux et pas réputés pour être spécialement pro-chrétiens. Au lieu de ça, vous vous réfugiez dans le "imaginaire", 'intégristes", et une espèce d'obstination à ne pas voir ce que votre interlocuteur apporte telle qu'on dirait un gamin pris la main dans le pot de confiotte et qui nie avoir fait pipi au lit : aucun rapport mais ça lui donne une raison d'exister.
Bref, puisque vous vous bornez à les qualifier sans réfuter le début du commencement du premier d'entre eux, c'est pour moi acquis et vos trémoussements n'y changeront plus rien.
Ceci dit, haec ubi dicta comme disait l'autre (ne cherchez pas, c'est pas une injure) la question dans l'Eglise passe par la volonté avouée d'éléments extérieurs au début, intérieurs par la suite, de séculariser le rôle du prêtre, tout d'abord. Je ne vais pas le démontrer, il suffit de reprendre le Syllabus (le plus connu) pour s'apercevoir que Rome était au fait de la question.
Une fois ce rôle de prêtre plus ou moins sécularisé, on assiste à une modification du statut du prêtre dans sa propre religion, avec le concours d'éléments nuisibles extérieurs (c'est là que les cocos entre autres interviennent) qui de lien avec le divin, devient plus ou moins un pote en rapport avec les jeunes. Son rôle est complètement dénaturé, l'entrée (le séminaire) est moins filtrée et de fait s'ouvre à un panel plus important et moins sélectionné, dans lequel se trouvent des saints prêtres, des gars qui sont là pour faire copain-copain, et des malades.
Ce qui est intéressant, c'est de voir que les problèmes commencent à une échelle modeste dans les années 70, (des prêtres ordonnés fin des années 30 donc) alors que l'immédiat après-guerre connait une recrudescence des vocations, pour se casser la figure juste après, alors que les cas de pédérastie augmentent brusquement tandis que les vocations décroissent. Un véritable miroir inversé.
Ce ne sont pas de prêtres pédérastes dont on parle, mais de pédérastes-prêtres, qui n'avaient rien à faire dans les ordres et qui sont rentrés dans le vivier.
Voilà , chouette explication ; il suffit d'ailleurs de consulter le seul rapport établi sur la question (qui traite des US) pour se rendre compte que les faits se tiennent parfaitement.