zenon
La question n’est pas la crédibilité mais le risque encouru. Sortir d’un dispositif mondialisé qui détruit la souveraineté populaire (la democratie) pour retrouver des marges de manœuvre, un semblant d’équilibre sur la répartition des richesses et une autonomie stratégique c’est a coup sûr se prendre la puissance mediatico-financière en pleine poire. Pour les dirigeants qui s’y risqueraient ce serait même des risques d’exécution ciblée et la France serait la cible de tout un tas de services soi disant alliés.
La France est un trop beau gâteau pour l’extraire de l’appétit des élites globalisées.
La question centrale est: que veulent vraiment les français. La sécurité mais avec la soumission, ou la liberté mais avec le risque.