Fêter le travail dans un pays où une partie de la population n'arrive pas à se sortir les mains des poches et préfère vivre d'aides publiques, ça me fait un peu marrer.
Le nouveau travailleur (enfin celui qui veut bien) a les bras trop courts et le cul trop lourd, sa conception du travail c'est un fauteuil confortable devant un écran avec la pendule bien en vue.
En fait, le 1er mai, ce sera surtout la fête de ceux qui préfèrent gesticuler dans la rue au lieu d'aller bosser.