Sa rhétorique du départ : Avant d'arriver au pouvoir, elle et son parti ont construit leur programme sur une ligne très ferme contre l'immigration clandestine, la "défense des frontières", et la lutte contre les flux migratoires, perçus comme une menace pour l'identité et la sécurité de l'Italie. Le message était clair : "stop aux arrivées", "l'Italie d'abord".
Ensuite, il y a eu la réalité économique et démographique, puis le revirement pragmatique.
C'est un exemple classique de la tension entre les promesses idéologiques et la réalité de la gouvernance.
Nous allons avoir pas avoir d'autres choix que de faire exactement la même chose, alors au lieu de faire la chasse aux immigrés sans distinction, le gouvernement ferait mieux de voir la réalité en face.
L'immigré n'est pas la cause du déclin de la France. Quoiqu'en dise les idéologues de l'extrème droite.