- 12 août 2018, 13:47
#4509482
Ca me parle ce que tu dis Sinistre.
Gérer des gens est une chose passionnante qui m'a fait beaucoup évoluer au cours des années. Auparavant j'étais extrêmement sec et exigeant. Cela avait pour avantage de donner de l'élan à ceux ayant un minimum de motivation car je me rendais compte que la gratitude que j'exprimais avec parcimonie avait un poids énorme. Et cela poussait les paresseux à partir m'épargnant bien de complications administratives. Avec le recul je regrette un peu cette méthode qui n'était pas consciente mais plus le fruit de ma personnalité. Je sais que dans le tas j'ai peut être gâché de réels talents.
Maintenant je fais preuve de beaucoup plus d'empathie, non pas dans le sens affectif mais afin de comprendre quel autre trait un individu peut exhaler. Il y avait quelques années, je travaillais pour une banque qui m'avait assignée une équipe ou l'un des individus ne faisait clairement pas le poids dans ce qui était demandé de lui. Je l'avais vite senti, je lui ai mené l'enfer avant qu'il se décide à partir de lui même. J'ai recroisé ce même gars il y a quelques semaines sur un autre projet ou il mène un travail formidable. Présent, avec un sens de l'anticipation et de l'organisation, d'excellents qualité de communication, ce sont des traits que j'aurais pu utiliser si je n'avais pas tant restreint mes exigences à son égard.
Il reste des cas désespérés, j'en croise mais c'est en fait très rare. Aux aptitudes de rendement et de vertu que l'on exige d'un employé, il nécessite aussi des qualités de vision et de valorisation au gérant.
Cependant je distingue bien le monde du travail et la solidarité au niveau étatique qui sont très différentes dans leurs finalités.
A l'entreprise, la productivité, la qualité et l'évolution.
A l'état la solidarité universelle pour des raisons pas forcément neuneu: l'instauration d'un climat non décourageant à l'entreprise, la contention de la criminalité et la prévention de goulets d'étranglements en économie (si si, l'aide sociale n'est pas une candide dépense dans le vide, elle a une fonction économique, on devrait en causer un jour).
Gérer des gens est une chose passionnante qui m'a fait beaucoup évoluer au cours des années. Auparavant j'étais extrêmement sec et exigeant. Cela avait pour avantage de donner de l'élan à ceux ayant un minimum de motivation car je me rendais compte que la gratitude que j'exprimais avec parcimonie avait un poids énorme. Et cela poussait les paresseux à partir m'épargnant bien de complications administratives. Avec le recul je regrette un peu cette méthode qui n'était pas consciente mais plus le fruit de ma personnalité. Je sais que dans le tas j'ai peut être gâché de réels talents.
Maintenant je fais preuve de beaucoup plus d'empathie, non pas dans le sens affectif mais afin de comprendre quel autre trait un individu peut exhaler. Il y avait quelques années, je travaillais pour une banque qui m'avait assignée une équipe ou l'un des individus ne faisait clairement pas le poids dans ce qui était demandé de lui. Je l'avais vite senti, je lui ai mené l'enfer avant qu'il se décide à partir de lui même. J'ai recroisé ce même gars il y a quelques semaines sur un autre projet ou il mène un travail formidable. Présent, avec un sens de l'anticipation et de l'organisation, d'excellents qualité de communication, ce sont des traits que j'aurais pu utiliser si je n'avais pas tant restreint mes exigences à son égard.
Il reste des cas désespérés, j'en croise mais c'est en fait très rare. Aux aptitudes de rendement et de vertu que l'on exige d'un employé, il nécessite aussi des qualités de vision et de valorisation au gérant.
Cependant je distingue bien le monde du travail et la solidarité au niveau étatique qui sont très différentes dans leurs finalités.
A l'entreprise, la productivité, la qualité et l'évolution.
A l'état la solidarité universelle pour des raisons pas forcément neuneu: l'instauration d'un climat non décourageant à l'entreprise, la contention de la criminalité et la prévention de goulets d'étranglements en économie (si si, l'aide sociale n'est pas une candide dépense dans le vide, elle a une fonction économique, on devrait en causer un jour).
Raphaëlle a/ont remercié ça