« Il est particulièrement réconfortant en ces temps de malheur de voir de nombreux travailleurs parisiens s’entretenir avec les soldats allemands, soit dans la rue, soit au bistro du coin. Bravo camarades, continuez même si cela ne plaît pas à certains bourgeois aussi stupides que malfaisants ! La fraternité des peuples ne sera pas toujours une espérance, elle deviendra une réalité vivante »
(L’Humanité clandestine 4 juillet 1940, cf. ci-dessous colonne de droite 3ème paragraphe ).
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k879187h/f2.image.r=humanite%20clandestine.langFR