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Un bonjour en passant,

oui je sais je suis parti en courant car plein le fion des neuneux bouchés comme les water closed d'un pub irlandais.

Comme j'en avais parlé avec No Pass, marre aussi d'avoir d'impression de parler dans le vent face à des neuneux qui se gaussent ou vous snobent et de lire quelques temps plus tard des propos qui étaient les vôtres ou presque bien avant que ces gus se les approprient en croyant avoir découvert la poudre, avec juste trois wagons plombés de retard. Et en parlant de fion, petit message à mon "ami" Bouffonvert: "Ami, la sens tu, qui se glisse dans ton c.., la quenelleeeeuuuu...."

Mon livre avance, kamarade Poto, doucement mais surement. Doucement car mon fils qui entame donc son second mois de sa deuxième vie (la première vie étant celle qu'il a vécu dans le ventre de sa maman, j'explique pour les plus demeurés), me prend, enfin nous prend, à la courageuse maman et moi même, beaucoup de temps.

Je n'interviendrai plus vraiment pour parler de politique car j'ai assez de boulot avec mes ânes dans ma ferme célébrité, mais à l'occasion et de façon aléatoire pour faire une remarque sur un fait sociétal, pour rafraichir peut être la mémoire à certains Alzheimer en herbe qui ont, comme la plupart des animaux humains, la mémoire sélective, etc...

Enfin, mon speudo nouveau "Jeanmariejetaime", était une obligation afin de soutenir un homme, un vrai, qui n'a jamais baissé sa culotte devant le "système" qui n’existe toujours pas, hein, mais qui vous baise tous profond avec sa loi de programmation militaire renforcée afin de mieux vous fliquer jusque dans votre caleçon...mais bien sur, au nom de la liberté et pour lutter contre le terrorisme. GROS LAULE. Mais ça, je l'avais prédit bien avant l'histoire des Charlie et cie. Et quelle joie de lire de temps à autre, sur la toile, et d'entendre dans la rue, les neuneux qui se plaignent que la république va les fliquer, ces mêmes neuneux qui affichaient des "je suis Charlie" trois mois plus tôt en croyant réellement défendre la liberté....Re Gros Laule.

Bref, sur ces bonnes paroles, je vous salue (Jean) Marie, et vous restez à mes yeux le seul homme politique qui demeurera longtemps mon père spirituel.

Obs.