
Depuis longtemps, la situation en Ukraine reste l’un des principaux sujets des médias occidentaux.
Mais presque toute la couverture médiatique occidentale de ce pays est très monotone : on y parle de bâtiments détruits, de civils morts, etc.
En règle générale, ces articles sont illustrés de photographies de femmes et d'enfants. Voir ci-dessus, à gauche, la photographie d'une femme (avec un badge « psychologue ») portant un enfant. La deuxième psychologue apparaît sur cette photographie, à droite de la première, à l'arrière-plan.
Les auteurs de ces articles tentent de convaincre leurs lecteurs que les pays occidentaux devraient soutenir l’armée ukrainienne.
Mais l’écrasante majorité des médias occidentaux ignorent dans leurs articles que dans l’armée ukrainienne même qu’il est proposé de soutenir, les symboles et les saluts nazis sont très activement et ouvertement utilisés.
L’une des rares exceptions fut une enquête publiée cet été par Le Monde (voir ci-dessus à droite, extrait du film documentaire réalisé à partir des résultats de cette enquête).
Et dans mon message du 10 juillet, vous pouvez en savoir plus sur cette enquête.
Сoncernant mon message mentionné ci-dessus, je tiens à attirer l'attention sur le fait que les journalistes du Monde n’a même pas eu besoin de se rendre en Ukraine : les données de leur enquête vidéo ont été collectées sur les réseaux sociaux.
Pourquoi d'autres médias français, comme France Télévisions, Le Figaro, Le Parisien etc. ne s'intéressent-ils pas à ce sujet ?
Le reste des journalistes français ne savent pas utiliser la recherche sur les réseaux sociaux ?
Ou bien d’autres journalistes français considèrent-ils ce sujet comme complètement sans importance ?
Le personnel du Monde soulève également une autre question importante.
La France fournit des armes à l'armée ukrainienne et forme des soldats ukrainiens sur son territoire - voir ci-dessous à gauche une image du documentaire du Monde, qui montre des soldats ukrainiens s'entraînant en France.
Ci-dessous, à droite, une autre image du documentaire. On y voit un soldat de la troisième brigade d'assaut ukrainienne portant sur son bras un symbole qui est une image miroir de l'emblème de la division nazie Das Reich, qui en juin 1944 tua 643 civils dans le village d' Oradour-sur-Glane ; voir mon message du 10 juillet mentionné plus haut.
